Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Excessif
par Marion Thuillier
La mise en scène fluide et sobre de Laurent Vinas-Raymond permet alors à ce dernier d'explorer les thèmes douloureux de la maladie et de l'euthanasie, sans plomber son film. Il distille ici et là quelques comportements dramatiquement drôles chez les malades.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Brazil
par Tony Grieco
Un film un peu trop esthétisant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
(...) J'ai oublié de te dire ne laisse pas indifférent (...) Pourtant, ce premier long métrage n'échappe pas aux maladresses.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Omar Sharif devient très émouvant. (...) On est ému aux larmes. Le film (...) n'est pourtant pas sans maladresses et l'histoire fait parfois preuve de candeur (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il y a de vrais moments de grâce, une belle lumière et, derrière tout cela, la patte indéniable d'un réalisateur. Mais ce dernier, encore trop émotif, a tout intérêt à être à l'avenir plus incisif.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Alain Spira
Si scénario et réalisation manquent encore d'assise, l'interprétation, elle, est aussi solide que le médiéval clocher marin du merveilleux village de Collioure...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
En concoctant une histoire toute simple (...) il livre un premier film au scénario un peu faible, mais étonnant de modestie.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Juliette Bénabent
Omar Sharif manque d'abord de justesse en peintre vieillissant, grognon et solitaire. (...) Porté par l'énergie butée d'Emilie Dequenne, le film s'achève sur une note juste et émouvante (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par Colette Monsat, Hugo de Saint-Phalle
Poncifs sirupeux, fausse insolence et vraie niaiserie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Pour lier le tout, le réalisateur, dont c'est là le premier long-métrage, déverse une avalanche de clichés dignes des grandes séries estivales de la télévision hertzienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Bernard Achour
Entre ses images "lumineuses", sa modestie "France d'en-bas", ses personnages "pittoresques" (...) et sa "sincérité" en bandoulière, l'histoire de cette amitié entre une jeune délinquante et un vieux peintre bougon a de quoi faire passer Jean Becker pour Gaspar Noé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Excessif
La mise en scène fluide et sobre de Laurent Vinas-Raymond permet alors à ce dernier d'explorer les thèmes douloureux de la maladie et de l'euthanasie, sans plomber son film. Il distille ici et là quelques comportements dramatiquement drôles chez les malades.
Brazil
Un film un peu trop esthétisant.
La Croix
(...) J'ai oublié de te dire ne laisse pas indifférent (...) Pourtant, ce premier long métrage n'échappe pas aux maladresses.
Le Journal du Dimanche
Omar Sharif devient très émouvant. (...) On est ému aux larmes. Le film (...) n'est pourtant pas sans maladresses et l'histoire fait parfois preuve de candeur (...).
Le Parisien
Il y a de vrais moments de grâce, une belle lumière et, derrière tout cela, la patte indéniable d'un réalisateur. Mais ce dernier, encore trop émotif, a tout intérêt à être à l'avenir plus incisif.
Paris Match
Si scénario et réalisation manquent encore d'assise, l'interprétation, elle, est aussi solide que le médiéval clocher marin du merveilleux village de Collioure...
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
En concoctant une histoire toute simple (...) il livre un premier film au scénario un peu faible, mais étonnant de modestie.
Télérama
Omar Sharif manque d'abord de justesse en peintre vieillissant, grognon et solitaire. (...) Porté par l'énergie butée d'Emilie Dequenne, le film s'achève sur une note juste et émouvante (...).
Le Figaroscope
Poncifs sirupeux, fausse insolence et vraie niaiserie.
Le Monde
Pour lier le tout, le réalisateur, dont c'est là le premier long-métrage, déverse une avalanche de clichés dignes des grandes séries estivales de la télévision hertzienne.
Première
Entre ses images "lumineuses", sa modestie "France d'en-bas", ses personnages "pittoresques" (...) et sa "sincérité" en bandoulière, l'histoire de cette amitié entre une jeune délinquante et un vieux peintre bougon a de quoi faire passer Jean Becker pour Gaspar Noé.