Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Très à l'aise dans ce rôle dramatique, séduisant mais jamais cynique, Jim Carrey évoque les James Stewart et Gary Cooper de jadis.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Les décors, les coiffures, les costumes sont impeccables, l'Histoire est respectée, c'est toujours un plaisir de revoir Martin Landau... mais on s'ennuie.
Première
par Christian Jauberty
Mais la longueur complaisante du film permet à loisir de s'apercevoir que les différentes histoires qu'il raconte se mélangent mal ; elle permet surtout de mesurer à quel point ces éléments sonnent faux, qu'il s'agisse de l'amnésie, du Majestic ou, surtout, de la chasse aux sorcières.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Dommage pour Frank Darabont, parce qu'on aimait bien son obstination à faire un cinéma à l'ancienne, carré et sentimental, sans honte, au milieu du déchaînement technologique des grands studios hollywoodiens. Là, il a eu la main un peu trop lourde sur la crème, et a noyé son gâteau. Un petit régime, et le quatrième film de Darabont sera délicieux, c'est sûr.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Denis Rossano
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Ce navet gluant (...) était censé offrir un rôle en or pour Jim Carrey, sur les pas de Jimmy Stewart. L'acteur s'y livre finalement à une contre-performance désastreuse, à l'image d'un film où il n'y a rien à sauver.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Cousue de fil blanc, une histoire d'amnésie à oublier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Eric Quéméré
Pourquoi donc avoir juxtaposé ainsi une histoire à la Martin Guerre (sans intérêt puisque dénuée de suspense) et celle d'un improbable procès maccarthyste ? Le seul véritable lien entre ces deux intrigues s'avérant être le ton de propagande sirupeuse sur lequel elles sont (mal)traitées - et l'interprétation outrageusement "sobre" de Jim Carrey...
TéléCinéObs
Très à l'aise dans ce rôle dramatique, séduisant mais jamais cynique, Jim Carrey évoque les James Stewart et Gary Cooper de jadis.
MCinéma.com
Les décors, les coiffures, les costumes sont impeccables, l'Histoire est respectée, c'est toujours un plaisir de revoir Martin Landau... mais on s'ennuie.
Première
Mais la longueur complaisante du film permet à loisir de s'apercevoir que les différentes histoires qu'il raconte se mélangent mal ; elle permet surtout de mesurer à quel point ces éléments sonnent faux, qu'il s'agisse de l'amnésie, du Majestic ou, surtout, de la chasse aux sorcières.
Aden
Dommage pour Frank Darabont, parce qu'on aimait bien son obstination à faire un cinéma à l'ancienne, carré et sentimental, sans honte, au milieu du déchaînement technologique des grands studios hollywoodiens. Là, il a eu la main un peu trop lourde sur la crème, et a noyé son gâteau. Un petit régime, et le quatrième film de Darabont sera délicieux, c'est sûr.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Ce navet gluant (...) était censé offrir un rôle en or pour Jim Carrey, sur les pas de Jimmy Stewart. L'acteur s'y livre finalement à une contre-performance désastreuse, à l'image d'un film où il n'y a rien à sauver.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Cousue de fil blanc, une histoire d'amnésie à oublier.
Zurban
Pourquoi donc avoir juxtaposé ainsi une histoire à la Martin Guerre (sans intérêt puisque dénuée de suspense) et celle d'un improbable procès maccarthyste ? Le seul véritable lien entre ces deux intrigues s'avérant être le ton de propagande sirupeuse sur lequel elles sont (mal)traitées - et l'interprétation outrageusement "sobre" de Jim Carrey...