AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
4,0
23 titres de presse
-
Aden
-
Cplanet.com
-
Le Parisien
-
Le Point
-
Positif
-
Première
-
Chronic'art.com
-
Cinopsis.com
-
Fluctuat.net
-
L'Express
-
L'Obs
-
Le Figaro
-
Le Figaro Magazine
-
Le Monde
-
Les Echos
-
Repérages
-
Studio Magazine
-
Télérama
-
Urbuz
-
Ciné Live
-
Les Inrockuptibles
-
Cahiers du Cinéma
-
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Aden
Un premier long métage ample et maîtrisé, l'une des grandes révélations du dernier festival de Cannes.
Cplanet.com
Aussi paradoxal que cela puisse paraître de la part d'un réalisateur venu de la publicité et de la télé, Amours Chiennes est déjà parfaitement maîtrisé et ne souffre pas d'effets de style inutiles.
Le Parisien
Fort, corsé, violent et, de la première à la dernière image, formidablement maîtrisé. Mené à tombeau ouvert et dans lequel il n'y a pas une once d'espoir sur la nature humaine, « Amours chiennes » révèle un cinéaste autant bourré de talent que son film l'est de TNT.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
Héritier de Buñuel autant que d'une certaine cinéphilie américaine (Scorsese, Coppola), le metteur en scène des biens nommées Amours chiennes fait preuve d'une belle maîtrise dans la représentation de la violence sous toutes ses formes (...)
Première
Par la grâce d'une mise en scène dont la maîtrise est d'autant plus stupéfiante qu'il s'agit d'un premier essai, notre Mexicain débutant impose un style fiévreux qui broie le cadre du naturalisme méchant et bête.
Chronic'art.com
Pour son premier film, Alejandro González Iñárritu fait preuve d'une étonnante maîtrise formelle et narrative. Mais il est en revanche difficile d'adhérer à sa vision "hobsienne" de l'humanité.
Cinopsis.com
(...) ce film est tout bonnement une étonnante découverte qui, de part l'originalité de sa construction et de son intrigue, est tour à tour et à la fois, un drame réaliste, une comédie absurde ou encore un thriller psychologique.
Fluctuat.net
Pas trop de cut, pas de cascades… des images justes. La caméra toujours sur le qui-vive, fixe ses personnages, capte des vies dans un hasard organisé, transforme les figurants en personnages principaux dans une structure scénaristique éclatée.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Le film comme une carte postale sonore et colorée, sur laquelle on oublierait d'écrire des âneries, qui servirait à renseigner, à donner à écouter, à regarder, à ressentir.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
(...) un film déchirant, insoutenable, et poignant comme sa musique.
Le Monde
L´intérêt considérable de ce premier long métrage tient à la manière dont l´auteur jouera de cette double virtuosité, scénaristique et de réalisation, sans s´y laisser enfermer.
Les Echos
Haletant, électrique, ce film se reçoit comme un violent, douloureux coup de poing. Mais fascine, par sa densité, son poids de violence, de souffrance, et, en même temps, de compassion pour tous ses personnages.
Repérages
Pluriel et à la temporalité brouillée, Amours chiennes est peu résumable. Sa force est de présenter un spectacle que ces trois amours n'offrent pas ouvertement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Voici un premier long métrage étonnant, réalisé par un jeune loup venu de la pub (ça ne se sent à aucun moment).
Urbuz
Reste peut-être la sensation désagréable de supériorité inconsciente du réalisateur sur ses personnages en enfer (...), et une légère tendance voyeuriste et clipesque. On ne peut cependant passer outre le fait que Amours chiennes est un film d'une complexité virtuose.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
(...) ambitieux tant sur le plan narratif (constuction en triptyque) que thématique (...), et emballé dans un esthétisme trashy-glauque très tendance. Le premier volet est le plus inéressant.
Cahiers du Cinéma
Non exempt de quelques bonnes idées de situations, le film a la grave inconvénient de confondre cruauté et tyrannie.
Libération
Amours chiennes souffre d'un déséquilibre entre le mal (de chien) qu'il se donne pour échafauder un récit supersophistiqué et la platitude de son propos.