Austin Powers - l'espion qui m'a tirée : Critique presse
Austin Powers - l'espion qui m'a tirée
Note moyenne
3,2
17 titres de presse
Aden
Cinopsis.com
Les Inrockuptibles
Libération
Studio Magazine
Télérama
Chronic'art.com
FHM
L'Express
Le Monde
Le Parisien
Lenouveaucinema.com
Planetcinema.com
Repérages
L'Obs
Le Figaroscope
Positif
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Une véritable folie qui rapproche le rire de la terreur : on ne sait jamais quand cela va s'arrêter.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cinopsis.com
par Olivier Loncin
La meilleure comédie de l'année? Les rates dilatées votent "oui".
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
S'il reste déconseillé aux personnes allergiques à l'hétéro-beauferie et à Mike Myers, cet Espion qui m'a tirée offre une très agréable - et copieuse - tranche de rigolade.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jean-Marc Lalanne
C'est un joyeux bordel, un panaché hétéroclite où les vannes lourdement scato côtoient un comique de langage parfois subtil.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par David Mikanowski
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Si on aime cette comédie extravagante, ce n'est pas pour ses vertus transgressives (celles qu'on appréciait récemment dans South Park) mais pour l'abondance de gags " hénaurmes " et de situations délirantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Les ressorts comiques fonctionnent donc essentiellement sur l'excès (du ridicule, voire du laid, ce qui s'avère assez déplorable) et seul Mike Myers réussit parfois à transformer les gags affligeants en véritables délires expressifs.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
FHM
par L.D.
Moins poilant que le premier (...) cette parodie de James Bond nous offre cependant une kyrielle de gags furieusement délirants.
L'Express
par Gilles Médioni
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
(...) un film drôle et plaisant, mais beaucoup trop imprégné de sa propre mythologie pour pouvoir désormais surprendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Eric Leguèbe
Les jeux de mots d'un goût douteux l'emportent sur les gags visuels. On sourit parfois. On rit plus difficilement. Un divertissement qui passe sans laisser de traces.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe Guerand
Merci à Jerry Lewis pour l'inspiration ! C'est de l'humour gras qui tache, mais on peut en rire.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Planetcinema.com
par Jean-Christophe Derrien
Film kleenex aux références parfois éphémères, L'espion qui m'a tirée est un très bon divertissement bouffe-neurones. N'oubliez pas le Coca et le Popcorn. Yeah, Baby Yeah.
La critique complète est disponible sur le site Planetcinema.com
Repérages
par Antonin Koskas
S'il reste un mythe à la légèreté discutable, Austin Powers renouvelle indiscutablement le genre de la parodie, dès lors endossée et consciente, et dresse une esquisse feutrée d'un monde possible où l'inconséquence se consomme et s'assume
L'Obs
par n.c.
De mauvais goût ? Certes, mais ça, c'est plutôt bien. Plus grave, en revanche, est le manque d'humour : on dirait un devoir de vacances, laborieux et balourd, saupoudré de blagues de beaufs et de plaisanteries scato
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Il faut prendre "Austin Powers, l'espion qui m'a tirée" (...) comme une grosse plaisanterie. Plutôt débile.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Positif
par Philippe Rouyer
Une suite de sketches et de clins d'oeil cinéphiliques tient lieu de scénario. Tous les gags sont répétés plusieurs fois.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Aden
Une véritable folie qui rapproche le rire de la terreur : on ne sait jamais quand cela va s'arrêter.
Cinopsis.com
La meilleure comédie de l'année? Les rates dilatées votent "oui".
Les Inrockuptibles
S'il reste déconseillé aux personnes allergiques à l'hétéro-beauferie et à Mike Myers, cet Espion qui m'a tirée offre une très agréable - et copieuse - tranche de rigolade.
Libération
C'est un joyeux bordel, un panaché hétéroclite où les vannes lourdement scato côtoient un comique de langage parfois subtil.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Si on aime cette comédie extravagante, ce n'est pas pour ses vertus transgressives (celles qu'on appréciait récemment dans South Park) mais pour l'abondance de gags " hénaurmes " et de situations délirantes.
Chronic'art.com
Les ressorts comiques fonctionnent donc essentiellement sur l'excès (du ridicule, voire du laid, ce qui s'avère assez déplorable) et seul Mike Myers réussit parfois à transformer les gags affligeants en véritables délires expressifs.
FHM
Moins poilant que le premier (...) cette parodie de James Bond nous offre cependant une kyrielle de gags furieusement délirants.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
(...) un film drôle et plaisant, mais beaucoup trop imprégné de sa propre mythologie pour pouvoir désormais surprendre.
Le Parisien
Les jeux de mots d'un goût douteux l'emportent sur les gags visuels. On sourit parfois. On rit plus difficilement. Un divertissement qui passe sans laisser de traces.
Lenouveaucinema.com
Merci à Jerry Lewis pour l'inspiration ! C'est de l'humour gras qui tache, mais on peut en rire.
Planetcinema.com
Film kleenex aux références parfois éphémères, L'espion qui m'a tirée est un très bon divertissement bouffe-neurones. N'oubliez pas le Coca et le Popcorn. Yeah, Baby Yeah.
Repérages
S'il reste un mythe à la légèreté discutable, Austin Powers renouvelle indiscutablement le genre de la parodie, dès lors endossée et consciente, et dresse une esquisse feutrée d'un monde possible où l'inconséquence se consomme et s'assume
L'Obs
De mauvais goût ? Certes, mais ça, c'est plutôt bien. Plus grave, en revanche, est le manque d'humour : on dirait un devoir de vacances, laborieux et balourd, saupoudré de blagues de beaufs et de plaisanteries scato
Le Figaroscope
Il faut prendre "Austin Powers, l'espion qui m'a tirée" (...) comme une grosse plaisanterie. Plutôt débile.
Positif
Une suite de sketches et de clins d'oeil cinéphiliques tient lieu de scénario. Tous les gags sont répétés plusieurs fois.