Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Excessif
par Romain Le Vern
(...) [un] premier film très impressionnant (...).
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
Naturaliste et rugueux, le film accroche dès le départ pour emmener le spectateur au coeur d'un pays déglingué (...). C'est là toute la force de ce premier long-métrage : partir d'un cas particulier pour parler du monde qui ne tourne pas rond.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
C'est un premier film. Comme un coup de poing dans la gueule. Non seulement parce qu'il vient d'une femme russe, qui sont peu nombreuses à réaliser. Mais surtout parce qu'il prend aux tripes, portrait sans concessions ni répits de la désespérance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Portrait au crépuscule" livre d'une société un tableau terrifiant, où la violence se nourrit et s'augmente de l'indifférence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
"Portrait au crépuscule" est un film dur et dérangeant, (...) mais c'est aussi une oeuvre très forte, presque subversive. Cette ambiguïté nourrit la profonde réflexion du film, à laquelle participent la mise en scène tendue, l'atmosphère énigmatique et l'interprétation époustouflante des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) Anguelina Nikonova distille un indicible malaise. Ce sentiment étrange, qui vous poursuit après la fin de la projection, est le signe de sa réussite artistique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un film direct tourné en décors naturels avec des non-professionnels, qui remue le couteau dans la plaie russe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
Film saisissant sur la femme : (...) les tableaux sont brossés de la déchéance de la Russie contemporaine. (...) Nikonova condamne la tiédeur des gens. (...) L'humour beckettien souligne le délabrement physique et la méfiance universelle. (...) Du travail remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Stéphanie Lamome
Dans une Russie crado entre chien(s) et loup(s), (...) Anguelina Nikonova (...) réalise un film de vengeance où l'amour apparaît comme la seule arme (...) contre l'indifférence. (...) Olga Dykhovitchnaia, scénariste et comédienne du film, incarne magnifiquement cette lueur à l'agonie (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
Angelina Nikonova et sa scénariste-interprète, Olga Dykhovichnaya, la montrent dans un triste état, la Russie : bourgeois veules (...), cinglés foutus (...) et petits monstres dégueulasses (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Il y a sans doute dans la démarche de "Portrait au crépuscule" une forme d'exutoire personnel des autrices, mais aussi, plus sûrement, un jeu avec les sentiments du spectateur, soit une forme d'exploitation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un film glauque, pénible et pourtant fascinant, très russe dans sa manière de rapprocher les extrêmes , le mal et le bien, la bestialité et la compassion.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Voilà un film qui tire la tronche, n'y va pas de main morte, flirte même avec une certaine misandrie mais interpelle par sa peinture alarmante de la Russie d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Excessif
(...) [un] premier film très impressionnant (...).
L'Express
Naturaliste et rugueux, le film accroche dès le départ pour emmener le spectateur au coeur d'un pays déglingué (...). C'est là toute la force de ce premier long-métrage : partir d'un cas particulier pour parler du monde qui ne tourne pas rond.
L'Humanité
C'est un premier film. Comme un coup de poing dans la gueule. Non seulement parce qu'il vient d'une femme russe, qui sont peu nombreuses à réaliser. Mais surtout parce qu'il prend aux tripes, portrait sans concessions ni répits de la désespérance.
L'Obs
"Portrait au crépuscule" livre d'une société un tableau terrifiant, où la violence se nourrit et s'augmente de l'indifférence.
La Croix
"Portrait au crépuscule" est un film dur et dérangeant, (...) mais c'est aussi une oeuvre très forte, presque subversive. Cette ambiguïté nourrit la profonde réflexion du film, à laquelle participent la mise en scène tendue, l'atmosphère énigmatique et l'interprétation époustouflante des comédiens.
Le Monde
(...) Anguelina Nikonova distille un indicible malaise. Ce sentiment étrange, qui vous poursuit après la fin de la projection, est le signe de sa réussite artistique.
Les Inrockuptibles
Un film direct tourné en décors naturels avec des non-professionnels, qui remue le couteau dans la plaie russe.
Positif
Film saisissant sur la femme : (...) les tableaux sont brossés de la déchéance de la Russie contemporaine. (...) Nikonova condamne la tiédeur des gens. (...) L'humour beckettien souligne le délabrement physique et la méfiance universelle. (...) Du travail remarquable.
Première
Dans une Russie crado entre chien(s) et loup(s), (...) Anguelina Nikonova (...) réalise un film de vengeance où l'amour apparaît comme la seule arme (...) contre l'indifférence. (...) Olga Dykhovitchnaia, scénariste et comédienne du film, incarne magnifiquement cette lueur à l'agonie (...).
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
Angelina Nikonova et sa scénariste-interprète, Olga Dykhovichnaya, la montrent dans un triste état, la Russie : bourgeois veules (...), cinglés foutus (...) et petits monstres dégueulasses (...).
Critikat.com
Il y a sans doute dans la démarche de "Portrait au crépuscule" une forme d'exutoire personnel des autrices, mais aussi, plus sûrement, un jeu avec les sentiments du spectateur, soit une forme d'exploitation.
Le Figaroscope
Un film glauque, pénible et pourtant fascinant, très russe dans sa manière de rapprocher les extrêmes , le mal et le bien, la bestialité et la compassion.
TéléCinéObs
Voilà un film qui tire la tronche, n'y va pas de main morte, flirte même avec une certaine misandrie mais interpelle par sa peinture alarmante de la Russie d'aujourd'hui.