Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Elle
par Héléna Villovitch
(...) La musique chaâbi renaît, (...) toujours aussi belle. (...) On rencontre, une à une, ces figures mythiques séparées par la guerre d'Algérie (...). Jusqu'au moment où "El Gusto" ne se contente plus de raconter, mais provoque l'aventure et efface les distances. (...) Irrésistible !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Eric Mandel
(...) le destin passionnant d'une poignée d'hommes (...). Entre bonne humeur et bouffées de nostalgie (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Le film (...) est émouvant et précieux. (...) En ces temps où le cinéma n'en finit plus d'ausculter la crise sous toutes ses formes, voilà un film précieux dont la bonne humeur est contagieuse.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
L'histoire est belle, sans doute plus que le film lui-même, un peu appliqué.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
Le portrait émouvant d'un groupe musiciens séparés pendant cinquante ans et brisés par le temps, mais toujours portés par leur passion pour le chââbi.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Florence Raillard
Pas mal de bons sentiments, pas trop de questions qui fâchent mais des travellings superbes sur Alger et de beaux moments musicaux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Anne Berthod
(...) Là où Wim Wenders faisait résonner le son de La Havane dans chaque image, Safinez Bousbia (...) retrace davantage l'aventure humaine. (...) Un bel hommage au chaâbi, blues arabo-andalou aux accents cosmopolites des quartiers populaires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Isabelle Danel
Sur le fond, ce documentaire est passionnant. Mais sa forme banale la plombe, empesée par une voix off scolaire. Surtout, la réunion de ces hommes et leurs concerts n'occupent que le dernier tiers du film. C'est trop peu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
(...) La musique chaâbi renaît, (...) toujours aussi belle. (...) On rencontre, une à une, ces figures mythiques séparées par la guerre d'Algérie (...). Jusqu'au moment où "El Gusto" ne se contente plus de raconter, mais provoque l'aventure et efface les distances. (...) Irrésistible !
Le Journal du Dimanche
(...) le destin passionnant d'une poignée d'hommes (...). Entre bonne humeur et bouffées de nostalgie (...).
Positif
Le film (...) est émouvant et précieux. (...) En ces temps où le cinéma n'en finit plus d'ausculter la crise sous toutes ses formes, voilà un film précieux dont la bonne humeur est contagieuse.
L'Express
Voir le site lexpress.fr
Le Monde
L'histoire est belle, sans doute plus que le film lui-même, un peu appliqué.
Les Fiches du Cinéma
Le portrait émouvant d'un groupe musiciens séparés pendant cinquante ans et brisés par le temps, mais toujours portés par leur passion pour le chââbi.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Pas mal de bons sentiments, pas trop de questions qui fâchent mais des travellings superbes sur Alger et de beaux moments musicaux.
Télérama
(...) Là où Wim Wenders faisait résonner le son de La Havane dans chaque image, Safinez Bousbia (...) retrace davantage l'aventure humaine. (...) Un bel hommage au chaâbi, blues arabo-andalou aux accents cosmopolites des quartiers populaires.
Première
Sur le fond, ce documentaire est passionnant. Mais sa forme banale la plombe, empesée par une voix off scolaire. Surtout, la réunion de ces hommes et leurs concerts n'occupent que le dernier tiers du film. C'est trop peu.