Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Les cadres et leur composition, la beauté sensuelle de la photo (...), le rôle prépondérant que tient la musique de Teho Teardo, tout contribue à une fresque sinistre et grandiose.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
Le tableau dressé par "L' Empire des Rastelli" vaut leçon universelle. C'est ce qu'on appelle être en phase avec son époque.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Positif
par L. C.
[Un] "Petit bijoux" (titre italien) noir, courageux et grave. Tellement grave que le public l'a boudé, tandis que les médias, submergés par les scandales et les faillites, l'ont cru dépassé.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Excessif
par Nicolas Schiavi
Si la mise en scène reste trop sage, n'osant pas exploiter graphiquement les vices cachés et l'appât du gain, la direction d'acteurs d'Andrea Molaioli reste le point fort du film.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Mis en scène avec une sobriété proche de l'austérité, le film est servi par la justesse de ses acteurs, au premier rang desquels Toni Servillo, impeccable en Botta (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Paris Match
par Alain Spira
Toni Servillo parvient à donner donner à son personnage l'épaisseur qui fait défaut au scénario.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par François Forestier
C'est juste, bien vu, dans le sillage de Francesco Rosi (mais sans sa puissance).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Arnaud Hée
(...) l'ironie cruelle et cynique qui préside au ton du film emprunte largement à ce qu'il prétend dénoncer. C'est ce que l'on appelle le syndrome du serpent qui se mord la queue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cette histoire de mozzarella et de jus de fruit est si passionnante qu'on en voudra toujours au réalisateur Andrea Molaioli d'en avoir fait un téléfilm un peu médiocre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) Malgré la présence de l'excellent Toni Servillo dans le rôle du petit comptable maison, l'intrigue se révèle un peu confuse et trop compassée pour tenir en haleine le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) Ce thriller politico-industriel aurait pu tomber à pic après le départ de Berlusconi pour évoquer son ère de fraude généralisée. Hélas, on se contente de mettre en place un cadre et des personnages convaincants, sans embrayer sur un récit suffisamment étoffé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
A mi-chemin entre l'enquête à la Rosi et la farce mélancolique façon Sorrentino, le film enfile malheureusement les perles en prétendant démonter les rouages du capitalisme globalisé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Anne Dessuant
La faillite de la société Parmalat avait de quoi alimenter un film politique dans la grande tradition du cinéma italien. Mais Andrea Molaioli reste au ras des personnages. (...) Une chronique familiale sans épaisseur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
L'Humanité
Les cadres et leur composition, la beauté sensuelle de la photo (...), le rôle prépondérant que tient la musique de Teho Teardo, tout contribue à une fresque sinistre et grandiose.
Charlie Hebdo
Le tableau dressé par "L' Empire des Rastelli" vaut leçon universelle. C'est ce qu'on appelle être en phase avec son époque.
Positif
[Un] "Petit bijoux" (titre italien) noir, courageux et grave. Tellement grave que le public l'a boudé, tandis que les médias, submergés par les scandales et les faillites, l'ont cru dépassé.
Excessif
Si la mise en scène reste trop sage, n'osant pas exploiter graphiquement les vices cachés et l'appât du gain, la direction d'acteurs d'Andrea Molaioli reste le point fort du film.
La Croix
Mis en scène avec une sobriété proche de l'austérité, le film est servi par la justesse de ses acteurs, au premier rang desquels Toni Servillo, impeccable en Botta (...).
Paris Match
Toni Servillo parvient à donner donner à son personnage l'épaisseur qui fait défaut au scénario.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
C'est juste, bien vu, dans le sillage de Francesco Rosi (mais sans sa puissance).
Critikat.com
(...) l'ironie cruelle et cynique qui préside au ton du film emprunte largement à ce qu'il prétend dénoncer. C'est ce que l'on appelle le syndrome du serpent qui se mord la queue.
Le Monde
Cette histoire de mozzarella et de jus de fruit est si passionnante qu'on en voudra toujours au réalisateur Andrea Molaioli d'en avoir fait un téléfilm un peu médiocre.
Le Parisien
(...) Malgré la présence de l'excellent Toni Servillo dans le rôle du petit comptable maison, l'intrigue se révèle un peu confuse et trop compassée pour tenir en haleine le spectateur.
Les Inrockuptibles
(...) Ce thriller politico-industriel aurait pu tomber à pic après le départ de Berlusconi pour évoquer son ère de fraude généralisée. Hélas, on se contente de mettre en place un cadre et des personnages convaincants, sans embrayer sur un récit suffisamment étoffé.
Première
A mi-chemin entre l'enquête à la Rosi et la farce mélancolique façon Sorrentino, le film enfile malheureusement les perles en prétendant démonter les rouages du capitalisme globalisé.
Télérama
La faillite de la société Parmalat avait de quoi alimenter un film politique dans la grande tradition du cinéma italien. Mais Andrea Molaioli reste au ras des personnages. (...) Une chronique familiale sans épaisseur.
Le Point
Voir le site lepoint.fr