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Si la facture visuelle est magnifique, le son est minutieusement travaillé, de la musique au clapotis lancinant d'un robinet qui fuit, rendant ce film aussi sensible, précis et prégnant que s'il était tourné en prises de vues réelles. (...) "Aloïs Nebel" est une splendeur à tous points de vue.
La grande réussite de Tomás Lunák, c'est de célébrer sa lutte sourde et sa lente ouverture au monde, de manière silencieuse et feutrée, par allusions et métaphores, en exploitant formidablement chaque décor, en traversant de fascinantes atmosphères de pluie et de nuit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronique ferroviaire neurasthénique, "Aloïs Nebel" retrouve l'atmosphère expressionniste de la BD mais perd dans l'adaptation cinématographique la voix intérieure du personnage principal.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Sombre linceul d'animation où les prises de vue réelles s'estompent derrière le souvenir cauchemardesque de l'après-Seconde Guerre mondiale. (...) Tout est cinéma dans "Aloïs Nebel" : du choix de l'animation, de sa sophistication sur le primat photographique du septième art. La force de l'intrigue (...). Tout.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Comme la BD dont il s'inspire, le film cherche moins à livrer un récit rythmé qu'à dessiner une sorte de mosaïque dont les contours ne se révèlent qu'à la fin, l'important étant l'atmosphère (...), dans un beau noir et blanc expressionniste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Une certaine préciosité gris-noir finit par envahir ce film noir pétri du gris des bonnes intentions, pas aidé non plus par son défilé de mines déconfites. Heureusement, un finale déchaîné le ranime.
Le film trouve un heureux point d'équilibre entre réalisme et abstraction, mêlant habilement la matière pesante du réel et le tourment des âmes qui l'habitent. Sa réussite n'est peut-être alors que formelle, mais de cette forme qui permet de spiritualiser le monde sans jamais quitter le terrain plat des choses concrètes
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Malgré une impression d'immobilisme, la narration voyage aussi bien dans le temps que dans l'espace. La trajectoire est menée avec une assurance virtuose (...) [le film] réserve suffisamment de surprises pour ne pas donner envie d'en descendre.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Sans quelques repères sur le contexte historique, on perdrait pied. (...) Ce film hypnotique impressionne pourtant par la beauté de ses images, l'intensité de ses ambiances et l'universalité du thème du passé qui ne passe pas.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Adaptation d'une bande-dessinée, "Aloïs Nebel" perd dans son ascétisme l'humanité nécessaire à son récit. Restent des qualités formelles évidentes et un point de vue intéressant sur l'histoire tchécoslovaque.
Les Inrockuptibles
Si la facture visuelle est magnifique, le son est minutieusement travaillé, de la musique au clapotis lancinant d'un robinet qui fuit, rendant ce film aussi sensible, précis et prégnant que s'il était tourné en prises de vues réelles. (...) "Aloïs Nebel" est une splendeur à tous points de vue.
Télérama
La grande réussite de Tomás Lunák, c'est de célébrer sa lutte sourde et sa lente ouverture au monde, de manière silencieuse et feutrée, par allusions et métaphores, en exploitant formidablement chaque décor, en traversant de fascinantes atmosphères de pluie et de nuit.
20 Minutes
Envoûtant.
Critikat.com
Chronique ferroviaire neurasthénique, "Aloïs Nebel" retrouve l'atmosphère expressionniste de la BD mais perd dans l'adaptation cinématographique la voix intérieure du personnage principal.
L'Humanité
Chef-d'oeuvre graphique.
Le Monde
(...) "Aloïs Nebel" attire l'attention. Le choix de traiter cette histoire par l'animation accentue encore la singularité du projet.
Le Point
Voir le site du Point
Libération
Adaptation réussie de la brumeuse et sombre BD tchèque "Aloïs Nebel".
Positif
Sombre linceul d'animation où les prises de vue réelles s'estompent derrière le souvenir cauchemardesque de l'après-Seconde Guerre mondiale. (...) Tout est cinéma dans "Aloïs Nebel" : du choix de l'animation, de sa sophistication sur le primat photographique du septième art. La force de l'intrigue (...). Tout.
Première
Comme la BD dont il s'inspire, le film cherche moins à livrer un récit rythmé qu'à dessiner une sorte de mosaïque dont les contours ne se révèlent qu'à la fin, l'important étant l'atmosphère (...), dans un beau noir et blanc expressionniste.
Cahiers du Cinéma
Une certaine préciosité gris-noir finit par envahir ce film noir pétri du gris des bonnes intentions, pas aidé non plus par son défilé de mines déconfites. Heureusement, un finale déchaîné le ranime.
Chronic'art.com
Le film trouve un heureux point d'équilibre entre réalisme et abstraction, mêlant habilement la matière pesante du réel et le tourment des âmes qui l'habitent. Sa réussite n'est peut-être alors que formelle, mais de cette forme qui permet de spiritualiser le monde sans jamais quitter le terrain plat des choses concrètes
CinemaTeaser
"Aloïs Nebel" séduit pour sa froide beauté formelle, portée par une lenteur hypnotique.
Excessif
Malgré une impression d'immobilisme, la narration voyage aussi bien dans le temps que dans l'espace. La trajectoire est menée avec une assurance virtuose (...) [le film] réserve suffisamment de surprises pour ne pas donner envie d'en descendre.
La Croix
Sans quelques repères sur le contexte historique, on perdrait pied. (...) Ce film hypnotique impressionne pourtant par la beauté de ses images, l'intensité de ses ambiances et l'universalité du thème du passé qui ne passe pas.
Les Fiches du Cinéma
Adaptation d'une bande-dessinée, "Aloïs Nebel" perd dans son ascétisme l'humanité nécessaire à son récit. Restent des qualités formelles évidentes et un point de vue intéressant sur l'histoire tchécoslovaque.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Le Journal du Dimanche
(...) voilà un fort bel objet qui nous arrive de Tchéquie. (...) Le scénario ne manque pas d'ambition, au point de paraître terriblement alambiqué.