Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Le désir de faire des films, montré comme la seule façon de résister aux sirènes mortifères de la déréliction générale de la nostalgie, et dont Bye bye Africa reste la preuve la plus évidente.
L'Humanité
par Jean Roy
D'emblée, on est séduit par la simplicité de la composition (...). L'éclairage est limité à une source unique dans les intérieurs et à la lumière naturelle dans les extérieurs (...). Le son est le plus souvent en prise directe (...). Les comédiens ne sont pas professionnels.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Comment le septième art peut-il survivre dans un pays dévasté, où le public ne saisit plus la différence entre fiction et réalité ? (...) Cette réflexion, l'auteur la mène avec distance, sans complaisance sur lui-même et son film, mine de rien, en dit autant sur la détresse africaine que n'importe quel drame sanglant.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tourné en vidéo basse définition, fait de bric et de broc, Bye Bye Africa est en effet une réflexion drolatique et souvent déchirante sur l'impuissance du cinéaste africain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(...) Face à la situation catastrophique du cinéma tchadien, victime de la vidéo et de la guerre, Mahamat Saleh Haroun en vient très rapidement à remettre en cause son travail de réalisateur. (...) Subtil cocktail de fiction et de réel, tourné avec bien peu de moyens, Bye bye Africa est une très intéressante réflexion sur le Septième Art, qui dépasse les seuls contours du continent africain.
Aden
Entre documentaire et fiction, le film est un essai, dissertation libre autour du cinéma, ou plutôt de l'impossibilité de faire du cinéma en Afrique. Très vite, hélas, le réalisateur se répète, comme s'il était paralysé par son propre constat (pas d'argent, donc pas de cinéma).
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Olivier Lemaire
Le réalisateur semble trouver sa vérité dans le cinéma du réel, auquel il attribue des vertus philosophiques qui peuvent sauver du néant. (...) Mahamat-Saleh Haroun est en quête, et c'est ça qui est beau.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Isabelle Fajardo
Loin d'être un docu didactique, c'est plutôt un " docu-menteur ", l'histoire fictive d'un réalisateur tchadien vivant en France, de retour à N'Djamena à la mort de sa mère, et décidant de faire un film " pour tuer le chagrin ".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Didier Péron
"A quoi ça sert, le cinéma ?", cette question sert de fil rouge au film, aux déambulations du cinéaste qui se met en scène au milieu de ses proches à N'Djamena, capitale ravagée par des dizaines d'années de guerre civile. Malheureusement, le fruit de ses justes interrogations est un peu difficile à avaler, quand il ne reste pas carrément en travers de la gorge.
Cahiers du Cinéma
Le désir de faire des films, montré comme la seule façon de résister aux sirènes mortifères de la déréliction générale de la nostalgie, et dont Bye bye Africa reste la preuve la plus évidente.
L'Humanité
D'emblée, on est séduit par la simplicité de la composition (...). L'éclairage est limité à une source unique dans les intérieurs et à la lumière naturelle dans les extérieurs (...). Le son est le plus souvent en prise directe (...). Les comédiens ne sont pas professionnels.
Le Figaroscope
Comment le septième art peut-il survivre dans un pays dévasté, où le public ne saisit plus la différence entre fiction et réalité ? (...) Cette réflexion, l'auteur la mène avec distance, sans complaisance sur lui-même et son film, mine de rien, en dit autant sur la détresse africaine que n'importe quel drame sanglant.
Le Monde
Tourné en vidéo basse définition, fait de bric et de broc, Bye Bye Africa est en effet une réflexion drolatique et souvent déchirante sur l'impuissance du cinéaste africain.
MCinéma.com
(...) Face à la situation catastrophique du cinéma tchadien, victime de la vidéo et de la guerre, Mahamat Saleh Haroun en vient très rapidement à remettre en cause son travail de réalisateur. (...) Subtil cocktail de fiction et de réel, tourné avec bien peu de moyens, Bye bye Africa est une très intéressante réflexion sur le Septième Art, qui dépasse les seuls contours du continent africain.
Aden
Entre documentaire et fiction, le film est un essai, dissertation libre autour du cinéma, ou plutôt de l'impossibilité de faire du cinéma en Afrique. Très vite, hélas, le réalisateur se répète, comme s'il était paralysé par son propre constat (pas d'argent, donc pas de cinéma).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Le réalisateur semble trouver sa vérité dans le cinéma du réel, auquel il attribue des vertus philosophiques qui peuvent sauver du néant. (...) Mahamat-Saleh Haroun est en quête, et c'est ça qui est beau.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Loin d'être un docu didactique, c'est plutôt un " docu-menteur ", l'histoire fictive d'un réalisateur tchadien vivant en France, de retour à N'Djamena à la mort de sa mère, et décidant de faire un film " pour tuer le chagrin ".
Libération
"A quoi ça sert, le cinéma ?", cette question sert de fil rouge au film, aux déambulations du cinéaste qui se met en scène au milieu de ses proches à N'Djamena, capitale ravagée par des dizaines d'années de guerre civile. Malheureusement, le fruit de ses justes interrogations est un peu difficile à avaler, quand il ne reste pas carrément en travers de la gorge.