Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C'est du cinéma de très haut vol, servi par une actrice magnifique, Leyla Zareh.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Jean-luc Wachthausen
Tout est montré simplement sans ostentation, presque avec résignation. Ce qui donne encore plus de force à ce constat doux amer.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Aux antipodes du mélo, "Au revoir" ressemble à un labyrinthe kafkaïen baigné de clairs-obscurs et illuminé par la présence de la comédienne Leyla Zareh.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Arnaud Hée
Pour l'occasion, le cinéma de Mohammad Rasoulof se met au service de cette représentation, le symbolisme poétique estampillé " Iran " - parfois un peu pesant dans ses films précédents (comme "La Vie sur l'eau", 2005) - est globalement mis en sourdine sans que l'impact de son cinéma n'en souffre, au contraire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Jérôme Beales
En dépit de quelques longueurs, "Au Revoir" attrape le spectateur du début à la fin grâce à sa mise en scène et à la puissance de sa narration.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Leila Zareh est un bloc de tristesse et de détermination, partie prenante d'une mise en scène habile, démonstration implacable des décalages et de l'hypocrisie qui rendent l'Iran impossible.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Regnier
Sans cris, ni brutalités, une mise en scène d'une radicalité et d'une intelligence rares fait exploser à l'écran l'essence de l'oppression politique (...), une force à couper le souffle la violence effarante contenue dans un contexte politique aussi délétère , dans le moindre son, dans le moindre geste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Ariane Allard
Plus radical, plus théorique peut être, il dispose, néanmoins, d'une force singulière : la cohérence de sa forme. On trouvera peu de films sur la violence de l'oppression qui soit aussi... oppressant que celui-ci !
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
"Au revoir" suit, avec une violence froide assez sidérante, le combat de cette femme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Mais, malgré la beauté de son héroïne, "Au revoir" n'a rien d'attractif, a priori. C'est un réquisitoire glaçant contre la république islamique, monde menaçant, mortifère, où émigration rime fatalement avec évasion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Axel Zeppenfeld
Même si le film est parcouru de quelques métaphores sans doute dispensables, un peu appuyées, ou d'un habillage sonore manquant parfois de finesse, ses qualités de composition en font une oeuvre d'importance.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Bruno Icher
L'Iran de Rasoulof est une sorte de monde robotisé, silencieux, où la résistance se manifeste par d'infimes détails.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
par Caroline Vié
[Les] sentiments forts de solidarité suffisent pour rendre recommandable un film courageux si on est pas réfractaire aux longs plans-séquences et à un symbolisme appuyé.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
La forme du film, très austère, pesante, parfois ennuyeuse, emmène tout vers une tonalité désespérée. On peut difficilement en faire le reproche à ce film de prisonnier.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Contrairement à certains films tournés sous le manteau, Au revoir échoue à tirer de ses contraintes de tournage une force critique et esthétique, faute de faire exister un hors champ, et nous laisse un peu comme cette pauvre tortue dont s'occupe le personnage féminin, dans un aquarium à sec.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Obs
C'est du cinéma de très haut vol, servi par une actrice magnifique, Leyla Zareh.
Le Figaroscope
Tout est montré simplement sans ostentation, presque avec résignation. Ce qui donne encore plus de force à ce constat doux amer.
TéléCinéObs
Aux antipodes du mélo, "Au revoir" ressemble à un labyrinthe kafkaïen baigné de clairs-obscurs et illuminé par la présence de la comédienne Leyla Zareh.
Critikat.com
Pour l'occasion, le cinéma de Mohammad Rasoulof se met au service de cette représentation, le symbolisme poétique estampillé " Iran " - parfois un peu pesant dans ses films précédents (comme "La Vie sur l'eau", 2005) - est globalement mis en sourdine sans que l'impact de son cinéma n'en souffre, au contraire.
Excessif
En dépit de quelques longueurs, "Au Revoir" attrape le spectateur du début à la fin grâce à sa mise en scène et à la puissance de sa narration.
Le Journal du Dimanche
Leila Zareh est un bloc de tristesse et de détermination, partie prenante d'une mise en scène habile, démonstration implacable des décalages et de l'hypocrisie qui rendent l'Iran impossible.
Le Monde
Sans cris, ni brutalités, une mise en scène d'une radicalité et d'une intelligence rares fait exploser à l'écran l'essence de l'oppression politique (...), une force à couper le souffle la violence effarante contenue dans un contexte politique aussi délétère , dans le moindre son, dans le moindre geste.
Le Point
Voir le site lepoint.fr
Positif
Plus radical, plus théorique peut être, il dispose, néanmoins, d'une force singulière : la cohérence de sa forme. On trouvera peu de films sur la violence de l'oppression qui soit aussi... oppressant que celui-ci !
Première
"Au revoir" suit, avec une violence froide assez sidérante, le combat de cette femme.
Télérama
Mais, malgré la beauté de son héroïne, "Au revoir" n'a rien d'attractif, a priori. C'est un réquisitoire glaçant contre la république islamique, monde menaçant, mortifère, où émigration rime fatalement avec évasion.
Chronic'art.com
Même si le film est parcouru de quelques métaphores sans doute dispensables, un peu appuyées, ou d'un habillage sonore manquant parfois de finesse, ses qualités de composition en font une oeuvre d'importance.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Libération
L'Iran de Rasoulof est une sorte de monde robotisé, silencieux, où la résistance se manifeste par d'infimes détails.
20 Minutes
[Les] sentiments forts de solidarité suffisent pour rendre recommandable un film courageux si on est pas réfractaire aux longs plans-séquences et à un symbolisme appuyé.
Cahiers du Cinéma
La forme du film, très austère, pesante, parfois ennuyeuse, emmène tout vers une tonalité désespérée. On peut difficilement en faire le reproche à ce film de prisonnier.
Les Inrockuptibles
Contrairement à certains films tournés sous le manteau, Au revoir échoue à tirer de ses contraintes de tournage une force critique et esthétique, faute de faire exister un hors champ, et nous laisse un peu comme cette pauvre tortue dont s'occupe le personnage féminin, dans un aquarium à sec.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.