Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Metro
par Mehdi Omaïs
Ce film puise sa grandeur dans la miraculeuse déclaration d'amour qu'il fait au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Metro
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un extraordinaire petit film uruguayen en noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) "La vida útil" dispense une belle fraîcheur. Totalement singulière, nullement ostentatoire, sa forme est celle que lui imposent son sujet et son acteur. (...) une comédie romantique à l'humour délicieusement piquant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
Dans les miroitements des plans très graphiques aux clairs-obscurs inquiets s'immisce le crépitement de gags poids plume, aussi ténus que délicats.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Un objet de cinéma délicieusement érudit, d'une modestie ostentatoire, d'une drôlerie aussi insolite que mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Isabelle Danel
Filmé dans un noir et blanc de toute éternité, accompagné d'un travail original sur le son (...) le mélange fiction/réalité se teinte d'une poignante mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Cette fable charmante et néanmoins kantienne sur la fin de toutes choses ne pouvait être filmée qu'à Montevideo, ville à la temporalité si étrange que le temps semble comme suspendu.
Critikat.com
par Julien Marsa
"La vida útil" est un aimable petit film, qui peine pourtant à convaincre par la faiblesse de ses propositions narratives.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
Une vraie curiosité, en noir et blanc, pour cinéphiles et autres rats de cinémathèque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Alors, oui, c'est un peu tâtonnant, modeste et futile mais indéniablement personnel : Jorge ne fait que redistribuer dans sa vie la magie qu'il a glanée dans les films.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Dominique Martinez
Ce deuxième film de Federico Veiroj (...) donne finalement le sentiment d'être davantage destiné aux circuits des compétitions festivalières qu'à une sortie en salles.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Il est assez étrange de voir "La Vida util", qui se veut hommage au cinéma et à la cinéphilie, prendre acte de cette naïve opposition entre le cinéma et la vie.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Martin
En représentant les cinéphiles comme des frustrés austères sans assumer la part de comédie de son film, Fererico Veiroj fait de sa cinémathèque un lieu morbide et hermétique... L'inverse de ses intentions.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Anne Dessuant
"La Vida útil" lorgne vers le début du cinéma, mais on regrette que le réalisateur n'ait pas joué le jeu jusqu'au bout. Qu'il n'ait pas plongé son héros dans une tragédie à l'ancienne (...), au lieu de le faire simplement vivoter dans une petite chronique contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Metro
Ce film puise sa grandeur dans la miraculeuse déclaration d'amour qu'il fait au cinéma.
L'Humanité
Un extraordinaire petit film uruguayen en noir et blanc.
Le Monde
(...) "La vida útil" dispense une belle fraîcheur. Totalement singulière, nullement ostentatoire, sa forme est celle que lui imposent son sujet et son acteur. (...) une comédie romantique à l'humour délicieusement piquant.
Libération
Dans les miroitements des plans très graphiques aux clairs-obscurs inquiets s'immisce le crépitement de gags poids plume, aussi ténus que délicats.
Marianne
Un objet de cinéma délicieusement érudit, d'une modestie ostentatoire, d'une drôlerie aussi insolite que mélancolique.
Première
Filmé dans un noir et blanc de toute éternité, accompagné d'un travail original sur le son (...) le mélange fiction/réalité se teinte d'une poignante mélancolie.
Cahiers du Cinéma
Cette fable charmante et néanmoins kantienne sur la fin de toutes choses ne pouvait être filmée qu'à Montevideo, ville à la temporalité si étrange que le temps semble comme suspendu.
Critikat.com
"La vida útil" est un aimable petit film, qui peine pourtant à convaincre par la faiblesse de ses propositions narratives.
Le Figaroscope
Une vraie curiosité, en noir et blanc, pour cinéphiles et autres rats de cinémathèque.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Alors, oui, c'est un peu tâtonnant, modeste et futile mais indéniablement personnel : Jorge ne fait que redistribuer dans sa vie la magie qu'il a glanée dans les films.
Positif
Ce deuxième film de Federico Veiroj (...) donne finalement le sentiment d'être davantage destiné aux circuits des compétitions festivalières qu'à une sortie en salles.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Chronic'art.com
Il est assez étrange de voir "La Vida util", qui se veut hommage au cinéma et à la cinéphilie, prendre acte de cette naïve opposition entre le cinéma et la vie.
Les Fiches du Cinéma
En représentant les cinéphiles comme des frustrés austères sans assumer la part de comédie de son film, Fererico Veiroj fait de sa cinémathèque un lieu morbide et hermétique... L'inverse de ses intentions.
Télérama
"La Vida útil" lorgne vers le début du cinéma, mais on regrette que le réalisateur n'ait pas joué le jeu jusqu'au bout. Qu'il n'ait pas plongé son héros dans une tragédie à l'ancienne (...), au lieu de le faire simplement vivoter dans une petite chronique contemporaine.