Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Dominique Païni
(...) beau film qui crée en nous de l'empathie sans se départir d'une ambition formelle originale, héritière par certains traits du cinéma moderne des années 60.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Oslo, 31 août" impose son évidence : une oeuvre forte, en mouvement, vivante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Les mots chatoient plus qu'ils n'imposent des idées toutes prêtes sur le sens de la vie. Cela achève de sortir le film du solo suicidaire posé sur rails. On vogue plutôt dans une belle dérive. Un voyage sans autre bagage que le talent de Trier à éviter l'apitoiement facile et le portrait noir monochrome.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Louis Guichard
Voilà un film qui, au lieu de nous divertir aimablement comme tant d'autres, semble nous demander pourquoi on vit, nous rappeler pourquoi on meurt. D'une beauté foudroyante, d'une lucidité perçante, "Oslo, 31 août" est une perle rare.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Prometteur et intense [...] Un souffle mortifère balaye cette promenade, errance d'un trentenaire lucide au pays des opportunités gâchées.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Nicolas Thys
(...) certains ont pu y déceler l'un des symptômes du malaise Norvégien lié aux attaques du mois de juillet. Un anachronisme dans l'air du temps...
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Michèle Levieux
(...) cultivé, rongé par le désir de création, [le] héros passe de l'adolescence à l'âge adulte. De l'hystérie à l'éthique. Du syndrome de Stendhal à celui du " feu follet " inspiré par Drieu La Rochelle. Du mal-être à la difficulté d'être.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Dans une ville superbement filmée, (...) sa caméra accompagne la dérive d'Anders. (...) Le comédien Anders Danielsen Lie fait palpiter sourdement, silencieusement, toutes les raisons de vivre et de mourir, dans un suspens bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) un film fin et sensible, mais pas dépourvu de cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Olivier Bouchard
Joachim Trier adapte librement "Le Feu follet" : un film sincère, sans artifice et touchant, qui n'évite toutefois pas certaines maladresses.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Julien Gester
Joachim Trier signe une évocation sensible d'une génération angoissée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
La beauté du film ne réside pas dans les traits d'un noir fusain dessinant le portrait d'un héros suicidaire, mais au contraire dans l'attention douce, pastel, que Joachim Trier porte aux êtres alentours. (...) Tel se donne ce désuet, cinéphile et francophile "Oslo, 31 août" : le monde ne sonne plus juste, les jeunes êtres s'y portent mal, mais on peut encore en faire, pourquoi pas ? un beau film triste.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Plus direct, moins dispersé, le récit (...) gagne ainsi en intensité dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Julien Marsa
Le point de suspension sur lequel se tient Joachim Trier, et qui voudrait que la trajectoire du film ne soit pas ostensiblement " signifiante ", est une position presque intenable qui est rattrapée par la nature même du récit, c'est-à-dire la possibilité d'une rédemption.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
"Oslo, 31 août" a le charme viscéral des oeuvres évoquant les impasses de l'existence.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
"Oslo, 31 août" s'en tient à une sobriété formelle qui confine ici à la modestie la plus noble [...] Ce qui fait sa force (une mise en scène douce, fluide, élégante) mais aussi sa faiblesse (un petit côté scolaire, enfant sage, qui érode un peu l'intensité du récit)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
(...) beau film qui crée en nous de l'empathie sans se départir d'une ambition formelle originale, héritière par certains traits du cinéma moderne des années 60.
L'Obs
"Oslo, 31 août" impose son évidence : une oeuvre forte, en mouvement, vivante.
Les Inrockuptibles
Les mots chatoient plus qu'ils n'imposent des idées toutes prêtes sur le sens de la vie. Cela achève de sortir le film du solo suicidaire posé sur rails. On vogue plutôt dans une belle dérive. Un voyage sans autre bagage que le talent de Trier à éviter l'apitoiement facile et le portrait noir monochrome.
Télérama
Voilà un film qui, au lieu de nous divertir aimablement comme tant d'autres, semble nous demander pourquoi on vit, nous rappeler pourquoi on meurt. D'une beauté foudroyante, d'une lucidité perçante, "Oslo, 31 août" est une perle rare.
20 Minutes
Prometteur et intense [...] Un souffle mortifère balaye cette promenade, errance d'un trentenaire lucide au pays des opportunités gâchées.
Ecran Large
(...) certains ont pu y déceler l'un des symptômes du malaise Norvégien lié aux attaques du mois de juillet. Un anachronisme dans l'air du temps...
L'Humanité
(...) cultivé, rongé par le désir de création, [le] héros passe de l'adolescence à l'âge adulte. De l'hystérie à l'éthique. Du syndrome de Stendhal à celui du " feu follet " inspiré par Drieu La Rochelle. Du mal-être à la difficulté d'être.
Le Figaroscope
Dans une ville superbement filmée, (...) sa caméra accompagne la dérive d'Anders. (...) Le comédien Anders Danielsen Lie fait palpiter sourdement, silencieusement, toutes les raisons de vivre et de mourir, dans un suspens bouleversant.
Le Monde
(...) un film fin et sensible, mais pas dépourvu de cruauté.
Les Fiches du Cinéma
Joachim Trier adapte librement "Le Feu follet" : un film sincère, sans artifice et touchant, qui n'évite toutefois pas certaines maladresses.
Libération
Joachim Trier signe une évocation sensible d'une génération angoissée.
Positif
La beauté du film ne réside pas dans les traits d'un noir fusain dessinant le portrait d'un héros suicidaire, mais au contraire dans l'attention douce, pastel, que Joachim Trier porte aux êtres alentours. (...) Tel se donne ce désuet, cinéphile et francophile "Oslo, 31 août" : le monde ne sonne plus juste, les jeunes êtres s'y portent mal, mais on peut encore en faire, pourquoi pas ? un beau film triste.
Première
Plus direct, moins dispersé, le récit (...) gagne ainsi en intensité dramatique.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Critikat.com
Le point de suspension sur lequel se tient Joachim Trier, et qui voudrait que la trajectoire du film ne soit pas ostensiblement " signifiante ", est une position presque intenable qui est rattrapée par la nature même du récit, c'est-à-dire la possibilité d'une rédemption.
Le Journal du Dimanche
"Oslo, 31 août" a le charme viscéral des oeuvres évoquant les impasses de l'existence.
Le Point
Voir le site du Point.
TéléCinéObs
"Oslo, 31 août" s'en tient à une sobriété formelle qui confine ici à la modestie la plus noble [...] Ce qui fait sa force (une mise en scène douce, fluide, élégante) mais aussi sa faiblesse (un petit côté scolaire, enfant sage, qui érode un peu l'intensité du récit)