Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Excessif
par Romain Le Vern
(...) "Trabalhar Cansa" s'aventure dans un registre audacieux : le film d'horreur aux couleurs sournoisement contemporaines. (...) Ce qui séduit spécifiquement dans ce coup d'essai réside dans une forme d'angoisse subtile, orchestrée avec un calme impavide et accentuée par la pression sociale (...).
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Libération
par La Rédaction
L'irruption du fantastique à pas lent au coeur du quotidien le plus prosaïque fait l'intérêt de ce film soigné et totalement déprimant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
[Le film] emprunte un chemin n'appartenant qu'à lui pour aboutir à une forme de fantastique pur.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Première
par Thomas Agnelli
Avec économie d'effets et anxiété sourde, ce premier long métrage distille une angoisse à la "Dark Water", laissant naître à l'esprit le hors-champ monstrueux avant la révélation d'une invraisemblable vérité. (...) Très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par La Rédaction
L'angoisse va crescendo dans un décor où les cinéastes compensent le manque de moyens par une inventivité remarquable.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Conduit sans réelle fausse note (sauf la dernière séquence, vraiment lourde), le film rate la montée progressive d'intensité propre au genre. (...) L'étrangeté s'y trouve un peu plaquée, et pour être morbide le film n'est pas assez inquiétant.
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Si le film court le risque de décharger le drame social dans la vignette métaphorique de façon trop systématique, sa force réside dans le subtil décalage de ses effets, qui ne viennent pas tout de suite parler pour l'horreur économique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
L'ensemble a des airs de collection un peu laborieuse de courts métrages dissertant sur le travail. Qui trop embrasse mal étreint : "Trabalhar cansa" se suffit à lui-même quand il transforme sa peur du déclassement en vertige à la supérette.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Idée pertinente, relayée par une mise en scène dont la claustrophobie anxieuse accompagne la plongée du couple vers la folie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) l'ambitieux projet de ce premier long métrage - évoquer l'horreur économique en injectant certains codes du film d'horreur dans une chronique qui se veut réaliste - se dévoile sans doute trop tard.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Iris Brey
"Trabalhar cansa" se démarque par l'audace de mêler le genre fantastique au drame familial. Malheureusement, le film s'enlise dans un discours social ennuyeux et perd son charme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Matthieu Bareyre
Résulte de ce mélange sans âme, une métaphorisation du travail animalisant aussi vaine qu'énervante. Attention, film à message, et un seul.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Pas très convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Télérama
par Louis Guichard
Passé les scènes d'exposition, les lourdeurs s'accumulent. (...) Malgré de bons acteurs, les deux cinéastes peinent à transcender leur désenchantement. Et ne savent manifestement que faire du sinistre engrenage enclenché.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
(...) "Trabalhar Cansa" s'aventure dans un registre audacieux : le film d'horreur aux couleurs sournoisement contemporaines. (...) Ce qui séduit spécifiquement dans ce coup d'essai réside dans une forme d'angoisse subtile, orchestrée avec un calme impavide et accentuée par la pression sociale (...).
Libération
L'irruption du fantastique à pas lent au coeur du quotidien le plus prosaïque fait l'intérêt de ce film soigné et totalement déprimant.
Mad Movies
[Le film] emprunte un chemin n'appartenant qu'à lui pour aboutir à une forme de fantastique pur.
Première
Avec économie d'effets et anxiété sourde, ce premier long métrage distille une angoisse à la "Dark Water", laissant naître à l'esprit le hors-champ monstrueux avant la révélation d'une invraisemblable vérité. (...) Très prometteur.
20 Minutes
L'angoisse va crescendo dans un décor où les cinéastes compensent le manque de moyens par une inventivité remarquable.
Cahiers du Cinéma
Conduit sans réelle fausse note (sauf la dernière séquence, vraiment lourde), le film rate la montée progressive d'intensité propre au genre. (...) L'étrangeté s'y trouve un peu plaquée, et pour être morbide le film n'est pas assez inquiétant.
Chronic'art.com
Si le film court le risque de décharger le drame social dans la vignette métaphorique de façon trop systématique, sa force réside dans le subtil décalage de ses effets, qui ne viennent pas tout de suite parler pour l'horreur économique.
Les Inrockuptibles
L'ensemble a des airs de collection un peu laborieuse de courts métrages dissertant sur le travail. Qui trop embrasse mal étreint : "Trabalhar cansa" se suffit à lui-même quand il transforme sa peur du déclassement en vertige à la supérette.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Idée pertinente, relayée par une mise en scène dont la claustrophobie anxieuse accompagne la plongée du couple vers la folie.
Le Monde
(...) l'ambitieux projet de ce premier long métrage - évoquer l'horreur économique en injectant certains codes du film d'horreur dans une chronique qui se veut réaliste - se dévoile sans doute trop tard.
Les Fiches du Cinéma
"Trabalhar cansa" se démarque par l'audace de mêler le genre fantastique au drame familial. Malheureusement, le film s'enlise dans un discours social ennuyeux et perd son charme.
Critikat.com
Résulte de ce mélange sans âme, une métaphorisation du travail animalisant aussi vaine qu'énervante. Attention, film à message, et un seul.
Le Figaroscope
Pas très convaincant.
Télérama
Passé les scènes d'exposition, les lourdeurs s'accumulent. (...) Malgré de bons acteurs, les deux cinéastes peinent à transcender leur désenchantement. Et ne savent manifestement que faire du sinistre engrenage enclenché.