Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Critikat.com
par Théo Ribeton
"Sleeping Beauty" est une oeuvre puissamment anxiogène, radicale, intelligente — osons le mot, majeure.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Elle
par Anne Diatkine
Julia montre quelque chose de la féminité qui n'a rien à voir avec la séduction. Depuis "Sleeping Beauty", la jeune actrice (...) a de nouveau le goût de jouer, mais de préférence dans les "films d'auteurs". Une égérie est née.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Romain Le Vern
Plus le film devient explicite dans la sexualité, plus il donne à voir ce qui se cache sous la surface reluisante, plus il révèle sa morbidité.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sur le moment, le soin presque maniaque avec lequel Julia Leigh met de l'ordre et de l'harmonie dans ce qui n'est, après tout, que l'Australie urbaine du XXIe siècle apparaît comme un obstacle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Metro
par Jérôme Vermelin
Un portrait de femme singulier, qui vaut bien mieux que le bandeau "censuré" qui barre désormais l'affiche.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Eithne O'neill
(...) ce premier film (...) est dans la lignée de la productrice, Jane Campion. Certains trouveront le dépouillement (...) du récit (...) peu à leur goût ; d'autres (...) apprécient (...) la résonance du propos.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Thomas Agnelli
Quelque part entre Lodge Kerrigan et Luis Buñuel, un premier film australien très troublant.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Inaccompli mais toujours fascinant, "Sleeping Beauty" résonne comme un appel au secours dans un monde sans amour où l'on ne croit plus en rien, et encore moins aux belles histoires.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Un film à la fois mélancolique et distant (...). Un roulement de tambour prometteur qui s'achève par une grève de l'orchestre.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Le film avait de jolies promesses érotiques. Le résultat est une succession de tableaux élégants de chambre à coucher bien cadrées, mais où les intentions à la fois féériques et cliniques (...) sont, comme Blanche-Neige après avoir croqué la pomme, prises dans un cercueil de verre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Tout est méticuleux (...) dans la mise en scène de Julia Leigh (...). Un écrin vide ? Plutôt un film sur un vide à combler. (...) Le traitement n'est pas nouveau, mais le traitement sous la forme d'une fable perverse, l'est.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Emily Browning, ou l'événement érotique de l'année. (...) Le ratage total des scènes de groupe de maison close puis des clients individuels, révèlent l'impuissance à filmer le sexe et le désir. Julia Leigh préfère s'acheter une bonne conscience de " grand auteur ", avec filmage lisse et temporisation minutieuse (et compétition à Cannes).
Chronic'art.com
par Axel Zeppenfeld
"Sleeping beauty" veut représenter les codes bourgeois dans un même mouvement fétichiste et mortifère. Par cohérence ou par incapacité, il ne parvient à figurer rien d'autre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Didier Péron
"Sleeping Beauty" est refroidissant : symétrie des plans, acteurs impassibles, sexualité purement posturale, récit robotique
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Ecran Large
par Stéphane Argentin
Aussi réussie sur la forme que vide sur le fond, cette relecture contemporaine du mythique conte de "La Belle au bois dormant" tourne rapidement en rond et devient vite rasante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Critikat.com
"Sleeping Beauty" est une oeuvre puissamment anxiogène, radicale, intelligente — osons le mot, majeure.
Le Point
Voir le site lepoint.fr
Elle
Julia montre quelque chose de la féminité qui n'a rien à voir avec la séduction. Depuis "Sleeping Beauty", la jeune actrice (...) a de nouveau le goût de jouer, mais de préférence dans les "films d'auteurs". Une égérie est née.
Excessif
Plus le film devient explicite dans la sexualité, plus il donne à voir ce qui se cache sous la surface reluisante, plus il révèle sa morbidité.
Le Monde
Sur le moment, le soin presque maniaque avec lequel Julia Leigh met de l'ordre et de l'harmonie dans ce qui n'est, après tout, que l'Australie urbaine du XXIe siècle apparaît comme un obstacle.
Metro
Un portrait de femme singulier, qui vaut bien mieux que le bandeau "censuré" qui barre désormais l'affiche.
Positif
(...) ce premier film (...) est dans la lignée de la productrice, Jane Campion. Certains trouveront le dépouillement (...) du récit (...) peu à leur goût ; d'autres (...) apprécient (...) la résonance du propos.
Première
Quelque part entre Lodge Kerrigan et Luis Buñuel, un premier film australien très troublant.
TéléCinéObs
Inaccompli mais toujours fascinant, "Sleeping Beauty" résonne comme un appel au secours dans un monde sans amour où l'on ne croit plus en rien, et encore moins aux belles histoires.
Charlie Hebdo
Un film à la fois mélancolique et distant (...). Un roulement de tambour prometteur qui s'achève par une grève de l'orchestre.
Les Inrockuptibles
Le film avait de jolies promesses érotiques. Le résultat est une succession de tableaux élégants de chambre à coucher bien cadrées, mais où les intentions à la fois féériques et cliniques (...) sont, comme Blanche-Neige après avoir croqué la pomme, prises dans un cercueil de verre.
Télérama
Tout est méticuleux (...) dans la mise en scène de Julia Leigh (...). Un écrin vide ? Plutôt un film sur un vide à combler. (...) Le traitement n'est pas nouveau, mais le traitement sous la forme d'une fable perverse, l'est.
Cahiers du Cinéma
Emily Browning, ou l'événement érotique de l'année. (...) Le ratage total des scènes de groupe de maison close puis des clients individuels, révèlent l'impuissance à filmer le sexe et le désir. Julia Leigh préfère s'acheter une bonne conscience de " grand auteur ", avec filmage lisse et temporisation minutieuse (et compétition à Cannes).
Chronic'art.com
"Sleeping beauty" veut représenter les codes bourgeois dans un même mouvement fétichiste et mortifère. Par cohérence ou par incapacité, il ne parvient à figurer rien d'autre.
Libération
"Sleeping Beauty" est refroidissant : symétrie des plans, acteurs impassibles, sexualité purement posturale, récit robotique
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Ecran Large
Aussi réussie sur la forme que vide sur le fond, cette relecture contemporaine du mythique conte de "La Belle au bois dormant" tourne rapidement en rond et devient vite rasante.