Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Météore romantique et anarchique, "Bellflower" possède toute la générosité et l'énergie que l'on peut attendre d'un premier film.
Metro
par Jérôme Vermelin
On ressort de "Bellflower" sonné, étourdi, la tête à l'envers, les sens en éveil. Heureux d'avoir assisté à l'éclosion d'un talent monstre.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Critikat.com
par Julien Marsa
Un film hypertrophié, boursouflé, bardé de fulgurantes excroissances, qui réussit paradoxalement à porter au forceps un regard mesuré et juste sur ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
(...) [Evan Glodell] mérite une reconnaissance en vertu du trouble qu'il diffuse : il ose de vraies expérimentations d'alchimiste (...) et réussit à fabriquer de l'universel marginal, à une heure où le cinéma indépendant crève la gueule ouverte (...). On aimerait que d'autres jeunes auteurs le suivent dans cette alternative on ne peut plus salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tout en se laissant aller au plaisir un peu régressif, si l'on a plus de 23 ans, de ce déchaînement sensoriel, on percevra bientôt un contrechant. "Bellflower" est aussi un récit de formation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Evan Glodell y fait le portrait d'une jeunesse nihiliste ancrée dans une Amérique aux faubourgs déserts, qui impressionne par l'ambitieuse construction de son récit. Son film n'est pas sans défauts (de rythme notamment), mais il révèle sans nul doute un auteur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
Les tribulations de deux potes dans leur drôle de voiture, armée pour triompher de la fin demonde, ont le charme comme la maladresse d'une première oeuvre foisonnante d'idées et d'influences.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Julien Welter
Si sa mise en scène esthétisante brouillonne parfois le récit, Evan Glodell possède une belle énergie et de jolis moments d'onirisme trash.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
Evan Glodell parvient à tout jeter à l'écran d'un même mouvement, maladroit quelquefois, mais plus que prometteur. Un budget de dix-sept mille dollars, une caméra numérique modifiée maison (...) des cadres renversés, une distribution de copains... tout cela vient alimenter une belle créativité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Premier film indépendant qui a fait sensation à Sundance, "Bellflower" est un croisement un peu fou entre film d'auteur et violence "geek". Mais son originalité est peut-être assez artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Julien Gester
Très affairé à son devenir culte, trop long, trop crâneur et ivre de ses effets (...) Reste que l'on peut se laisser étourdir par le venimeux de cette histoire (...). Désincarnée, constellée d'éclats nostalgiques d'instants qui auraient pu advenir, hantée par les fétiches postapocalyptiques de "Mad Max", elle consume ses ardeurs dans un flamboiement assez vain, mais non sans charme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Ici, la mythologie pop emblématique de la contre-culture dévorant le bitume s'inverse en effets de boucles et de surplace inquiétants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Rouyer
Il aura fallu endurer tous les tics d'une mise en scène maniériste qui abuse des filtres, des ralentis et de tous les signes extérieurs d'un passage trop long et trop solitaire dans la salle de montage.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Thomas Agnelli
Bien qu'un peu arty et esthétisant, le résultat parvient à séduire par ses visions poétiques (...), son énergie contagieuse et ses fugaces instants de mélancolie. De quoi faire la différence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Samuel Douhaire
C'est par ses audaces formelles que le réalisateur-scénariste-monteur - et très bon acteur principal - Evan Glodell impose son originalité. (...) Une énergie romantique qui revigore.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Tonton BDM
La naissance d'un cinéaste à la sensibilité à fleur de peau, mais un film raté dans les grandes largeurs.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si son récit ne passionne pas forcément, il se révèle le portrait de jeunes Américains paumés, qui vivent d'expédients sans espoir de trouver leur place dans la société.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par La Rédaction
Un pur produit de la contre-culture américaine version années 2000. Pour amateurs seulement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Des images explosives, certes, mais beaucoup de bruit pour (presque) rien : du style sur un drame convenu et bavard.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
"Bellflower" a des airs de court-métrage qui aurait dégénéré.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Cahiers du Cinéma
Météore romantique et anarchique, "Bellflower" possède toute la générosité et l'énergie que l'on peut attendre d'un premier film.
Metro
On ressort de "Bellflower" sonné, étourdi, la tête à l'envers, les sens en éveil. Heureux d'avoir assisté à l'éclosion d'un talent monstre.
Critikat.com
Un film hypertrophié, boursouflé, bardé de fulgurantes excroissances, qui réussit paradoxalement à porter au forceps un regard mesuré et juste sur ses personnages.
Excessif
(...) [Evan Glodell] mérite une reconnaissance en vertu du trouble qu'il diffuse : il ose de vraies expérimentations d'alchimiste (...) et réussit à fabriquer de l'universel marginal, à une heure où le cinéma indépendant crève la gueule ouverte (...). On aimerait que d'autres jeunes auteurs le suivent dans cette alternative on ne peut plus salutaire.
Le Monde
Tout en se laissant aller au plaisir un peu régressif, si l'on a plus de 23 ans, de ce déchaînement sensoriel, on percevra bientôt un contrechant. "Bellflower" est aussi un récit de formation.
TéléCinéObs
Evan Glodell y fait le portrait d'une jeunesse nihiliste ancrée dans une Amérique aux faubourgs déserts, qui impressionne par l'ambitieuse construction de son récit. Son film n'est pas sans défauts (de rythme notamment), mais il révèle sans nul doute un auteur.
20 Minutes
Les tribulations de deux potes dans leur drôle de voiture, armée pour triompher de la fin demonde, ont le charme comme la maladresse d'une première oeuvre foisonnante d'idées et d'influences.
L'Express
Si sa mise en scène esthétisante brouillonne parfois le récit, Evan Glodell possède une belle énergie et de jolis moments d'onirisme trash.
L'Humanité
Evan Glodell parvient à tout jeter à l'écran d'un même mouvement, maladroit quelquefois, mais plus que prometteur. Un budget de dix-sept mille dollars, une caméra numérique modifiée maison (...) des cadres renversés, une distribution de copains... tout cela vient alimenter une belle créativité.
Les Fiches du Cinéma
Premier film indépendant qui a fait sensation à Sundance, "Bellflower" est un croisement un peu fou entre film d'auteur et violence "geek". Mais son originalité est peut-être assez artificielle.
Les Inrockuptibles
Très affairé à son devenir culte, trop long, trop crâneur et ivre de ses effets (...) Reste que l'on peut se laisser étourdir par le venimeux de cette histoire (...). Désincarnée, constellée d'éclats nostalgiques d'instants qui auraient pu advenir, hantée par les fétiches postapocalyptiques de "Mad Max", elle consume ses ardeurs dans un flamboiement assez vain, mais non sans charme.
Libération
Ici, la mythologie pop emblématique de la contre-culture dévorant le bitume s'inverse en effets de boucles et de surplace inquiétants.
Positif
Il aura fallu endurer tous les tics d'une mise en scène maniériste qui abuse des filtres, des ralentis et de tous les signes extérieurs d'un passage trop long et trop solitaire dans la salle de montage.
Première
Bien qu'un peu arty et esthétisant, le résultat parvient à séduire par ses visions poétiques (...), son énergie contagieuse et ses fugaces instants de mélancolie. De quoi faire la différence.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
C'est par ses audaces formelles que le réalisateur-scénariste-monteur - et très bon acteur principal - Evan Glodell impose son originalité. (...) Une énergie romantique qui revigore.
Ecran Large
La naissance d'un cinéaste à la sensibilité à fleur de peau, mais un film raté dans les grandes largeurs.
La Croix
Si son récit ne passionne pas forcément, il se révèle le portrait de jeunes Américains paumés, qui vivent d'expédients sans espoir de trouver leur place dans la société.
Le Figaroscope
Un pur produit de la contre-culture américaine version années 2000. Pour amateurs seulement.
Le Journal du Dimanche
Des images explosives, certes, mais beaucoup de bruit pour (presque) rien : du style sur un drame convenu et bavard.
CinemaTeaser
"Bellflower" a des airs de court-métrage qui aurait dégénéré.
Le Point
Voir le site du Point