Duch, le maître des forges de l'enfer : Critique presse
Duch, le maître des forges de l'enfer
Note moyenne
4,5
16 titres de presse
Critikat.com
L'Express
L'Obs
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Première
TéléCinéObs
Télérama
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Point
Les Fiches du Cinéma
Positif
Studio Ciné Live
Le Figaroscope
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Critikat.com
par Vincent Garreau
Au lieu d'une confrontation, le cinéaste enregistre l'impossible rencontre, c'est-à-dire l'impossible appropriation du bourreau par la victime. On a beau chercher le Mal sous les rides du vieillard, plus on se rapproche moins l'incarnation se précise.
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Une oeuvre de cinéma dont la fonction première est de faire naître une lueur au coeur des ténèbres au Cambodge entre 1975 et 1979, en Europe il y a soixante-dix ans, ici et là dans le monde d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Duch, le maître des forges de l'enfer" est un film d'une rare puissance (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) D'une ampleur comparable au "Shoah" de Claude Lanzmann, "Duch" rappelle que les atrocités de l'histoire sont commises par des êtres banals. (...) Il rappelle que (...) les victimes de génocides ne crient jamais vengeance, ne recherchant que la justice et la vérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La Rédaction
Un document unique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Philippe Jambet
Face à ce numéro de prétoire, Rithy Panh ne parle pas mais montre. Des documents d'archives à charge, des extraits de "S21" où sont détaillées ses exactions. Duch se cabre, en arrive même à rire. (...) Le mal à l'état pur.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Le film de Rithy Panh [...] nous donne à voir le masque si trompeur du mal.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par La rédaction
Huit ans après S21, la machine de mort khmère rouge, cet entretien avec un criminel de guerre, confronté aux preuves de sa culpabilité, témoigne une fois encore de la barbarie du régime de Pol Pot au Cambodge. Un document bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
L'exercice est risqué, laissant le bourreau à lui-même. (...) Mais le film montre parfaitement les louvoiements pathétiques de cet homme à l'intérieur de la vérité.
Critikat.com
par Guillaume Morel
"Duch, le maître des forges de l'enfer" est bien le résultat d'un pacte filmique entre un filmeur et son ennemi, un espace forcément d'entente pour que la parole puisse s'y délier. Il faut alors prendre la mesure de l'importance du geste documentaire de Rithy Panh (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Rocco Labbé
Mise en scène sobre, dispositif plus fin qu'il n'y paraît : Rithy Panh livre un document précieux sur l'étude de l'inconcevable. Au-delà du génocide cambodgien, le cinéaste cambodgien touche à l'essence du mal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Sylvie Rollet
Le film (...) mobilise la puissance propre du cinéma : ce que seul il peut rendre sensible et donner ainsi à penser.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Que se passe-t-il dans la tête de ce bourreau qui cite en français Balzac et croit au pardon du Christ ? Rien. Une absence. Le bien, le mal, la vérité, quelle importance ?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Critikat.com
Au lieu d'une confrontation, le cinéaste enregistre l'impossible rencontre, c'est-à-dire l'impossible appropriation du bourreau par la victime. On a beau chercher le Mal sous les rides du vieillard, plus on se rapproche moins l'incarnation se précise.
L'Express
Voir le site lexpress.fr
L'Obs
Une oeuvre de cinéma dont la fonction première est de faire naître une lueur au coeur des ténèbres au Cambodge entre 1975 et 1979, en Europe il y a soixante-dix ans, ici et là dans le monde d'aujourd'hui.
Le Monde
"Duch, le maître des forges de l'enfer" est un film d'une rare puissance (...).
Les Inrockuptibles
(...) D'une ampleur comparable au "Shoah" de Claude Lanzmann, "Duch" rappelle que les atrocités de l'histoire sont commises par des êtres banals. (...) Il rappelle que (...) les victimes de génocides ne crient jamais vengeance, ne recherchant que la justice et la vérité.
Libération
Un document unique.
Première
Face à ce numéro de prétoire, Rithy Panh ne parle pas mais montre. Des documents d'archives à charge, des extraits de "S21" où sont détaillées ses exactions. Duch se cabre, en arrive même à rire. (...) Le mal à l'état pur.
TéléCinéObs
Le film de Rithy Panh [...] nous donne à voir le masque si trompeur du mal.
Télérama
Huit ans après S21, la machine de mort khmère rouge, cet entretien avec un criminel de guerre, confronté aux preuves de sa culpabilité, témoigne une fois encore de la barbarie du régime de Pol Pot au Cambodge. Un document bouleversant.
Cahiers du Cinéma
L'exercice est risqué, laissant le bourreau à lui-même. (...) Mais le film montre parfaitement les louvoiements pathétiques de cet homme à l'intérieur de la vérité.
Critikat.com
"Duch, le maître des forges de l'enfer" est bien le résultat d'un pacte filmique entre un filmeur et son ennemi, un espace forcément d'entente pour que la parole puisse s'y délier. Il faut alors prendre la mesure de l'importance du geste documentaire de Rithy Panh (...).
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Mise en scène sobre, dispositif plus fin qu'il n'y paraît : Rithy Panh livre un document précieux sur l'étude de l'inconcevable. Au-delà du génocide cambodgien, le cinéaste cambodgien touche à l'essence du mal.
Positif
Le film (...) mobilise la puissance propre du cinéma : ce que seul il peut rendre sensible et donner ainsi à penser.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Le Figaroscope
Que se passe-t-il dans la tête de ce bourreau qui cite en français Balzac et croit au pardon du Christ ? Rien. Une absence. Le bien, le mal, la vérité, quelle importance ?