Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
L'Humanité
par Michèle Levieux
Avec "Il était une fois en Anatolie", le cinéaste turc Nuri Bilge Ceylan est définitivement entré dans la cour des grands réalisateurs du monde.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Nuri Bilge Ceylan a réalisé son chef d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Nuri Bilge Ceylan joue avec le temps et la durée comme il filme les êtres, au plus près de leur densité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Nuri Bilge Ceylan (...) vous amènera jusqu'à une aube faite de révélations et de regrets, qui laisse aussi bouleversé et inquiet que la dernière page des Frères Karamazov.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marc Semo
Grand prix à Cannes, le cinéaste turc (Nuri Bilge Ceylan) métamorphose un fait divers horrible en somptueuse errance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Il ne faut pas résister, il faut se laisser embarquer dans ce long voyage au bout de la nuit des incertitudes. (...) Un film magnifique et troublant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Élise Domenach
Nuri Bilge Ceylan atteint la profonde noirceur d'un Dostoïevski, la puissance d'évocation de sa prose où le réel voisine avec la fable. Sa maîtrise des lumières et des cadrages (...) en devient légendaire.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Pierre Murat
[Un] film contemplatif et doux, tout empreint d'un amour infini pour l'âme humaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Une oeuvre brillante qui flirte avec le documentaire pour pénétrer au coeur des drames humains.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Olivia Cooper Hadjian & Arnaud Hée
Une oeuvre joueuse [...] sachant faire entrer une certaine bouffonnerie et les aspérités, petites et grandes, de l'existence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une épreuve pour certains, une splendeur pour d'autres.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Il était une fois en Anatolie" a la beauté des films rares et fiers, minoritaires dans leur époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Nuri Bilge Ceylan provoque l'ennui autant que l'enthousiasme et sa nouvelle livraison, Grand Prix du festival de Cannes au mois de mai, est bien de la même veine. Exigeante et radicale.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
Une merveille qui se mérite...ou irrite.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Au fond, Ceylan ne fait qu'imiter la vie, avec une force stupéfiante. (...) Très impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
POUR : Voir le site Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par François Forestier
C'est d'une grande beauté, mais, il faut l'avouer, le réalisateur nous propose deux voies : soit on est fasciné, soit on s'ennuie à mourir. A chacun sa vérité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film ploie sous la masse d'indices interprétatifs générés durant sa longue marche dans la nuit, sans pouvoir forcément dégager une ligne fictionnelle plus ferme dans sa seconde partie. (...) Reste que le film aura tout de même imposé sa méthode, à la fois désarmante et d'une incroyable ambition philosophique et romanesque.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Les fans de Ceylan et les abonnés de Géo magazine pourront se réjouir : en matière de photoreportage luxueux, la première partie du film, longue et nocturne, est d'une indéniable virtuosité. Et si l'inspiration n'est jamais très loin d'un spot Renault Laguna des 90's, il faut reconnaître que Ceylan fait ici meilleur usage de son décor.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Anne Diatkine
C'est le premier huis clos de l'histoire du cinéma qui se déroule en extérieur, tant on se sent enserré par l'obscurité et la lumière jaune des phares et de la Lune.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette, Emmanuèle Frois
Le film, très lent, a valu à Nuri Bilge Ceylan le grand prix du jury à Cannes, mais il tient plus d'un épisode raté de Columbo.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
CONTRE : Voir le site Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Humanité
Avec "Il était une fois en Anatolie", le cinéaste turc Nuri Bilge Ceylan est définitivement entré dans la cour des grands réalisateurs du monde.
L'Obs
Nuri Bilge Ceylan a réalisé son chef d'oeuvre.
La Croix
Nuri Bilge Ceylan joue avec le temps et la durée comme il filme les êtres, au plus près de leur densité.
Le Monde
Nuri Bilge Ceylan (...) vous amènera jusqu'à une aube faite de révélations et de regrets, qui laisse aussi bouleversé et inquiet que la dernière page des Frères Karamazov.
Libération
Grand prix à Cannes, le cinéaste turc (Nuri Bilge Ceylan) métamorphose un fait divers horrible en somptueuse errance.
Marianne
Il ne faut pas résister, il faut se laisser embarquer dans ce long voyage au bout de la nuit des incertitudes. (...) Un film magnifique et troublant.
Positif
Nuri Bilge Ceylan atteint la profonde noirceur d'un Dostoïevski, la puissance d'évocation de sa prose où le réel voisine avec la fable. Sa maîtrise des lumières et des cadrages (...) en devient légendaire.
Télérama
[Un] film contemplatif et doux, tout empreint d'un amour infini pour l'âme humaine.
20 Minutes
Une oeuvre brillante qui flirte avec le documentaire pour pénétrer au coeur des drames humains.
Critikat.com
Une oeuvre joueuse [...] sachant faire entrer une certaine bouffonnerie et les aspérités, petites et grandes, de l'existence.
Le Journal du Dimanche
Une épreuve pour certains, une splendeur pour d'autres.
Le Point
Voir le site lepoint.fr
Les Inrockuptibles
"Il était une fois en Anatolie" a la beauté des films rares et fiers, minoritaires dans leur époque.
Ouest France
Nuri Bilge Ceylan provoque l'ennui autant que l'enthousiasme et sa nouvelle livraison, Grand Prix du festival de Cannes au mois de mai, est bien de la même veine. Exigeante et radicale.
Paris Match
Une merveille qui se mérite...ou irrite.
Première
Au fond, Ceylan ne fait qu'imiter la vie, avec une force stupéfiante. (...) Très impressionnant.
Studio Ciné Live
POUR : Voir le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
C'est d'une grande beauté, mais, il faut l'avouer, le réalisateur nous propose deux voies : soit on est fasciné, soit on s'ennuie à mourir. A chacun sa vérité.
Cahiers du Cinéma
Le film ploie sous la masse d'indices interprétatifs générés durant sa longue marche dans la nuit, sans pouvoir forcément dégager une ligne fictionnelle plus ferme dans sa seconde partie. (...) Reste que le film aura tout de même imposé sa méthode, à la fois désarmante et d'une incroyable ambition philosophique et romanesque.
Chronic'art.com
Les fans de Ceylan et les abonnés de Géo magazine pourront se réjouir : en matière de photoreportage luxueux, la première partie du film, longue et nocturne, est d'une indéniable virtuosité. Et si l'inspiration n'est jamais très loin d'un spot Renault Laguna des 90's, il faut reconnaître que Ceylan fait ici meilleur usage de son décor.
Elle
C'est le premier huis clos de l'histoire du cinéma qui se déroule en extérieur, tant on se sent enserré par l'obscurité et la lumière jaune des phares et de la Lune.
L'Express
Voir le site lexpress.fr
Le Figaroscope
Le film, très lent, a valu à Nuri Bilge Ceylan le grand prix du jury à Cannes, mais il tient plus d'un épisode raté de Columbo.
Studio Ciné Live
CONTRE : Voir le site Studio Ciné Live