Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Baguenaude anarchisante et traité de la vie sauvage, ce film de paysage se termine dans une euphorie au fond assez rare dans le cinéma français, surtout celui qui ne se départit pas d'un goût de la revendication provocante et des ambiguïtés assumées.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le quatrième film du cinéaste confirme avec éclat que Rabah Ameur-Zaïmeche, également acteur, possède de l'histoire et du temps présent une vision, que son talent sûr lui permet d'éclairer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Olivier Séguret
Aller chercher Mandrin aujourd'hui, qui est en quelque sorte notre Robin des Bois national, c'était déjà une idée brillante. Le traiter dans un jus si authentique, si dénué d'effets, si direct et frontal, malgré la subtile médiation de la mise en scène, voilà qui est encore mieux vu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
par Caroline Vié
"Les Chants de Mandrin" est un appel à la résistance et à la fronde.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Vincent Garreau
La mégalomanie persistante du cinéaste n'y fera rien : le film brille par sa façon de faire passer les spécialistes pour les amateurs, pour son militantisme poétique, et son humanisme décontract.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ecran Large
par Laure Beaudonnet
"Les Chants de Mandrin" n'a pas besoin de se soumettre aux règles classiques de la narration pour être captivant. Assez paradoxalement, l'usage du concret ne le rend pas moins onirique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Excessif
par Nicolas Gilli
Un film foncièrement paradoxal mais qui développe jusqu'à son hypnotisante séquence de fin un discours politique très engagé.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
par Isabelle Regnier
Inventant de nouveaux récits, de nouveaux héros, de nouveaux paysages, [les films de Rabah Ameur-Zaïmeche] ne se contentent pas de représenter une communauté, ils pensent le monde actuel, (...) les nouvelles formes d'oppression à l'oeuvre (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Malgré l'évidente sensibilité qui lie Rabah Ameur-Zaïmeche à son sujet, ce récit - sorte de manifeste liant histoire, politique et poésie – est par trop inégal et didactique pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) La beauté du cinéma de Rabah Ameur-Zaïmeche, dans ce film comme dans les précédents, réside dans une singulière alliance entre un propos quasi insurrectionnel et une tonalité très douce.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
La révolte rejoint la poésie. La beauté du film doit beaucoup à son éloge d'une fraternité capable d'abolir les différences entre les classes sociales, et entre les générations.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Mathieu Macheret
"Les Chants de Mandrin", enthousiasmant, n'en pointe pas moins certaines limites d'un cinéma qui jusqu'alors n'avait fait que monter en puissance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Parfois déconcertant, desservi par quelques maladresses de dialogues mais porté par une vraie force poétique, le film ouvre un espace, et entre en résonance discrète avec certaines des indignations d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Isabelle Danel
Drôle d'objet que ce long métrage incongru et anachronique : entre improvisation et reconstitution, tout ne fonctionne pas, mais pourtant (...), la liberté et la poésie affleurent parfois.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Son approche (à Rabah Ameur-Zaïmeche) s'inspire de celle de René Allio dans "Les Camisards" qui consiste à privilégier l'aspect politique de cette histoire et non le caractère épique sans sacrifier le spectacle pour autant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Eric Libiot
Ameur-Zaïmeche (...) sait filmer, et certaines scènes sont particulièrement inspirées (...). Le récit avance, se répète et n'embraie jamais la seconde. On aimerait un peu plus de rage et de complexité. Là, il n'y a qu'une illustration d'un discours d'école primaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
L'écriture reste didactique et il arrive que le jeu des acteurs sonne faux. (...) Pourtant, en dépit de ses défauts, reconnaissons un certain charme à ce drôle de film en costumes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Alain Masson
(...) chez le cinéaste la représentation concrète manque d'unité et de cohérence. (...) Qualités ou défauts, ces caractéristiques, délibérées ou non, s'ajustent bien mal entre elles.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
Baguenaude anarchisante et traité de la vie sauvage, ce film de paysage se termine dans une euphorie au fond assez rare dans le cinéma français, surtout celui qui ne se départit pas d'un goût de la revendication provocante et des ambiguïtés assumées.
L'Obs
Le quatrième film du cinéaste confirme avec éclat que Rabah Ameur-Zaïmeche, également acteur, possède de l'histoire et du temps présent une vision, que son talent sûr lui permet d'éclairer.
Libération
Aller chercher Mandrin aujourd'hui, qui est en quelque sorte notre Robin des Bois national, c'était déjà une idée brillante. Le traiter dans un jus si authentique, si dénué d'effets, si direct et frontal, malgré la subtile médiation de la mise en scène, voilà qui est encore mieux vu.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
20 Minutes
"Les Chants de Mandrin" est un appel à la résistance et à la fronde.
Chronic'art.com
La mégalomanie persistante du cinéaste n'y fera rien : le film brille par sa façon de faire passer les spécialistes pour les amateurs, pour son militantisme poétique, et son humanisme décontract.
Ecran Large
"Les Chants de Mandrin" n'a pas besoin de se soumettre aux règles classiques de la narration pour être captivant. Assez paradoxalement, l'usage du concret ne le rend pas moins onirique.
Excessif
Un film foncièrement paradoxal mais qui développe jusqu'à son hypnotisante séquence de fin un discours politique très engagé.
Le Monde
Inventant de nouveaux récits, de nouveaux héros, de nouveaux paysages, [les films de Rabah Ameur-Zaïmeche] ne se contentent pas de représenter une communauté, ils pensent le monde actuel, (...) les nouvelles formes d'oppression à l'oeuvre (...).
Les Fiches du Cinéma
Malgré l'évidente sensibilité qui lie Rabah Ameur-Zaïmeche à son sujet, ce récit - sorte de manifeste liant histoire, politique et poésie – est par trop inégal et didactique pour convaincre.
Les Inrockuptibles
(...) La beauté du cinéma de Rabah Ameur-Zaïmeche, dans ce film comme dans les précédents, réside dans une singulière alliance entre un propos quasi insurrectionnel et une tonalité très douce.
Télérama
La révolte rejoint la poésie. La beauté du film doit beaucoup à son éloge d'une fraternité capable d'abolir les différences entre les classes sociales, et entre les générations.
Critikat.com
"Les Chants de Mandrin", enthousiasmant, n'en pointe pas moins certaines limites d'un cinéma qui jusqu'alors n'avait fait que monter en puissance.
La Croix
Parfois déconcertant, desservi par quelques maladresses de dialogues mais porté par une vraie force poétique, le film ouvre un espace, et entre en résonance discrète avec certaines des indignations d'aujourd'hui.
Première
Drôle d'objet que ce long métrage incongru et anachronique : entre improvisation et reconstitution, tout ne fonctionne pas, mais pourtant (...), la liberté et la poésie affleurent parfois.
TéléCinéObs
Son approche (à Rabah Ameur-Zaïmeche) s'inspire de celle de René Allio dans "Les Camisards" qui consiste à privilégier l'aspect politique de cette histoire et non le caractère épique sans sacrifier le spectacle pour autant.
L'Express
Ameur-Zaïmeche (...) sait filmer, et certaines scènes sont particulièrement inspirées (...). Le récit avance, se répète et n'embraie jamais la seconde. On aimerait un peu plus de rage et de complexité. Là, il n'y a qu'une illustration d'un discours d'école primaire.
Le Journal du Dimanche
L'écriture reste didactique et il arrive que le jeu des acteurs sonne faux. (...) Pourtant, en dépit de ses défauts, reconnaissons un certain charme à ce drôle de film en costumes.
Le Point
Voir le site du Point.
Positif
(...) chez le cinéaste la représentation concrète manque d'unité et de cohérence. (...) Qualités ou défauts, ces caractéristiques, délibérées ou non, s'ajustent bien mal entre elles.