Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) c'est grand, c'est puissant, c'est formidable. "Le Sentiment de la chair" est un film qu'on a dans la peau.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La Croix
par Arnaud Schwartz
Stupéfiante réussite que ce premier long métrage à l'univers aussi singulier que dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gilles Renault
Optant pour la cohérence d'une atmosphère confinée (...), Garzelli sillonne (...) certaines thématiques chères à David Cronenberg - bien qu'il préfère citer Ferreri - en observant de façon presque clinique le contact des épidermes de deux tourtereaux pris de vertige.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Tendu comme un thriller, cet étrange premier film, adroitement maîtrisé, est une allégorie de l'amour absolu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Bernard Achour
(...) Un authentique début de vertige.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Le sujet de ce premier film est fort, même si Roberto Garzelli (Italien vivant en France) peine un peu à le dramatiser. Le récit décolle quand se dessinent nettement les rapports de force au sein du couple, elle fausse naïve, lui vrai manipulé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Il y a un effort de cohérence dans la mise en scène, dont le symptôme le plus visible est cette omniprésence de la couleur rouge qui cerne l'héroïne. Manque l'intensité, ce quelque chose d'indéfinissable qui génère un trouble, un suspense, qui emporte le spectateur, lui communique la fièvre des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Vincent Thabourey
(...) un curieux mélange qui dépasse difficilement le stade de la mise en images trop apppliquée d'une thèse pourtant a priori audacieuse.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le résultat est parfois maladroit dans sa mise en images mais ce glissement réussi vers un fantastique réaliste, que ne renierait pas Cronenberg, emporte l'adhésion (...).
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Parisien
(...) c'est grand, c'est puissant, c'est formidable. "Le Sentiment de la chair" est un film qu'on a dans la peau.
La Croix
Stupéfiante réussite que ce premier long métrage à l'univers aussi singulier que dérangeant.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Libération
Optant pour la cohérence d'une atmosphère confinée (...), Garzelli sillonne (...) certaines thématiques chères à David Cronenberg - bien qu'il préfère citer Ferreri - en observant de façon presque clinique le contact des épidermes de deux tourtereaux pris de vertige.
Paris Match
Tendu comme un thriller, cet étrange premier film, adroitement maîtrisé, est une allégorie de l'amour absolu.
Première
(...) Un authentique début de vertige.
Télérama
Le sujet de ce premier film est fort, même si Roberto Garzelli (Italien vivant en France) peine un peu à le dramatiser. Le récit décolle quand se dessinent nettement les rapports de force au sein du couple, elle fausse naïve, lui vrai manipulé.
Le Monde
Il y a un effort de cohérence dans la mise en scène, dont le symptôme le plus visible est cette omniprésence de la couleur rouge qui cerne l'héroïne. Manque l'intensité, ce quelque chose d'indéfinissable qui génère un trouble, un suspense, qui emporte le spectateur, lui communique la fièvre des personnages.
Positif
(...) un curieux mélange qui dépasse difficilement le stade de la mise en images trop apppliquée d'une thèse pourtant a priori audacieuse.
Studio Ciné Live
Le résultat est parfois maladroit dans sa mise en images mais ce glissement réussi vers un fantastique réaliste, que ne renierait pas Cronenberg, emporte l'adhésion (...).