Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Elle
par Emilie Poyard
Le réalisateur nous offre un joli regard sur les relations mère-enfants mais aussi sur les liens qui unissent les frères et soeurs. (...) Même si le sujet pourrait en effrayer certaines, rien de glauque dans "La Prima Cosa Bella". L'humour est le fil conducteur.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Parisien
par Alain Grasset
Malgré un sujet qui pourrait sembler plombant, Paolo Virzì, entre rire et émotion, brosse l'itinéraire de ce quadra dans l'Italie des années 1970 à aujourd'hui. A la fois drôle et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Rania Hoballah
Micaela Ramazzotti (...) a conquis le coeur du public italien avec "La Prima Cosa Bella", comédie dramatique qui a connu un beau succès dans son pays : représentant de l'Italie aux Oscars, le film de Paolo Virzi a également remporté trois David Di Donatello (l'équivalent de nos césars) en 2010.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Jean A. Gili
(...) Virzi fait preuve de virtuosité : il se tient constamment en équilibre entre les émotions, les éclats de rire, les points de vue amers sur un pays en pleine débâcle morale.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette radiographie d'une famille dysfonctionnelle touche par sa finesse psychologique et l'interprétation à fleur d'émotions.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
20 Minutes
par Caroline Vié
Las, une réalisation trop plate torpille l'émotion en passant du présent au passé, du mélodrame larmoyant à la comédie mollassonne. Reste une magnifique comédienne, Micaela Ramazzotti.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Paolo Virzi s'ensable rapidement dans une mise en scène démonstrative et frileuse, qui voudrait retrouver l'esprit mélancolique de la grande comédie italienne, mais vire à la comédie dramatique obèse. Qu'est-ce qui nous fait malgré tout rester ? Le talent des acteurs, incontestable, et une capacité, parfois, à retrouver un peu de ce charme triste et chaleureux du grand cinéma populaire italien.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Excessif
par Valérie Levilain
(...) En dépit de son intrigue proche de celle d'un téléfilm mélodramatique, "La Prima Cosa Bella" jouit de salvatrices petites touches d'humour et d'une photographie impeccable qui relèvent quelque peu le niveau d'une oeuvre moribonde.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
Pour l'émotion, on repassera. La faute à un problème de point de vue, ici trop éclaté pour qu'on s'attache à un personnage en particulier. En découle un film anecdotique, mais néanmoins sympathique.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
"La Prima cosa bella" n'est pas un film ordinaire mais plutôt un tourbillon de vie, proche des comédies italiennes des années 1960. Parfois, on se perd dans les méandres d'une intrigue brouillonne et des nombreux retours en arrière, mais le charme opère.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
Photogénique et plaisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La rédaction
Tonique leçon de vie symbolisée par la prestation palpitante de Stefania Sandrelli, elle-même égérie de ces temps de fin de siècle écoulé.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Vincent Avenel
Un film gentillet, figé dans une stase artistique inoffensive mais diablement creuse, qui voudrait remplacer sa chair et son sang par trop de mots et trop de gestes. Peine perdue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Mais le film s'avère très inégal. Si les réminiscences de Bruno embarquent le spectateur dans une bourrasque pleine de vie, les rebondissements lassent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Bernard Achour
Il y a tout. Du rire, des larmes, une mamma, une famille éclatée, le temps qui passe, des disputes, des réconciliations. (...) Pourtant à l'exception de deux séquences aux allures de clips, rien ne fonctionne. La faute à un scénario en forme de best-of surchargé, à une mise en scène étonnamment laide.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Le film, un mélo démonstratif, a engrangé une razzia de Donatello (les César italiens). Mais s'il a le mérite de révéler Micaela Ramazzotti (une bombe), il n'arrive pas à la cheville de ses modèles – ceux d'Ettore Scola – dont il lui manque, comparaison cruelle, la lecture politique ou générationnelle, et dont il ne fait que livrer une très pâle copie de l'élégie des regrets.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Anne Dessuant
Paolo Virzi, dont on avait aimé "Caterina" va en ville, peine à choisir son personnage principal : Anna l'irresponsable ou Bruno, le gosse meurtri ? Problème : l'un et l'autre ont été bien mieux traités dans le récent cinéma italien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Jamais "La Prima cosa bella" ne transforme ses intentions (renouer avec un certain type de comédie à l'italienne, charrier ode à la tribu familiale, personnages à faconde méridionale, épisodes drolatiques) en ces cascades de charme, d'émotion, d'humour et de satire sociale dont Scola fut un expert. Cet " à la manière de " reste poussif, démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Elle
Le réalisateur nous offre un joli regard sur les relations mère-enfants mais aussi sur les liens qui unissent les frères et soeurs. (...) Même si le sujet pourrait en effrayer certaines, rien de glauque dans "La Prima Cosa Bella". L'humour est le fil conducteur.
Le Parisien
Malgré un sujet qui pourrait sembler plombant, Paolo Virzì, entre rire et émotion, brosse l'itinéraire de ce quadra dans l'Italie des années 1970 à aujourd'hui. A la fois drôle et émouvant.
Le Point
voir lepoint.fr
Metro
Micaela Ramazzotti (...) a conquis le coeur du public italien avec "La Prima Cosa Bella", comédie dramatique qui a connu un beau succès dans son pays : représentant de l'Italie aux Oscars, le film de Paolo Virzi a également remporté trois David Di Donatello (l'équivalent de nos césars) en 2010.
Positif
(...) Virzi fait preuve de virtuosité : il se tient constamment en équilibre entre les émotions, les éclats de rire, les points de vue amers sur un pays en pleine débâcle morale.
Télé 7 Jours
Cette radiographie d'une famille dysfonctionnelle touche par sa finesse psychologique et l'interprétation à fleur d'émotions.
20 Minutes
Las, une réalisation trop plate torpille l'émotion en passant du présent au passé, du mélodrame larmoyant à la comédie mollassonne. Reste une magnifique comédienne, Micaela Ramazzotti.
Charlie Hebdo
Paolo Virzi s'ensable rapidement dans une mise en scène démonstrative et frileuse, qui voudrait retrouver l'esprit mélancolique de la grande comédie italienne, mais vire à la comédie dramatique obèse. Qu'est-ce qui nous fait malgré tout rester ? Le talent des acteurs, incontestable, et une capacité, parfois, à retrouver un peu de ce charme triste et chaleureux du grand cinéma populaire italien.
Excessif
(...) En dépit de son intrigue proche de celle d'un téléfilm mélodramatique, "La Prima Cosa Bella" jouit de salvatrices petites touches d'humour et d'une photographie impeccable qui relèvent quelque peu le niveau d'une oeuvre moribonde.
L'Express
Pour l'émotion, on repassera. La faute à un problème de point de vue, ici trop éclaté pour qu'on s'attache à un personnage en particulier. En découle un film anecdotique, mais néanmoins sympathique.
Le Figaroscope
"La Prima cosa bella" n'est pas un film ordinaire mais plutôt un tourbillon de vie, proche des comédies italiennes des années 1960. Parfois, on se perd dans les méandres d'une intrigue brouillonne et des nombreux retours en arrière, mais le charme opère.
Le Journal du Dimanche
Photogénique et plaisant.
Ouest France
Tonique leçon de vie symbolisée par la prestation palpitante de Stefania Sandrelli, elle-même égérie de ces temps de fin de siècle écoulé.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Critikat.com
Un film gentillet, figé dans une stase artistique inoffensive mais diablement creuse, qui voudrait remplacer sa chair et son sang par trop de mots et trop de gestes. Peine perdue.
La Croix
Mais le film s'avère très inégal. Si les réminiscences de Bruno embarquent le spectateur dans une bourrasque pleine de vie, les rebondissements lassent.
Première
Il y a tout. Du rire, des larmes, une mamma, une famille éclatée, le temps qui passe, des disputes, des réconciliations. (...) Pourtant à l'exception de deux séquences aux allures de clips, rien ne fonctionne. La faute à un scénario en forme de best-of surchargé, à une mise en scène étonnamment laide.
TéléCinéObs
Le film, un mélo démonstratif, a engrangé une razzia de Donatello (les César italiens). Mais s'il a le mérite de révéler Micaela Ramazzotti (une bombe), il n'arrive pas à la cheville de ses modèles – ceux d'Ettore Scola – dont il lui manque, comparaison cruelle, la lecture politique ou générationnelle, et dont il ne fait que livrer une très pâle copie de l'élégie des regrets.
Télérama
Paolo Virzi, dont on avait aimé "Caterina" va en ville, peine à choisir son personnage principal : Anna l'irresponsable ou Bruno, le gosse meurtri ? Problème : l'un et l'autre ont été bien mieux traités dans le récent cinéma italien.
Le Monde
Jamais "La Prima cosa bella" ne transforme ses intentions (renouer avec un certain type de comédie à l'italienne, charrier ode à la tribu familiale, personnages à faconde méridionale, épisodes drolatiques) en ces cascades de charme, d'émotion, d'humour et de satire sociale dont Scola fut un expert. Cet " à la manière de " reste poussif, démonstratif.