Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
[Construit en] trois actes, ce roman de formation cinématographique de Mademoiselle Hansen-Love est une magnifique trilogie de la jeunesse qui nous murmure que la perte, pour irrémédiable qu'elle soit, nous aide sans doute à vivre. A 30 ans et en l'espace de trois films, Mia Hansen-Love s'impose comme l'un des plus lumineux talents du jeune cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Faible dramatisation des événements, pas de coup d'éclats ou de psychodrames impressionnants, d'accidents calculés et calculateurs. (...) "Un amour de jeunesse", tendre, patient, cruel, montre la marche, l'avancée d'une jeune femme dans la vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Mia Hansen-Love peut être fière d' "Un amour de jeunesse". C'est un beau film, un des plus émouvants de la saison.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
La réalisatrice manie l'ellipse en virtuose, suit sans cesse Camille qui glisse en un instant de la joie irradiante à la plus grise mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Déchirant, profond et d'une très grande élégance esthétique et morale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Le film sentimental, voilà ni plus ni moins ce que la réalisatrice réhabilite. Le sentiment amoureux, sa grâce éphémère, sa durée, son intermittence, rien d'autre ne compte. Il procure joie et mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Un amour de jeunesse est une forme de confirmation de ce que les deux films précédents de Mia Hansen-Løve portaient d'originalité, de profondeur de regard, d'intelligence du récit.
Excessif
par Jean-Baptiste Guegan
Ici, nulle mièvrerie, nul pathos. Tout est maîtrisé par Mia Hansen Love et si superbement amené qu' "Un amour de jeunesse" semble s'écouler avec une justesse folle. Une merveille, en somme, et un film à voir absolument d'autant qu'il reste comme suspendu aux émotions de Lola Creton, véritable découverte.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Arnaud Schwartz
On ne se rappelle pas avoir vu, ces dernières années, plus belle évocation des traces laissées dans une vie par le premier amour.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Marie Sauvion
Délicat, le film raconte intelligemment le coeur des filles et le temps qui passe, offrant un écrin idéal à la grâce de Lola Créton
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Jennifer Lesieur
C'est toute la magie de ce film émouvant : traiter cet amour de jeunesse sur la longueur, comme un amour tout court, vibrant, douloureux, de ceux dont on ne se remet jamais.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
Dans une grande économie de dialogues, et une constante délicatesse d'images, elle décline sa version d'une éducation sentimentale. Avec une caméra qui saisit chez sa lumineuse héroïne, Lola Créton, une infinie subtilité d'expressions, entre grâce et mélancolie, fièvre et désespérance.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
voir le site de Studio Cinélive
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
(...) Une oeuvre simple, baignée dans le verbe du cinéma d'auteur français des années 1990. Porté par la fragile Lola Creton, le drame joue sur le fil ténu des émois introvertis et des petits riens. Si la sensiblerie prête à sourire, le tout évoque joliment l'évolution sentimentale d'une femme. La réalisatrice confirme son talent. Le meilleur est à venir.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
"Un amour de jeunesse" frappe par sa justesse de ton et sa simplicité. (...) Sa capacité à se passer de dialogues dit la force de son cinéma par instants susurré.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Nicolas Bauche
La délicatesse d'"Un amour de jeunesse" éclate à l'écran, dès que le personnage de Sullivan en disparaît, sa partie nordique étant ainsi sa meilleure. Un équilibre de silence et d'éclosion amoureuse à demi-mot, dans l'éclat minéral du paysage norvégien.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Philippe Rouyer
"Un amour de jeunesse" retombe dans les travers de "Tout est pardonné", son premier long métrage. Par refus de la scène "à faire" et par défiance vis-à-vis d'une analyse trop psychologique de ses personnages, l'ensemble s'étiole.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le récit [...] sent un peu trop l'effort et, surtout, paraît témoigner d'une certaine hauteur qui empêche le spectateur de se sentir concerné par cette histoire et ces personnages.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critikat.com
par Julien Marsa
"Un amour de jeunesse" est malheureusement l'exemple type d'un cinéma d'auteur français à la fois creux et lourd, et dont l'aspect autobiographique le plonge dans un repli sur lui-même assez désagréable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
[Construit en] trois actes, ce roman de formation cinématographique de Mademoiselle Hansen-Love est une magnifique trilogie de la jeunesse qui nous murmure que la perte, pour irrémédiable qu'elle soit, nous aide sans doute à vivre. A 30 ans et en l'espace de trois films, Mia Hansen-Love s'impose comme l'un des plus lumineux talents du jeune cinéma français.
Les Inrockuptibles
Faible dramatisation des événements, pas de coup d'éclats ou de psychodrames impressionnants, d'accidents calculés et calculateurs. (...) "Un amour de jeunesse", tendre, patient, cruel, montre la marche, l'avancée d'une jeune femme dans la vie.
Libération
Mia Hansen-Love peut être fière d' "Un amour de jeunesse". C'est un beau film, un des plus émouvants de la saison.
Marianne
La réalisatrice manie l'ellipse en virtuose, suit sans cesse Camille qui glisse en un instant de la joie irradiante à la plus grise mélancolie.
TéléCinéObs
Déchirant, profond et d'une très grande élégance esthétique et morale.
Télérama
Le film sentimental, voilà ni plus ni moins ce que la réalisatrice réhabilite. Le sentiment amoureux, sa grâce éphémère, sa durée, son intermittence, rien d'autre ne compte. Il procure joie et mélancolie.
Cahiers du Cinéma
Un amour de jeunesse est une forme de confirmation de ce que les deux films précédents de Mia Hansen-Løve portaient d'originalité, de profondeur de regard, d'intelligence du récit.
Excessif
Ici, nulle mièvrerie, nul pathos. Tout est maîtrisé par Mia Hansen Love et si superbement amené qu' "Un amour de jeunesse" semble s'écouler avec une justesse folle. Une merveille, en somme, et un film à voir absolument d'autant qu'il reste comme suspendu aux émotions de Lola Creton, véritable découverte.
La Croix
On ne se rappelle pas avoir vu, ces dernières années, plus belle évocation des traces laissées dans une vie par le premier amour.
Le Parisien
Délicat, le film raconte intelligemment le coeur des filles et le temps qui passe, offrant un écrin idéal à la grâce de Lola Créton
Le Point
voir lepoint.fr
Metro
C'est toute la magie de ce film émouvant : traiter cet amour de jeunesse sur la longueur, comme un amour tout court, vibrant, douloureux, de ceux dont on ne se remet jamais.
Ouest France
Dans une grande économie de dialogues, et une constante délicatesse d'images, elle décline sa version d'une éducation sentimentale. Avec une caméra qui saisit chez sa lumineuse héroïne, Lola Créton, une infinie subtilité d'expressions, entre grâce et mélancolie, fièvre et désespérance.
Studio Ciné Live
voir le site de Studio Cinélive
L'Express
(...) Une oeuvre simple, baignée dans le verbe du cinéma d'auteur français des années 1990. Porté par la fragile Lola Creton, le drame joue sur le fil ténu des émois introvertis et des petits riens. Si la sensiblerie prête à sourire, le tout évoque joliment l'évolution sentimentale d'une femme. La réalisatrice confirme son talent. Le meilleur est à venir.
Le Journal du Dimanche
"Un amour de jeunesse" frappe par sa justesse de ton et sa simplicité. (...) Sa capacité à se passer de dialogues dit la force de son cinéma par instants susurré.
Positif
La délicatesse d'"Un amour de jeunesse" éclate à l'écran, dès que le personnage de Sullivan en disparaît, sa partie nordique étant ainsi sa meilleure. Un équilibre de silence et d'éclosion amoureuse à demi-mot, dans l'éclat minéral du paysage norvégien.
Première
"Un amour de jeunesse" retombe dans les travers de "Tout est pardonné", son premier long métrage. Par refus de la scène "à faire" et par défiance vis-à-vis d'une analyse trop psychologique de ses personnages, l'ensemble s'étiole.
L'Obs
Le récit [...] sent un peu trop l'effort et, surtout, paraît témoigner d'une certaine hauteur qui empêche le spectateur de se sentir concerné par cette histoire et ces personnages.
Critikat.com
"Un amour de jeunesse" est malheureusement l'exemple type d'un cinéma d'auteur français à la fois creux et lourd, et dont l'aspect autobiographique le plonge dans un repli sur lui-même assez désagréable.