Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Isabelle Zribi
Patricia Mazuy surfe avec une dextérité de funambule sur plusieurs schémas narratifs au fond très typés (...) La force du film réside précisément dans le fait de ne choisir véritablement aucun de ces schémas mais de demeurer à la lisière de chacun d'eux, voire de les mêler pour les court-circuiter, en créant un genre hybride à l'issue inconnue, bien loin du " bon petit film français " roulant sur ses rails monotones.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Sport de filles" se révèle ainsi un film merveilleux, qui fonde sa morale, comme les vieux westerns, sur l'action des personnages, sans prétendre nous donner de leçons.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Excessif
par Sophie Wittmer
(...) la cinéaste filme avec une incisive justesse l'incapacité de ses deux êtres à communiquer, à exister d'une certaine façon, leur passion finissant presque par les entraver. Farouche et obstinée, Marina Hands apporte à cette jeune femme une étonnante folie, une brutalité qu'on ne lui connaissait pas (...).
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Un beau moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) Une histoire solide portée par des acteurs convaincants parmi lesquels, inattendue dans cet univers, Josiane Balasko.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Rivalités entre cavalières, pur-sang qu'on "abîme" ou qu'on arrange : le centre du film se situe dans ces forces animales qui nous gouvernent (...). L'un des plus beaux westerns de Patricia Mazuy.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Si "Sport de filles" n'était que l'habile éloge du dieu Equus, cela n'en ferait pas un film impérissable. Ce qu'il y a de plus fort, de plus sourd et de plus profond dans cette histoire, c'est qu'elle est une leçon de politique universelle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Anne Diatkine
Est-ce qu'on s'intéresse au film si l'on est indifférent aux chevaux ? Oui, car, à travers ce microcosme, les enjeux sont universels : argent, pouvoir, domination, séduction, humiliation. (...) Les acteurs sont exceptionnels.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Pierre Murat
Patricia Mazuy, cinéaste pas vraiment connue - trop ambitieuse, trop exigeante - a le don de rendre sensible, par la mise en scène, les péripéties (...). C'est cette mise en scène concrète, précise, physique, qui surprend et séduit.
Chronic'art.com
par Nicolas Truffinet
Pas tout à fait convaincant sans doute, mais le tempo de la très belle dernière partie en fait un beau film in fine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Théo Ribeton
Entre primitivité du lien homme-animal et feux aveuglants de l'univers des concours, la cinéaste s'applique assez patiemment, documente avec soin les gens et les lieux, et livre un film sensible et élégant bien qu'un peu ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Sandy Gillet
Sport de gonzesses c'est vite dit. Ça sent la testostérone à plein nez et Josiane Balasko fait plus mec que mon beauf camionneur. Et quant au film, à défaut d'être finaud, il nous en apprend un rayon sur le dressage.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Julien Welter
Voir le site lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
Patricia Mazuy, avec Simon Reggiani qui signe une nouvelle fois le scénario de l'un de ses films, met en scène quelques personnages menés de main sûre dans ce qui ressortit à l'étude de caractère plutôt qu'à la psychologie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-François Fournel
Ce film élégant évite les travers de la bluette traditionnelle (...). Il pourra séduire les connaisseurs autant que les néophytes (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
À travers ce portrait d'une femme farouche et obstinée et de son obsession, le dressage (discipline complexe et très cinégénique), Patricia Mazuy métamorphose un récit qui aurait pu sombrer dans le cliché en une relecture de la lutte des classes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Alain Spira
A l'arrivée, un bon documentaire équestre plaqué sur un téléfilm un peu bourrin...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
Un film audacieux et abrasif, dont les manières abruptes pressurisent les clichés pour en extraire un jus bien acide.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
(...) Les luttes (...) (de classe, de pouvoir) ne brillent pas par leur originalité. (...) [Mais] Marina Hands se sort très bien de ces zones d'ombre, et la très belle lumière de Caroline Champetier fait le reste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une fiction mal élevée et rebelle. Où certains effets appuyés du scénario sont palliés par une mise en scène à fleur de peau, épousant à merveille la rage sourde de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Hélas, dès les premières minutes du film, tout cloche. Les dialogues sonnent faux et le visage fermé de l'héroïne (...) n'arrange rien. (...) C'est un peu juste, mais calibré pour la télévision.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
L'héroïne de Patricia Mazuy n'a de gracieuse que le prénom. (...) Une radicalité qui déteint sur l'ensemble du film, en dépit de l'interprétation de Marina Hands (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Metro
par Mehdi Omaïs
A force de multiplier les pistes narratives, Patricia Mazuy perd le spectateur en cours de route.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
(...) les partis pris radicaux du scénario et de sa mise en scène ne parviennent pas à nous faire entrer dans cet univers pour initiés.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Cahiers du Cinéma
Patricia Mazuy surfe avec une dextérité de funambule sur plusieurs schémas narratifs au fond très typés (...) La force du film réside précisément dans le fait de ne choisir véritablement aucun de ces schémas mais de demeurer à la lisière de chacun d'eux, voire de les mêler pour les court-circuiter, en créant un genre hybride à l'issue inconnue, bien loin du " bon petit film français " roulant sur ses rails monotones.
Le Monde
"Sport de filles" se révèle ainsi un film merveilleux, qui fonde sa morale, comme les vieux westerns, sur l'action des personnages, sans prétendre nous donner de leçons.
Excessif
(...) la cinéaste filme avec une incisive justesse l'incapacité de ses deux êtres à communiquer, à exister d'une certaine façon, leur passion finissant presque par les entraver. Farouche et obstinée, Marina Hands apporte à cette jeune femme une étonnante folie, une brutalité qu'on ne lui connaissait pas (...).
L'Obs
Un beau moment de cinéma.
Le Parisien
(...) Une histoire solide portée par des acteurs convaincants parmi lesquels, inattendue dans cet univers, Josiane Balasko.
Les Inrockuptibles
Rivalités entre cavalières, pur-sang qu'on "abîme" ou qu'on arrange : le centre du film se situe dans ces forces animales qui nous gouvernent (...). L'un des plus beaux westerns de Patricia Mazuy.
Libération
Si "Sport de filles" n'était que l'habile éloge du dieu Equus, cela n'en ferait pas un film impérissable. Ce qu'il y a de plus fort, de plus sourd et de plus profond dans cette histoire, c'est qu'elle est une leçon de politique universelle.
Télé 7 Jours
Est-ce qu'on s'intéresse au film si l'on est indifférent aux chevaux ? Oui, car, à travers ce microcosme, les enjeux sont universels : argent, pouvoir, domination, séduction, humiliation. (...) Les acteurs sont exceptionnels.
Télérama
Patricia Mazuy, cinéaste pas vraiment connue - trop ambitieuse, trop exigeante - a le don de rendre sensible, par la mise en scène, les péripéties (...). C'est cette mise en scène concrète, précise, physique, qui surprend et séduit.
Chronic'art.com
Pas tout à fait convaincant sans doute, mais le tempo de la très belle dernière partie en fait un beau film in fine.
Critikat.com
Entre primitivité du lien homme-animal et feux aveuglants de l'univers des concours, la cinéaste s'applique assez patiemment, documente avec soin les gens et les lieux, et livre un film sensible et élégant bien qu'un peu ordinaire.
Ecran Large
Sport de gonzesses c'est vite dit. Ça sent la testostérone à plein nez et Josiane Balasko fait plus mec que mon beauf camionneur. Et quant au film, à défaut d'être finaud, il nous en apprend un rayon sur le dressage.
L'Express
Voir le site lexpress.fr
L'Humanité
Patricia Mazuy, avec Simon Reggiani qui signe une nouvelle fois le scénario de l'un de ses films, met en scène quelques personnages menés de main sûre dans ce qui ressortit à l'étude de caractère plutôt qu'à la psychologie.
La Croix
Ce film élégant évite les travers de la bluette traditionnelle (...). Il pourra séduire les connaisseurs autant que les néophytes (...).
Les Fiches du Cinéma
À travers ce portrait d'une femme farouche et obstinée et de son obsession, le dressage (discipline complexe et très cinégénique), Patricia Mazuy métamorphose un récit qui aurait pu sombrer dans le cliché en une relecture de la lutte des classes.
Paris Match
A l'arrivée, un bon documentaire équestre plaqué sur un téléfilm un peu bourrin...
Positif
Un film audacieux et abrasif, dont les manières abruptes pressurisent les clichés pour en extraire un jus bien acide.
Première
(...) Les luttes (...) (de classe, de pouvoir) ne brillent pas par leur originalité. (...) [Mais] Marina Hands se sort très bien de ces zones d'ombre, et la très belle lumière de Caroline Champetier fait le reste.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Une fiction mal élevée et rebelle. Où certains effets appuyés du scénario sont palliés par une mise en scène à fleur de peau, épousant à merveille la rage sourde de son héroïne.
Le Figaroscope
Hélas, dès les premières minutes du film, tout cloche. Les dialogues sonnent faux et le visage fermé de l'héroïne (...) n'arrange rien. (...) C'est un peu juste, mais calibré pour la télévision.
Le Journal du Dimanche
L'héroïne de Patricia Mazuy n'a de gracieuse que le prénom. (...) Une radicalité qui déteint sur l'ensemble du film, en dépit de l'interprétation de Marina Hands (...).
Metro
A force de multiplier les pistes narratives, Patricia Mazuy perd le spectateur en cours de route.
Ouest France
(...) les partis pris radicaux du scénario et de sa mise en scène ne parviennent pas à nous faire entrer dans cet univers pour initiés.