Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La poésie de ce conte hante tout autant que la tragédie d'une vie brisée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Cédric Janet
Le film ne verse jamais dans le pathos en évitant même de tomber dans la démonstration excessive : pas de folie outrancière ni de cris hystériques.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Express
par Julien Welter
"La Pecora Nera" distille une musique triste et fascinante. Elle prendra fin sur une note amère et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
"La Brebis galeuse " [La Pecora Nera] dessine le parcours mental d'un homme qui annonce que, là où il vit, " tout le monde finit à l'asile ".
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
D'un abord difficile dans un premier temps, l'ensemble se révèle peu à peu très virtuose et surtout étonnamment attachant, d'une audace d'autant plus impressionnante que tranquille, comme apaisée, en contraste avec les bouillonnements intérieurs et les embardées du personnage (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Portrait d'un innocent, marginalisé et maltraité par la société, mais qui suit son chemin de poésie et de sainteté. Il y a quelque chose de russe, dans ce film italien étrange et mystique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(...) Toute illuminée, poétique, transfigurée et délirante qu'elle soit, la vision [d'Anscanio Celestini] n'est pas celle de la déraison. Elle reflète un portrait d'une Italie enfermée dans un triptyque asphyxiant, celui des cultes de la piété religieuse, de l'obsession érotique et du consumérisme triomphant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Séguret
Un savoir lumineux, rarissime et profond est en effet au coeur du film. (...) Celestini s'impose ainsi facilement cette saison comme l'un des plus insolites (et menacés) spécimens de l'espèce cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
La force tragi-comique du film est dans le doute qu'il insinue et dans sa manière de raconter des choses graves avec légèreté, fort de cette inconscience propre à l'enfance (et à la folie).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Ce drôle de film est un drôle de truc, à la fois violent et plein d'espoir : le destin d'un type enterré vivant qui parvient à survivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Alice Leroy
Premier film de fiction du dramaturge et acteur Ascanio Celestini, "La Pecora Nera", portrait d'un fou plus lucide que ses contemporains sur la condition humaine à travers l'Italie des années 1960 à aujourd'hui, peine à énoncer une critique d'une machine sociale broyant l'humain.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ouest France
par La rédaction
Une chronique à part, entre poésie et réalisme. L'acteur-réalisateur Ascanio Celestini porte de bout en bout un cinéma différent qui installe peu à peu son univers étrange et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Thomas Agnelli
L'intérêt se niche dans les amours imaginaires et la poésie illuminée du héros. Dommage que la mise en scène, trop théâtrale, ne donne pas plus de noblesse à cette vie flinguée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Excessif
par Romain Le Vern
A l'arrivée, le film est (...) à la fois touchant et agaçant.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dérangeant, lent, répétitif, oppressant, le film ne touche que lorsqu'il sort enfin de la seule chronique pour évoquer les drames traversés par Nicola.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Metro
par Rania Hoballah
Un film difficile mais qui ne manque pas d'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Ce portrait d'un fou (...) est surtout l'occasion d'un one-man show narcissique et démago.
Positif
par Christian Viviani
(...) oeuvre qui paraît cumuler tous les défauts du film "sérieux".
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
La poésie de ce conte hante tout autant que la tragédie d'une vie brisée.
Brazil
Le film ne verse jamais dans le pathos en évitant même de tomber dans la démonstration excessive : pas de folie outrancière ni de cris hystériques.
L'Express
"La Pecora Nera" distille une musique triste et fascinante. Elle prendra fin sur une note amère et émouvante.
L'Humanité
"La Brebis galeuse " [La Pecora Nera] dessine le parcours mental d'un homme qui annonce que, là où il vit, " tout le monde finit à l'asile ".
L'Obs
D'un abord difficile dans un premier temps, l'ensemble se révèle peu à peu très virtuose et surtout étonnamment attachant, d'une audace d'autant plus impressionnante que tranquille, comme apaisée, en contraste avec les bouillonnements intérieurs et les embardées du personnage (...).
Le Figaroscope
Portrait d'un innocent, marginalisé et maltraité par la société, mais qui suit son chemin de poésie et de sainteté. Il y a quelque chose de russe, dans ce film italien étrange et mystique.
Le Monde
(...) Toute illuminée, poétique, transfigurée et délirante qu'elle soit, la vision [d'Anscanio Celestini] n'est pas celle de la déraison. Elle reflète un portrait d'une Italie enfermée dans un triptyque asphyxiant, celui des cultes de la piété religieuse, de l'obsession érotique et du consumérisme triomphant.
Libération
Un savoir lumineux, rarissime et profond est en effet au coeur du film. (...) Celestini s'impose ainsi facilement cette saison comme l'un des plus insolites (et menacés) spécimens de l'espèce cinéaste.
TéléCinéObs
La force tragi-comique du film est dans le doute qu'il insinue et dans sa manière de raconter des choses graves avec légèreté, fort de cette inconscience propre à l'enfance (et à la folie).
Télérama
Ce drôle de film est un drôle de truc, à la fois violent et plein d'espoir : le destin d'un type enterré vivant qui parvient à survivre.
Critikat.com
Premier film de fiction du dramaturge et acteur Ascanio Celestini, "La Pecora Nera", portrait d'un fou plus lucide que ses contemporains sur la condition humaine à travers l'Italie des années 1960 à aujourd'hui, peine à énoncer une critique d'une machine sociale broyant l'humain.
Ouest France
Une chronique à part, entre poésie et réalisme. L'acteur-réalisateur Ascanio Celestini porte de bout en bout un cinéma différent qui installe peu à peu son univers étrange et dérangeant.
Première
L'intérêt se niche dans les amours imaginaires et la poésie illuminée du héros. Dommage que la mise en scène, trop théâtrale, ne donne pas plus de noblesse à cette vie flinguée.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Excessif
A l'arrivée, le film est (...) à la fois touchant et agaçant.
La Croix
Dérangeant, lent, répétitif, oppressant, le film ne touche que lorsqu'il sort enfin de la seule chronique pour évoquer les drames traversés par Nicola.
Metro
Un film difficile mais qui ne manque pas d'intérêt.
Cahiers du Cinéma
Ce portrait d'un fou (...) est surtout l'occasion d'un one-man show narcissique et démago.
Positif
(...) oeuvre qui paraît cumuler tous les défauts du film "sérieux".