Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Excessif
par Romain Le Vern
Si la dimension sexuelle et fantasmagorique chez Agusti Villaronga est mise en sourdine, la noirceur n'en reste pas moins intacte et ce dès l'introduction spectaculaire et choquante. La seconde bonne nouvelle vient de la caractérisation complexe et nuancée de tous les personnages dans un contexte délétère. Dans le genre, on n'a pas vu mieux depuis "L'été où j'ai grandi" de Gabriele Salvatores.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Marie-Valentine Chaudon
Le spectateur se laisse étreindre par l'étonnante atmosphère de ce film baigné d'une splendide lumière automnale.(...) Finement tissé d'ambiguïtés, entre réalisme et onirisme, ce "Pain noir", récompensé par neuf Goyas, l'équivalent espagnol des Césars, est un régal plein de surprises.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un spectacle mémorable. (...) Le film entrelace adroitement son atmosphère réaliste et bavarde à des débordements poétiques à la limite du fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Coralie Huché
Une seule récompense n'aurait pas suffi au film, car c'est le soin apporté à l'ensemble des détails qui permet à ce long-métrage de tenir son atmosphère du début à la fin. Le discours fantastique du film apporte une once de poésie sans alléger la densité de ses nombreux sujets. Ils forment un écrin contextuel complet au récit et relèvent d'un subtil dosage qui empêche "Pain noir" de s'éparpiller.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Si Almodovar a, selon nous, raté son "Piel que habito" (sortie le 17 août), pour s'être risqué sur un terrain glacé qui ne lui convient pas, Agusti Villaronga a réussi le sien, "Pain noir". Le milieu ibérique du cinéma s'en est vaguement aperçu, lui décernant neuf Goyas - un quasi grand chelem - une première pour une oeuvre tournée en catalan.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette oeuvre très léchée, relativement bien réalisée, est une fable naturaliste où le politiquement correct de base est transcendé par l'écheveau des duplicités entre les différents protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Caroline Vié
Une oeuvre poignante et sombre.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Gérard Delorme
En dépit de sa noirceur, "Pain Noir" a raflé neuf Goya (équivalent des Césars) en Espagne cette année. A juste titre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
"Pain noir" a reçu neuf Goyas (Césars Espagnols). C'est beaucoup. Presque trop, eu égard à la qualité intrinsèque de ce film. Cela dit, il y a de belles choses : Villaronga rend bien la lourdeur de l'atmosphère et les angoisses du héros. Dommage qu'il n'arrive pas à éclairer une intrigue policière restée trop fouillis pour porter le film aussi haut que ses prix semblent l'annoncer.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Hubert Lizé
Une tragédie réaliste qu'illumine — malgré quelques digressions poétiques et superflues — le charisme des deux jeunes héros, formidables enfants acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Philippe Azoury
La photo, noire et or, teintée de reflets bleus sur des chairs pâles, paraîtra soit géniale, tant elle est rugueuse, boueuse, soit asphyxiante à force de maniérisme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Dominique Martinez
On sait gré au cinéaste de présenter des personnages nuancés - les perdants sont aussi des salauds. Mais la surabondance de registres (...) alourdie du poids d'un symbolisme appuyé (...) plombent l'intrigue et dispersent le récit.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Guillemette Odicino
La reconstitution est pesante, l'interprétation, appuyée, et quelques scènes (une castration homophobe) sont pénibles. Rien de bien nouveau sur le thème des ravages moraux de la guerre civile espagnole.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Arnaud Hée
Le film ressemble fidèlement à cette scène où grand-mère assure la veillée en racontant des histoires aux enfants : une fable vouée à préparer le terrain pour le marchand de sable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
[Le réalisateur] rate [...] sa cible, travaillant un scénario plus ambitieux mais trop morcelé, avançant par à-coups, interrompant trop souvent ses pistes et débouchant sur une conclusion dont l'ambiguïté, contrecarrant pourtant le versant manichéen du récit, laisse dubitatif faute de réelle construction dramaturgique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Excessif
Si la dimension sexuelle et fantasmagorique chez Agusti Villaronga est mise en sourdine, la noirceur n'en reste pas moins intacte et ce dès l'introduction spectaculaire et choquante. La seconde bonne nouvelle vient de la caractérisation complexe et nuancée de tous les personnages dans un contexte délétère. Dans le genre, on n'a pas vu mieux depuis "L'été où j'ai grandi" de Gabriele Salvatores.
La Croix
Le spectateur se laisse étreindre par l'étonnante atmosphère de ce film baigné d'une splendide lumière automnale.(...) Finement tissé d'ambiguïtés, entre réalisme et onirisme, ce "Pain noir", récompensé par neuf Goyas, l'équivalent espagnol des Césars, est un régal plein de surprises.
Le Journal du Dimanche
Un spectacle mémorable. (...) Le film entrelace adroitement son atmosphère réaliste et bavarde à des débordements poétiques à la limite du fantastique.
Le Monde
Une seule récompense n'aurait pas suffi au film, car c'est le soin apporté à l'ensemble des détails qui permet à ce long-métrage de tenir son atmosphère du début à la fin. Le discours fantastique du film apporte une once de poésie sans alléger la densité de ses nombreux sujets. Ils forment un écrin contextuel complet au récit et relèvent d'un subtil dosage qui empêche "Pain noir" de s'éparpiller.
Le Point
Si Almodovar a, selon nous, raté son "Piel que habito" (sortie le 17 août), pour s'être risqué sur un terrain glacé qui ne lui convient pas, Agusti Villaronga a réussi le sien, "Pain noir". Le milieu ibérique du cinéma s'en est vaguement aperçu, lui décernant neuf Goyas - un quasi grand chelem - une première pour une oeuvre tournée en catalan.
Les Inrockuptibles
Cette oeuvre très léchée, relativement bien réalisée, est une fable naturaliste où le politiquement correct de base est transcendé par l'écheveau des duplicités entre les différents protagonistes.
Metro
Une oeuvre poignante et sombre.
Première
En dépit de sa noirceur, "Pain Noir" a raflé neuf Goya (équivalent des Césars) en Espagne cette année. A juste titre.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
L'Express
"Pain noir" a reçu neuf Goyas (Césars Espagnols). C'est beaucoup. Presque trop, eu égard à la qualité intrinsèque de ce film. Cela dit, il y a de belles choses : Villaronga rend bien la lourdeur de l'atmosphère et les angoisses du héros. Dommage qu'il n'arrive pas à éclairer une intrigue policière restée trop fouillis pour porter le film aussi haut que ses prix semblent l'annoncer.
Le Parisien
Une tragédie réaliste qu'illumine — malgré quelques digressions poétiques et superflues — le charisme des deux jeunes héros, formidables enfants acteurs.
Libération
La photo, noire et or, teintée de reflets bleus sur des chairs pâles, paraîtra soit géniale, tant elle est rugueuse, boueuse, soit asphyxiante à force de maniérisme.
Positif
On sait gré au cinéaste de présenter des personnages nuancés - les perdants sont aussi des salauds. Mais la surabondance de registres (...) alourdie du poids d'un symbolisme appuyé (...) plombent l'intrigue et dispersent le récit.
Télérama
La reconstitution est pesante, l'interprétation, appuyée, et quelques scènes (une castration homophobe) sont pénibles. Rien de bien nouveau sur le thème des ravages moraux de la guerre civile espagnole.
Critikat.com
Le film ressemble fidèlement à cette scène où grand-mère assure la veillée en racontant des histoires aux enfants : une fable vouée à préparer le terrain pour le marchand de sable.
TéléCinéObs
[Le réalisateur] rate [...] sa cible, travaillant un scénario plus ambitieux mais trop morcelé, avançant par à-coups, interrompant trop souvent ses pistes et débouchant sur une conclusion dont l'ambiguïté, contrecarrant pourtant le versant manichéen du récit, laisse dubitatif faute de réelle construction dramaturgique.