Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Elle
par Anne Diatkine
Benoît Jacquot ne filme pas l'amour et les intermittences du coeur, mais comment deux êtres peuvent s'aimanter, hors contexte social.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Isild Le Besco et Nahuel Perez Biscayart se révèlent à eux-mêmes, le film est le plus beau de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Florence Colombani
Voir la critique sur Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Intelligent, malicieux, tout en ellipse et troublant, voilà les qualités du nouveau grand film de Benoît Jacquot.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Louis Guichard
(...) une métaphore fulgurante de la passion (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par La rédaction
Où finit l'envoûtement ? Où commence la passion consentie ? Le film pose habilement ces questions, à travers les renversements et les ambiguïtés d'une aventure puissamment contée.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec Au fond des bois, Benoît Jacquot ne change rien à ses fondamentaux et va encore plus loin dans son éternel questionnement face à l'engagement amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Jamais peut-être Benoît Jacquot n'aura illustré si intensément ce que signifie le rapport entre un metteur en scène et son actrice, cette fascination mutuelle entre un hors-la-loi (l'artiste) et une somnambule (son automate).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
Dans une nature sauvage, boueuse, organique, Benoît Jacquot filme une passion étrange, dérangeante, dont nul ne connaîtra le fin mot.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Olivier Séguret
Beaucoup de la beauté du film tient dans la somme de ces sortes de passages à l'acte: la transgression réciproque à laquelle se livrent les personnages, puis la société qui accommodera sa morale avec souplesse sur ce coup-là
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
Le tour de force d'Au fond des bois (...) tient en particulier à sa manière irrévérencieuse, presque scandaleuse, voyant son sujet (le viol), d'éclaircir les rapports de Joséphine et de son kidnappeur.
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Benoît Jacquot explore une nouvelle fois le vertige et les mystères de la sexualité (...) On serait presque tenté de voir une déclinaison d'"A tout de suite" dans ce film taiseux, ancré dans la nature et parfaitement maîtrisé – un de ses plus beaux sans doute.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par La rédaction
(...) Isild le Besco se laisse enlever par un vagabond. L'inquiétant Nahuel Perez Biscayart l'initie aux plaisirs dans une fable vigoureuse et sensuelle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Eric Coubard
Un film pour le moins très original et pénétrant. Un très bon cru Jacquot-Le Besco.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Sidy Sakho
Après le ratage absolu de son précédent opus, Jacquot parvient à livrer ici un film achevé, convaincu et risqué, laissant augurer pour la suite d'assez beaux lendemains.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Excessif
par Jérôme Beales
Une oeuvre singulière et prenante.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Ouest France
par La rédaction
(...) une réelle ambiguïté, mais sans vraiment nous faire adhérer et vibrer (...).
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Première
par Gérard Delorme
L'actrice n'est pas nécessairement à son avantage quand elle mime une poupée dont les ficelles sont tirées par un dément, mais lorsqu'elle prend la main, l'intensité de ses expressions exerce un grand pouvoir de fascination (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Il faut avaler pas mal de couleuvres pour accepter ce qui relève d'un volontarisme confus.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Julien Marsa
La pauvreté des échanges entre les deux personnages vient ainsi briser tout espoir d'exploration du rapport de possession, si ce n'est au travers de quelques scènes un peu toc où Timothée manipule Joséphine comme une marionnette.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
Benoît Jacquot ne filme pas l'amour et les intermittences du coeur, mais comment deux êtres peuvent s'aimanter, hors contexte social.
L'Obs
Isild Le Besco et Nahuel Perez Biscayart se révèlent à eux-mêmes, le film est le plus beau de son auteur.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Les Inrockuptibles
Intelligent, malicieux, tout en ellipse et troublant, voilà les qualités du nouveau grand film de Benoît Jacquot.
Télérama
(...) une métaphore fulgurante de la passion (...)
Le Figaroscope
Où finit l'envoûtement ? Où commence la passion consentie ? Le film pose habilement ces questions, à travers les renversements et les ambiguïtés d'une aventure puissamment contée.
Le Journal du Dimanche
Avec Au fond des bois, Benoît Jacquot ne change rien à ses fondamentaux et va encore plus loin dans son éternel questionnement face à l'engagement amoureux.
Le Monde
Jamais peut-être Benoît Jacquot n'aura illustré si intensément ce que signifie le rapport entre un metteur en scène et son actrice, cette fascination mutuelle entre un hors-la-loi (l'artiste) et une somnambule (son automate).
Le Parisien
Dans une nature sauvage, boueuse, organique, Benoît Jacquot filme une passion étrange, dérangeante, dont nul ne connaîtra le fin mot.
Libération
Beaucoup de la beauté du film tient dans la somme de ces sortes de passages à l'acte: la transgression réciproque à laquelle se livrent les personnages, puis la société qui accommodera sa morale avec souplesse sur ce coup-là
Positif
Le tour de force d'Au fond des bois (...) tient en particulier à sa manière irrévérencieuse, presque scandaleuse, voyant son sujet (le viol), d'éclaircir les rapports de Joséphine et de son kidnappeur.
TéléCinéObs
Benoît Jacquot explore une nouvelle fois le vertige et les mystères de la sexualité (...) On serait presque tenté de voir une déclinaison d'"A tout de suite" dans ce film taiseux, ancré dans la nature et parfaitement maîtrisé – un de ses plus beaux sans doute.
20 Minutes
(...) Isild le Besco se laisse enlever par un vagabond. L'inquiétant Nahuel Perez Biscayart l'initie aux plaisirs dans une fable vigoureuse et sensuelle.
Brazil
Un film pour le moins très original et pénétrant. Un très bon cru Jacquot-Le Besco.
Chronic'art.com
Après le ratage absolu de son précédent opus, Jacquot parvient à livrer ici un film achevé, convaincu et risqué, laissant augurer pour la suite d'assez beaux lendemains.
Excessif
Une oeuvre singulière et prenante.
Ouest France
(...) une réelle ambiguïté, mais sans vraiment nous faire adhérer et vibrer (...).
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Première
L'actrice n'est pas nécessairement à son avantage quand elle mime une poupée dont les ficelles sont tirées par un dément, mais lorsqu'elle prend la main, l'intensité de ses expressions exerce un grand pouvoir de fascination (...)
Cahiers du Cinéma
Il faut avaler pas mal de couleuvres pour accepter ce qui relève d'un volontarisme confus.
Critikat.com
La pauvreté des échanges entre les deux personnages vient ainsi briser tout espoir d'exploration du rapport de possession, si ce n'est au travers de quelques scènes un peu toc où Timothée manipule Joséphine comme une marionnette.