La Planète des singes : les origines : Critique presse
La Planète des singes : les origines
Note moyenne
3,3
20 titres de presse
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
20 Minutes
Excessif
L'Ecran Fantastique
Le Journal du Dimanche
Studio Ciné Live
Critikat.com
Filmsactu
L'Express
Le Monde
Mad Movies
Positif
TéléCinéObs
Télérama
Charlie Hebdo
Le Point
Cahiers du Cinéma
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
On applaudit ce spectacle intelligent, émouvant, bluffant par ses effets spéciaux, et la performance d'Andy Serkis dans la peau du grand singe. Ave César.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
L'un des grands films de cet été. (...) Un modèle de blockbuster malin, dont la débauche d'effets visuels n'empêche jamais l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Émotion, frisson, grand spectacle : vite une suite!
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
20 Minutes
par Caroline Vié
[Un] film humaniste et spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Excessif
par Nicolas Schiavi
Plus que de la science-fiction, "La Planète des singes : les origines" invoque la science au service de la fiction et Rupert Wyatt impose un style résolument réaliste. Dommage que quelques idées fortes soient trop rapidement emballées. Le film reste néanmoins un aboutissement technologique dans son esthétisme digital et se vit comme un divertissement intelligent sans temps mort.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Préquelle réussie d'un chef d'oeuvre historique.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On est bluffé par l'intensité dramatique du film, la finesse du scnéario, l'atmosphère anxiogène qui n'exclut pas l'émotion, la performance saisissante d'Andy Serkis dans le rôle clé de César. Vite, une suite!
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Mathieu Macheret
On y voit moins la métaphore de l'altérité que l'accusation d'une distance. L'explication est assez simple. Nous avons toujours affaire à une franchise. Or, la politique, la contestation, la lutte des classes, la révolution sont, ont toujours été, comprises dans la franchise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
par Michèle Bori
Si le lancement d'un reboot pour expliquer les origines de "La Planète des Singes" avait tout du projet opportuniste, le résultat tient à l'écran autant de la réussite que de l'échec. (...) Mais davantage que James Franco ou Freida Pinto, qui traversent le film sans grande implication, c'est Andy Serkis qui derrière son masque de numérique donne un semblant d'humanité à cette version 2011.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Julien Welter
Plutôt que de tendre vers la grande oeuvre de science-fiction apocalyptique, Rupert Wyatt livre un petit conte philosophique sur les rapports entre l'homme et les autres espèces. La prise de conscience sera glaçante. Touchante, aussi, car les effets spéciaux s'effacent devant les personnages. Et ce, malgré quelques scènes clefs ratées.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-François Rauger
"La Planète des singes : les origines" n'est pas moins qu'une description efficace d'un enchainement fatal parce qu'il prend parfois son temps, conférant ainsi à certaines péripéties extraordinaires une intensité véritable et ce, malgré ce postulat un peu niais et infantile qui rendrait l'humanité responsable de la férocité animale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Stéphane Moïssakis
Dommage que les auteurs aient mis de côté le fait que l'empereur César [...] n'était pas seulement un personnage complexe, mais qu'il était également un conquérant qui n'hésitait pas à mener campagne en faisant couler le sang de ses opposants.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Positif
par Grégory Valens
Si le film aurait gagné à être plus long pour s'appuyer davantage sur sa dimension psychologique, il est globalement plaisant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une série B plutôt réussie, maligne dans sa manière de raccrocher les wagons, jouant habilement avec les phobies bactériologiques et autres pandémies de ce début de siècle, nerveuse et efficace dans son exécution.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Guillemette Odicino
Que ceux qui s'attendent à un gros film d'action se calment : dans son refus du spectaculaire, cet épisode n'est pas loin du classique de Franklin J. Shaffner. (...) James Franco se laisse voler la vedette par Andy Serkis. (...)Grâce à ce spécialiste du genre "je joue divinement avec les yeux dans un déguisement pileux", ce faux blockbuster gagne encore en humanité
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Rupert Wyatt filme platement un scénario alambiqué et poussif (première partie interminable et seconde expédiée), vaguement inspiré de "La Conquête de la Planète des Singes", mais sans la moindre ampleur. Seul bon point, le réalisme des singes.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Le Point
par Florence Colombani
Ce qui faisait l'intérêt de l'original, c'était la métaphore politique (...) ici, point de métaphore : les singes ne sont bien que des singes très malins, en lutte contre une humanité déprimante. Les quelques scènes d'action efficaces, notamment grâce à d'excellents effets spéciaux, ne compensent pas vraiment cette absence de propos.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Quel intérêt de tourner un nouvel épisode de La Planète des singes dénué de toute dimension philosophique ? Leur révolte s'inscrit dans une simple logique de film catastrophe opposant deux espèces.
Libération
par La rédaction
Laid et creux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
On applaudit ce spectacle intelligent, émouvant, bluffant par ses effets spéciaux, et la performance d'Andy Serkis dans la peau du grand singe. Ave César.
Les Inrockuptibles
L'un des grands films de cet été. (...) Un modèle de blockbuster malin, dont la débauche d'effets visuels n'empêche jamais l'émotion.
Télé 7 Jours
Émotion, frisson, grand spectacle : vite une suite!
20 Minutes
[Un] film humaniste et spectaculaire.
Excessif
Plus que de la science-fiction, "La Planète des singes : les origines" invoque la science au service de la fiction et Rupert Wyatt impose un style résolument réaliste. Dommage que quelques idées fortes soient trop rapidement emballées. Le film reste néanmoins un aboutissement technologique dans son esthétisme digital et se vit comme un divertissement intelligent sans temps mort.
L'Ecran Fantastique
Préquelle réussie d'un chef d'oeuvre historique.
Le Journal du Dimanche
On est bluffé par l'intensité dramatique du film, la finesse du scnéario, l'atmosphère anxiogène qui n'exclut pas l'émotion, la performance saisissante d'Andy Serkis dans le rôle clé de César. Vite, une suite!
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Critikat.com
On y voit moins la métaphore de l'altérité que l'accusation d'une distance. L'explication est assez simple. Nous avons toujours affaire à une franchise. Or, la politique, la contestation, la lutte des classes, la révolution sont, ont toujours été, comprises dans la franchise.
Filmsactu
Si le lancement d'un reboot pour expliquer les origines de "La Planète des Singes" avait tout du projet opportuniste, le résultat tient à l'écran autant de la réussite que de l'échec. (...) Mais davantage que James Franco ou Freida Pinto, qui traversent le film sans grande implication, c'est Andy Serkis qui derrière son masque de numérique donne un semblant d'humanité à cette version 2011.
L'Express
Plutôt que de tendre vers la grande oeuvre de science-fiction apocalyptique, Rupert Wyatt livre un petit conte philosophique sur les rapports entre l'homme et les autres espèces. La prise de conscience sera glaçante. Touchante, aussi, car les effets spéciaux s'effacent devant les personnages. Et ce, malgré quelques scènes clefs ratées.
Le Monde
"La Planète des singes : les origines" n'est pas moins qu'une description efficace d'un enchainement fatal parce qu'il prend parfois son temps, conférant ainsi à certaines péripéties extraordinaires une intensité véritable et ce, malgré ce postulat un peu niais et infantile qui rendrait l'humanité responsable de la férocité animale.
Mad Movies
Dommage que les auteurs aient mis de côté le fait que l'empereur César [...] n'était pas seulement un personnage complexe, mais qu'il était également un conquérant qui n'hésitait pas à mener campagne en faisant couler le sang de ses opposants.
Positif
Si le film aurait gagné à être plus long pour s'appuyer davantage sur sa dimension psychologique, il est globalement plaisant.
TéléCinéObs
Une série B plutôt réussie, maligne dans sa manière de raccrocher les wagons, jouant habilement avec les phobies bactériologiques et autres pandémies de ce début de siècle, nerveuse et efficace dans son exécution.
Télérama
Que ceux qui s'attendent à un gros film d'action se calment : dans son refus du spectaculaire, cet épisode n'est pas loin du classique de Franklin J. Shaffner. (...) James Franco se laisse voler la vedette par Andy Serkis. (...)Grâce à ce spécialiste du genre "je joue divinement avec les yeux dans un déguisement pileux", ce faux blockbuster gagne encore en humanité
Charlie Hebdo
Rupert Wyatt filme platement un scénario alambiqué et poussif (première partie interminable et seconde expédiée), vaguement inspiré de "La Conquête de la Planète des Singes", mais sans la moindre ampleur. Seul bon point, le réalisme des singes.
Le Point
Ce qui faisait l'intérêt de l'original, c'était la métaphore politique (...) ici, point de métaphore : les singes ne sont bien que des singes très malins, en lutte contre une humanité déprimante. Les quelques scènes d'action efficaces, notamment grâce à d'excellents effets spéciaux, ne compensent pas vraiment cette absence de propos.
Cahiers du Cinéma
Quel intérêt de tourner un nouvel épisode de La Planète des singes dénué de toute dimension philosophique ? Leur révolte s'inscrit dans une simple logique de film catastrophe opposant deux espèces.
Libération
Laid et creux.