Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Critikat.com
par Stéphane Caillet
En filmant le récit tragique d'un père que l'on veut séparer de son enfant, Dai livre une oeuvre universelle, dotée d'une mise en scène qui cherche constamment à faire sens.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une oeuvre parfois presque drolatique, en tout cas à la frange du burlesque triste du cinéma muet (on pense à Chaplin), et tragique (...). Touchant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Nourri d'un retentissant fait divers, à la fois singulier et universel, ce beau film taïwanais offre un regard différent sur "l'autre" Chine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jean-Luc Douin
La force de "Je ne peux pas vivre sans toi" réside dans sa veine discrètement néoréaliste, un ton qui n'est pas sans rappeler les films du Philippin Lino Brocka.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Matthieu Darras
(...) intensité, sensibilité et dignité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Excessif
par Romain Le Vern
(...) le résultat est beau et humble, émouvant et fragile, comme un poème sur la compassion et l'impuissance.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On ne regrette même pas que ce film pas très honnête, tire-larmes, qui abuse de la corde sensible, nous fasse craquer. Certains arnaqueurs sont très séduisants.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Dans ses deux premiers tiers, le film distille un charme soutenu (...) Dommage que, pour atteindre son but, le film déboîte de lui-même dans sa dernière partie, qui flirte davantage avec le modeste mélo.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Alex Masson
Avec sa puissante peinture de la lutte des classes, Je ne peux pas vivre sans toi met en lumière l'éternel manque de considération envers le lumpenprolétariat. Il faudra désormais compter avec Leon Dai comme relève probable du cinéma asiatique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Cécile Mury
Un essai joliment transformé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Hadrien Postel-Vinay
Si le film réussit plutôt bien le jeu de la métaphore aquatique, (...) dommage qu'il faille, pour s'en sortir, tirer sur la corde des bons sentiments.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Du néoréalisme made in Taïwan, tendu entre drame intimiste et sèche peinture sociale. Un peu aride tout de même.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
En filmant le récit tragique d'un père que l'on veut séparer de son enfant, Dai livre une oeuvre universelle, dotée d'une mise en scène qui cherche constamment à faire sens.
L'Humanité
Une oeuvre parfois presque drolatique, en tout cas à la frange du burlesque triste du cinéma muet (on pense à Chaplin), et tragique (...). Touchant.
La Croix
Nourri d'un retentissant fait divers, à la fois singulier et universel, ce beau film taïwanais offre un regard différent sur "l'autre" Chine.
Le Monde
La force de "Je ne peux pas vivre sans toi" réside dans sa veine discrètement néoréaliste, un ton qui n'est pas sans rappeler les films du Philippin Lino Brocka.
Positif
(...) intensité, sensibilité et dignité.
Excessif
(...) le résultat est beau et humble, émouvant et fragile, comme un poème sur la compassion et l'impuissance.
Les Inrockuptibles
On ne regrette même pas que ce film pas très honnête, tire-larmes, qui abuse de la corde sensible, nous fasse craquer. Certains arnaqueurs sont très séduisants.
Libération
Dans ses deux premiers tiers, le film distille un charme soutenu (...) Dommage que, pour atteindre son but, le film déboîte de lui-même dans sa dernière partie, qui flirte davantage avec le modeste mélo.
Première
Avec sa puissante peinture de la lutte des classes, Je ne peux pas vivre sans toi met en lumière l'éternel manque de considération envers le lumpenprolétariat. Il faudra désormais compter avec Leon Dai comme relève probable du cinéma asiatique.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Un essai joliment transformé.
Cahiers du Cinéma
Si le film réussit plutôt bien le jeu de la métaphore aquatique, (...) dommage qu'il faille, pour s'en sortir, tirer sur la corde des bons sentiments.
TéléCinéObs
Du néoréalisme made in Taïwan, tendu entre drame intimiste et sèche peinture sociale. Un peu aride tout de même.