Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Filmsactu
par Arnaud Mangin
Boyle signe une fois encore un coup de maître en proposant avec "127 Heures" un survival tendant plus vers l'illustration d'une philosophie de vie qu'un thriller pur et dur.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) le film de Danny Boyle réussit l'exploit de nous scotcher avec un huis clos quasi immobile. A une réalisation nerveuse sur une bande-son rock'n'roll, succède un suspense oppressant et captivant, où les flash-back sur le passé du héros constituent l'unique échappatoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Jérôme Vermelin
Pendant 94 minutes, Boyle et son chef opérateur, Anthony Dodd Mantle, déploient des trésors d'inventivité pour nous faire partager les émotions de ce personnage aussi insupportable qu'attachant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
(...) une magnifique leçon de courage et d'espoir (...).
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Critikat.com
par Alexis Gilliat
POUR - D'une histoire aussi extrême et héroïque qu'inerte et au final moralisante, Danny Boyle tire un film d'une efficacité saisissante, par la grâce d'une réalisation si nerveuse qu'elle en énervera sans doute quelques-uns, mais qui témoigne surtout d'une virtuosité qu'on rechigne bien souvent à lui reconnaître.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
(...) Boyle parvient à donner un rythme visuel, une force motrice et des images sublimes, grâce essentiellement aux talents des deux directeurs de la photo avec lesquels il avait déjà collaboré (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le réalisateur prend le parti de mettre à l'image tourments et perceptions : envahissante sensation de soif, souvenirs, hallucinations, lésions de la chair... Ce maelström d'effets visuels spectaculaires apparaît souvent convaincant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
"127 heures" est une formidable leçon de survie, une aventure humaine et spirituelle unique en son genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) ce film joyeux et superficiel ravira sans doute des générations d'aspirants explorateurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Ce survival, tiré d'une histoire vraie et réalisé dans des décors naturels somptueux, vous prend aux tripes avant de vous retourner l'estomac.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Nicolas Bauche
[127 heures] fonctionne tout du long, prouvant le talent manifeste du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
On peut reprocher certaines choses au réalisateur de "Slumdog Millionaire" (son manichéisme, son esthétisme parfois déplacé, son montage épileptique), mais il y a une chose qu'on doit lui reconnaître : c'est un putain de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) le réalisateur de "Slumdog Millionaire" cède un peu trop à son goût pour les images clinquantes. Son huis clos claustrophobe assume un côté bling-bling , marque de fabrique du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Johan Girard
La grande prouesse du film est de traiter un événement statique, froid et déprimant de manière inventive, drôle ou touchante.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Excessif
par Romain Le Vern
"127 heures" est un survival immobile et haletant, qui (...) ne joue pas tellement la carte du thriller ludique (...) et préfère proposer une vraie réflexion sur l'homme perdu dans une nature indomptable.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur l'Express.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Efficace mais incroyablement digressif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Danny Boyle réussit le tour de force de nous maintenir sous tension pendant plus d'une heure au fond d'une grotte. (...) On peut juste se demander si un dénouement aussi gore était utile.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Florence Colombani
voir la critique sur lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La rédaction
(...) on a comme la sensation que le metteur en scène a eu peur d'ennuyer son spectateur en égrenant simplement les heures dans le déroulé de ce douloureux emprisonnement. Alors il se laisse aller à ses tics habituels. Une musique tapageuse, un montage speedé, des images secouées, bref des effets de clip et de pub.
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
"127 heures" n'est presque rien, une toute petite chose gonflée à bloc par le style publicitaire de la grenouille Boyle voulant se faire boeuf.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
(...) l'Anglais (...) est trop agité du bocal, trop obsédé par la crainte qu'une seconde d'ennui puisse se glisser entre les rouages rutilants des bécanes qu'il conduit à toute blinde (...). Car en définitive, on devrait être plus proche du cauchemar à la Edgar Allan Poe que du spot de prévention sur le trekking en solo.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Il y en avait des défis dans cette adaptation du livre d'Aron Ralston, inspiré par son accident. Le défi d'acteur, James Franco le relève haut la main (...). Danny Boyle ("Slumdog Millionaire") le relève à sa manière de faiseur efficace et creux d'un world-cinema toc et plein de tics.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Le réalisateur de "Slumdog Millionaire", devenu maître dans l'art de transformer une réalité effrayante en conte de fées ripoliné, a boosté ce fait divers terrible en un pénible clip promotionnel pour sports extrêmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(...) ces heures de tension se résument à une suite de petites pubs " suédées " : hommage à Décathlon (...), clin d'oeil à Hollywood Chewing-gum et aux shampoings Tahiti (...), remerciements à Coca Cola ()... Danny Boyle est un peu le De Palma du spot publicitaire : dépassant de peu Tony Scott, il est aujourd'hui le maniériste le plus dégénéré de la génération post-MTV des années 90.
Chronic'art.com
par Yal Sadat
S'attaquant à un scénario aussi opiniâtrement vide, l'Anglais allait-il trouver matière à calmer son hystérie ? Pas exactement: sans hésitation, Boyle résout le problème en déployant une imagerie de campagne publicitaire pour la World Company.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Arnaud Hée
CONTRE - Outillage panoptique allant des entrailles du corps en passant par la vidéosurveillance jusqu'aux effets Google Earth, il s'agit d'un fantasme de surveillance généralisée du regard et de la conscience de l'image.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
Boyle signe une fois encore un coup de maître en proposant avec "127 Heures" un survival tendant plus vers l'illustration d'une philosophie de vie qu'un thriller pur et dur.
Le Parisien
(...) le film de Danny Boyle réussit l'exploit de nous scotcher avec un huis clos quasi immobile. A une réalisation nerveuse sur une bande-son rock'n'roll, succède un suspense oppressant et captivant, où les flash-back sur le passé du héros constituent l'unique échappatoire.
Metro
Pendant 94 minutes, Boyle et son chef opérateur, Anthony Dodd Mantle, déploient des trésors d'inventivité pour nous faire partager les émotions de ce personnage aussi insupportable qu'attachant.
Télé 7 Jours
(...) une magnifique leçon de courage et d'espoir (...).
Critikat.com
POUR - D'une histoire aussi extrême et héroïque qu'inerte et au final moralisante, Danny Boyle tire un film d'une efficacité saisissante, par la grâce d'une réalisation si nerveuse qu'elle en énervera sans doute quelques-uns, mais qui témoigne surtout d'une virtuosité qu'on rechigne bien souvent à lui reconnaître.
L'Ecran Fantastique
(...) Boyle parvient à donner un rythme visuel, une force motrice et des images sublimes, grâce essentiellement aux talents des deux directeurs de la photo avec lesquels il avait déjà collaboré (...).
La Croix
Le réalisateur prend le parti de mettre à l'image tourments et perceptions : envahissante sensation de soif, souvenirs, hallucinations, lésions de la chair... Ce maelström d'effets visuels spectaculaires apparaît souvent convaincant.
Le Figaroscope
"127 heures" est une formidable leçon de survie, une aventure humaine et spirituelle unique en son genre.
Le Monde
(...) ce film joyeux et superficiel ravira sans doute des générations d'aspirants explorateurs.
Paris Match
Ce survival, tiré d'une histoire vraie et réalisé dans des décors naturels somptueux, vous prend aux tripes avant de vous retourner l'estomac.
Positif
[127 heures] fonctionne tout du long, prouvant le talent manifeste du réalisateur.
Première
On peut reprocher certaines choses au réalisateur de "Slumdog Millionaire" (son manichéisme, son esthétisme parfois déplacé, son montage épileptique), mais il y a une chose qu'on doit lui reconnaître : c'est un putain de cinéaste.
20 Minutes
(...) le réalisateur de "Slumdog Millionaire" cède un peu trop à son goût pour les images clinquantes. Son huis clos claustrophobe assume un côté bling-bling , marque de fabrique du cinéaste.
Brazil
La grande prouesse du film est de traiter un événement statique, froid et déprimant de manière inventive, drôle ou touchante.
Excessif
"127 heures" est un survival immobile et haletant, qui (...) ne joue pas tellement la carte du thriller ludique (...) et préfère proposer une vraie réflexion sur l'homme perdu dans une nature indomptable.
L'Express
Voir la critique sur l'Express.fr
L'Humanité
Efficace mais incroyablement digressif.
Le Journal du Dimanche
Danny Boyle réussit le tour de force de nous maintenir sous tension pendant plus d'une heure au fond d'une grotte. (...) On peut juste se demander si un dénouement aussi gore était utile.
Le Point
voir la critique sur lepoint.fr
Ouest France
(...) on a comme la sensation que le metteur en scène a eu peur d'ennuyer son spectateur en égrenant simplement les heures dans le déroulé de ce douloureux emprisonnement. Alors il se laisse aller à ses tics habituels. Une musique tapageuse, un montage speedé, des images secouées, bref des effets de clip et de pub.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Les Inrockuptibles
"127 heures" n'est presque rien, une toute petite chose gonflée à bloc par le style publicitaire de la grenouille Boyle voulant se faire boeuf.
Libération
(...) l'Anglais (...) est trop agité du bocal, trop obsédé par la crainte qu'une seconde d'ennui puisse se glisser entre les rouages rutilants des bécanes qu'il conduit à toute blinde (...). Car en définitive, on devrait être plus proche du cauchemar à la Edgar Allan Poe que du spot de prévention sur le trekking en solo.
TéléCinéObs
Il y en avait des défis dans cette adaptation du livre d'Aron Ralston, inspiré par son accident. Le défi d'acteur, James Franco le relève haut la main (...). Danny Boyle ("Slumdog Millionaire") le relève à sa manière de faiseur efficace et creux d'un world-cinema toc et plein de tics.
Télérama
Le réalisateur de "Slumdog Millionaire", devenu maître dans l'art de transformer une réalité effrayante en conte de fées ripoliné, a boosté ce fait divers terrible en un pénible clip promotionnel pour sports extrêmes.
Cahiers du Cinéma
(...) ces heures de tension se résument à une suite de petites pubs " suédées " : hommage à Décathlon (...), clin d'oeil à Hollywood Chewing-gum et aux shampoings Tahiti (...), remerciements à Coca Cola ()... Danny Boyle est un peu le De Palma du spot publicitaire : dépassant de peu Tony Scott, il est aujourd'hui le maniériste le plus dégénéré de la génération post-MTV des années 90.
Chronic'art.com
S'attaquant à un scénario aussi opiniâtrement vide, l'Anglais allait-il trouver matière à calmer son hystérie ? Pas exactement: sans hésitation, Boyle résout le problème en déployant une imagerie de campagne publicitaire pour la World Company.
Critikat.com
CONTRE - Outillage panoptique allant des entrailles du corps en passant par la vidéosurveillance jusqu'aux effets Google Earth, il s'agit d'un fantasme de surveillance généralisée du regard et de la conscience de l'image.