Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Chronic'art.com
par Thomas Pietrois-Chabassier
Femmes du Caire, c'est au fond le récit magnifique d'une émancipation valant pour toutes, celle d'Hebba, yeux sans visage, se découvrant une histoire personnelle, une vérité distinctive et les premiers contours d'une figure humaine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Femmes du Caire est un beau film de cinéma. (...) Yousry Nasrallah joue délibérément avec les codes de la fiction populaire sans renoncer à la vigueur de son expression de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Mathieu Macheret
Entre soap-opera et infiltration retorse du régime médiatique, entre la structure du conte populaire (le schème des Mille-et-une nuits) et la conduite d'un plateau de talk-show, entre les femmes de George Cukor et celles de Kenji Mizoguchi, le dernier film de Yousri Nasrallah tresse un échevelant réseau d'images comme autant de renvois à son ambitieux écheveau politique. Un vrai film d'intervention.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Marion Thuillier
Un mélodrame qui dénonce avec force la condition féminine en Egypte.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Humanité
par Dominique Widemann
(...) le cinéaste et son scénariste ont puisé à plusieurs faits divers pour les récits (...). Récits qui seront mis en scène en même temps que, par l'ingéniosité de Nasrallah, les portraits de ces femmes humiliées au plus profond (...).
Le Figaroscope
par Colette Monsat, Hugo de Saint-Phalle
L'alliance du mélodrame arabe traditionnel et d'un cinéma contemporain engagé, à l'esthétique raffinée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Serge Kanganski
Les plans vibrent, exsudent le désir, magnifiant les visages et les corps de ses actrices (...). Le film glisse parfois vers la comédie farcesque (...), mais le tragique domine (...). Dans le contexte égyptien, Femmes du Caire est un brûlot politique et sensuel – politique parce que sensuel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
(...) la mise en scène réussit à tisser ses liens entre la dureté moderne et un certain cinéma classique, oriental mais pas seulement...
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Bernard Achour
(...) l'ensemble, tour à tour subtil et violemment frontal, débouche courageusement sur un constat sans appel: si l'Egypte était une femme, ce n'est pas un voile mais une burqa d'acier qui la recouvrirait de la tête aux pieds.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Christophe Carrière
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par François Forestier
Par le biais du mélo, il touche au coeur même du problème ("Cette société pue car la scène politique est pourrie"), et donne un film touchant, politiquement juste, acéré. C'est du cinéma de combat dissimulé sous des dehors de cinéma populaire : il fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Cette façon de s'emparer frontalement de questions politiques au sein d'un cinéma populaire amplement narratif, profus et volontiers séducteur, assume l'héritage cinématographique d'un Youssef Chahine.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une mise en scène efficace et quelques scènes dures servent le propos de ce film, regard moderne sur une société où la soumission exigée des femmes va croissant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ouest France
par La rédaction
La manière est parfois lourde et démonstrative, mais c'est pour rappeler quelques données essentielles sur les rapports des nantis avec le pouvoir, et la condition de la femme en général.
Positif
par Franck Kausch
Si la légèreté du trait n'est pas l'objectif du film, la logique du miroir et de l'inversion que sa mise en scène exploite permet (...) de pointer combien la vie publique (...) est un fondamental moteur d'aliénation, dont les femmes restent les objets et les victimes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Samuel Douhaire
Le réalisateur n'a certes pas toujours la maîtrise narrative ni l'habileté esthétique du maître Almodovar. (...) Le film, très sensuel, réussit toutefois à concilier la puissance romanesque de beaux portraits de femmes (magnifiquement incarnés) avec un discours offensif contre la machisme de la société égyptienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Femmes du Caire, c'est au fond le récit magnifique d'une émancipation valant pour toutes, celle d'Hebba, yeux sans visage, se découvrant une histoire personnelle, une vérité distinctive et les premiers contours d'une figure humaine.
Le Monde
Femmes du Caire est un beau film de cinéma. (...) Yousry Nasrallah joue délibérément avec les codes de la fiction populaire sans renoncer à la vigueur de son expression de cinéaste.
Critikat.com
Entre soap-opera et infiltration retorse du régime médiatique, entre la structure du conte populaire (le schème des Mille-et-une nuits) et la conduite d'un plateau de talk-show, entre les femmes de George Cukor et celles de Kenji Mizoguchi, le dernier film de Yousri Nasrallah tresse un échevelant réseau d'images comme autant de renvois à son ambitieux écheveau politique. Un vrai film d'intervention.
Excessif
Un mélodrame qui dénonce avec force la condition féminine en Egypte.
L'Humanité
(...) le cinéaste et son scénariste ont puisé à plusieurs faits divers pour les récits (...). Récits qui seront mis en scène en même temps que, par l'ingéniosité de Nasrallah, les portraits de ces femmes humiliées au plus profond (...).
Le Figaroscope
L'alliance du mélodrame arabe traditionnel et d'un cinéma contemporain engagé, à l'esthétique raffinée.
Les Inrockuptibles
Les plans vibrent, exsudent le désir, magnifiant les visages et les corps de ses actrices (...). Le film glisse parfois vers la comédie farcesque (...), mais le tragique domine (...). Dans le contexte égyptien, Femmes du Caire est un brûlot politique et sensuel – politique parce que sensuel.
Libération
(...) la mise en scène réussit à tisser ses liens entre la dureté moderne et un certain cinéma classique, oriental mais pas seulement...
Première
(...) l'ensemble, tour à tour subtil et violemment frontal, débouche courageusement sur un constat sans appel: si l'Egypte était une femme, ce n'est pas un voile mais une burqa d'acier qui la recouvrirait de la tête aux pieds.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Par le biais du mélo, il touche au coeur même du problème ("Cette société pue car la scène politique est pourrie"), et donne un film touchant, politiquement juste, acéré. C'est du cinéma de combat dissimulé sous des dehors de cinéma populaire : il fait mouche.
Cahiers du Cinéma
Cette façon de s'emparer frontalement de questions politiques au sein d'un cinéma populaire amplement narratif, profus et volontiers séducteur, assume l'héritage cinématographique d'un Youssef Chahine.
La Croix
Une mise en scène efficace et quelques scènes dures servent le propos de ce film, regard moderne sur une société où la soumission exigée des femmes va croissant.
Ouest France
La manière est parfois lourde et démonstrative, mais c'est pour rappeler quelques données essentielles sur les rapports des nantis avec le pouvoir, et la condition de la femme en général.
Positif
Si la légèreté du trait n'est pas l'objectif du film, la logique du miroir et de l'inversion que sa mise en scène exploite permet (...) de pointer combien la vie publique (...) est un fondamental moteur d'aliénation, dont les femmes restent les objets et les victimes.
Télérama
Le réalisateur n'a certes pas toujours la maîtrise narrative ni l'habileté esthétique du maître Almodovar. (...) Le film, très sensuel, réussit toutefois à concilier la puissance romanesque de beaux portraits de femmes (magnifiquement incarnés) avec un discours offensif contre la machisme de la société égyptienne.