Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Metro
par Jennifer Lesieur
Il faut tout le talent d'un grand scénariste comme Jean-Loup Dabadie pour écrire des dialogues qui soient tendres et drôles sans être mièvres, et celui d'un Jean Becker pour donner une lumière à chaque scène. La Tête en friche sent bon la campagne l'été et la chaleur des sentiments. Un joli film qui fait du bien.
La critique complète est disponible sur le site Metro
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette histoire d'amitié inspirée d'un roman de Marie-Sabine Roger bénéficie de dialoguessignés Jean-Loup Dabadie et d'une mise en scène solidement charpentée. Les mouchoirsne sont pas superflus pour ce festival d'émotions porté par un couple d'acteurs épatants.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Excessif
par Gilles Botineau
A l'arrivée, La Tête en friche propose un moment de pur détente, où simplicité, performances et intelligence s'allient remarquablement.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Cinéaste à l'ancienne, Jean Becker observe ces deux personnages, sans interférer dans cette alchimie qui les unit. Depardieu l'autodidacte fait passer toutes les émotions. Ce rôle est taillé pour sa carcasse usée et il n'a jamais été aussi juste, aussi sincère, face à sa frêle partenaire, tout en élégance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Paris Match
par Alain Spira
Avec cette adaptation du roman de Marie-Sabine Roger, Jean Becker nous offre un joli numéro de duettistes entre Gérard Depardieu et Gisèle Casadesus. Une comédie dramatique revigorante sur l'amour des mots et de la lecture.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean A. Gili
La Tête en friche est une merveille d'équilibre qui fait regretter que Depardieu ne soit pas plus souvent utilisé dans des films où il puise, comme ici, dans la force de son âge (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
L'histoire est simple et son dénouement, comme un peloton dans la plaine se voit venir de loin. Jean Becker demeure le peintre des amitiés solidaires et des sentiments désuets (...). Mais ici, quelle fraîcheur dans les scènes où Depardieu croise le verbe avec Gisèle Casadesus.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Alain Grasset
Si le film à la réalisation très classique déborde souvent de bons sentiments, il n'empêche qu'on tombe assez vite sous le charme de ce couple improbable, tendre et émouvant, formé par un Depardieu décidément en grande forme et d'une Gisèle Casadesus, bientôt 96 ans, absolument délicieuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
voir Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La rédaction
(...) quelques idées simples et de menus propos convenus. Mais il fait toujours croire à la sincérité et à l'honnêteté de sa démarche parce qu'il s'appuie sur un couple exceptionnel d'authenticité et de générosité.
Télé 7 Jours
par Julien Barcillon
Et s'il recourt encore volontiers aux bons sentiments sans bouder les poncifs, qu'importe, le touchant face-à-face entre Gisèle Casadesus et Gérard Depardieu est une belle rencontre de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une fiction inégale, hantée par la nostalgie d'un cinéma de dialoguiste, où la naïveté se confond parfois avec la miévrerie. Les tête-à-tête pleins de charme et de douceur du couple Depardieu-Casadesus, actrice au charme décidément intemporel, sauvent l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Thomas Sotinel
On obtient le même résultat en regardant des vidéos de chatons qui courent sur un clavier de piano.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
Naïf comme un nouveau-né découvrant le monde, le scénario empile les dialogues doucereux (...), les flash-back maladroits (...) et les séquences répétitives (...) Un chapelet de lieux communs sur les conséquences pathologiques des non-dits et de l'importance de la transmission.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Tous les événements et nouveautés qui ont bouleversé le monde (et le cinéma) depuis les années 1950 ne semblent avoir aucune prise sur un univers qui s'auto-alimente par la seule reconduction du fantasme collectif d'une France qui n'a jamais existé.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Vincent Avenel
Mièvre, idiot, d'une criminelle facilité dans son racisme tranquille, La Tête en friche est plus que le camouflet à l'élite qu'il prétend être, c'est une insulte perpétuelle à la sensibilité artistique, intellectuelle et morale de son auditoire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Metro
Il faut tout le talent d'un grand scénariste comme Jean-Loup Dabadie pour écrire des dialogues qui soient tendres et drôles sans être mièvres, et celui d'un Jean Becker pour donner une lumière à chaque scène. La Tête en friche sent bon la campagne l'été et la chaleur des sentiments. Un joli film qui fait du bien.
20 Minutes
Cette histoire d'amitié inspirée d'un roman de Marie-Sabine Roger bénéficie de dialoguessignés Jean-Loup Dabadie et d'une mise en scène solidement charpentée. Les mouchoirsne sont pas superflus pour ce festival d'émotions porté par un couple d'acteurs épatants.
Excessif
A l'arrivée, La Tête en friche propose un moment de pur détente, où simplicité, performances et intelligence s'allient remarquablement.
Le Figaroscope
Cinéaste à l'ancienne, Jean Becker observe ces deux personnages, sans interférer dans cette alchimie qui les unit. Depardieu l'autodidacte fait passer toutes les émotions. Ce rôle est taillé pour sa carcasse usée et il n'a jamais été aussi juste, aussi sincère, face à sa frêle partenaire, tout en élégance.
Paris Match
Avec cette adaptation du roman de Marie-Sabine Roger, Jean Becker nous offre un joli numéro de duettistes entre Gérard Depardieu et Gisèle Casadesus. Une comédie dramatique revigorante sur l'amour des mots et de la lecture.
Positif
La Tête en friche est une merveille d'équilibre qui fait regretter que Depardieu ne soit pas plus souvent utilisé dans des films où il puise, comme ici, dans la force de son âge (...).
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Le Journal du Dimanche
L'histoire est simple et son dénouement, comme un peloton dans la plaine se voit venir de loin. Jean Becker demeure le peintre des amitiés solidaires et des sentiments désuets (...). Mais ici, quelle fraîcheur dans les scènes où Depardieu croise le verbe avec Gisèle Casadesus.
Le Parisien
Si le film à la réalisation très classique déborde souvent de bons sentiments, il n'empêche qu'on tombe assez vite sous le charme de ce couple improbable, tendre et émouvant, formé par un Depardieu décidément en grande forme et d'une Gisèle Casadesus, bientôt 96 ans, absolument délicieuse.
Le Point
voir Le Point.fr
Ouest France
(...) quelques idées simples et de menus propos convenus. Mais il fait toujours croire à la sincérité et à l'honnêteté de sa démarche parce qu'il s'appuie sur un couple exceptionnel d'authenticité et de générosité.
Télé 7 Jours
Et s'il recourt encore volontiers aux bons sentiments sans bouder les poncifs, qu'importe, le touchant face-à-face entre Gisèle Casadesus et Gérard Depardieu est une belle rencontre de cinéma.
TéléCinéObs
Une fiction inégale, hantée par la nostalgie d'un cinéma de dialoguiste, où la naïveté se confond parfois avec la miévrerie. Les tête-à-tête pleins de charme et de douceur du couple Depardieu-Casadesus, actrice au charme décidément intemporel, sauvent l'ensemble.
Le Monde
On obtient le même résultat en regardant des vidéos de chatons qui courent sur un clavier de piano.
Première
Naïf comme un nouveau-né découvrant le monde, le scénario empile les dialogues doucereux (...), les flash-back maladroits (...) et les séquences répétitives (...) Un chapelet de lieux communs sur les conséquences pathologiques des non-dits et de l'importance de la transmission.
Cahiers du Cinéma
Tous les événements et nouveautés qui ont bouleversé le monde (et le cinéma) depuis les années 1950 ne semblent avoir aucune prise sur un univers qui s'auto-alimente par la seule reconduction du fantasme collectif d'une France qui n'a jamais existé.
Critikat.com
Mièvre, idiot, d'une criminelle facilité dans son racisme tranquille, La Tête en friche est plus que le camouflet à l'élite qu'il prétend être, c'est une insulte perpétuelle à la sensibilité artistique, intellectuelle et morale de son auditoire.