Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Obs
par Jean-Philippe Guerand
On a trop longtemps reproché aux studios Dreamworks de produire des films d'animation dépourvus de personnalité pour ne pas goûter aujourd'hui l'originalité de "Madagascar" . Ces animaux doués de déraison sont particulièrement attachants et bénéficient d'un doublage haut de gamme, en VO comme en VF.
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Humour et personnages drôlissimes en images de synthèse. Les créateurs des studios Dreamworks rendent ici hommage aux dessins animés des années 30-40, dans la lignée des films de Tex Avery. Lion à l'ego surdimensionné, girafe hypocondriaque et bande de pingouins qui semblent tout droit sortis d'un James Bond ou de Mission impossible. A rugir de plaisir.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Un peu sur le modèle de Gang de requins, précédente productions Dreamworks, l'accent est mis sur l'enchaînement des gags et autres répliques saillantes, le tout avec bonne humeur et sur une musique agitée, de circonstance.
Paris Match
par Alain Spira
Les enfants craqueront pour ce lion roi du showbiz, pour ce zèbre idéaliste, cette girafe hypocondriaque et cette "hippopodame" au coeur aussi large que les hanches. Quant aux adultes, ils apprécieront les gags au second degré, la moquerie bon enfant des adeptes du retour à la nature et l'ambiance très Ibiza (...)
Positif
par Eithne O'Neill
Les voix de Ben Stiller/Anthony Kavanagh, (...) ajoutent à notre plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Score
par Iris Steensma
Rarement on avait tant ri devant un film d'animation. Si ce n'est pas le plus beau de ceux qui sont sortis depuis une décade, avec ses dessins trop anguleux bien que réjouissants, c'est celui qui use du ton le plus boute-en-train, enthousiasmant et, n'ayons pas peur des mots, jouissif depuis bien longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Olivier Pélisson
Une heure et demie de jubilation avec Alex le lion, Marty le zèbre, Melman la girafe et Gloria l'hippopotame. Alliant un rythme bien balancé, des répliques tordantes et des situations ubuesques, les deux réalisateurs réussisssent un spectacle visuel détonant.
aVoir-aLire.com
par Fréderic Mignard
Un film d'animation de plus ? Détrompez-vous. Madagascar est un bijou de comédie qui offre des gags à la pelle autour d'archétypes animaliers drôlissimes et intelligemment définis. Avec ses personnages hilarants et toujours attachants, cette production au budget confortable (...) est en lice pour devenir le meilleur film d'animation des studios Dreamworks.
Brazil
par Caroline Vié
Ces aventures d'animaux échappés du zoo de Central Park et qui découvrent le monde sauvage sont assez anecdotiques. On a cependant un faible pour leurs copains pingouins, commando débrouillard et craquant.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Madagascar trace son petit bonhomme de chemin entre distraction infantile et second degré, accès d'imagination délirante (et le meilleur du film se trouve dans les méfaits de la bande de pingouins sanguinaires) et conservatisme narratif. Et puis, il y a les voix, pour préserver un peu d'humanité. On parlera ici de l'une de celles qui animent la version originale : Chris Rock, qui interprète Marty, donne au film l'essentiel de son énergie avec ses indignations qui dérapent dans l'aigu et ses blagues faciles (...)
Libération
par Michel Roudevitch
Dotés des techniques les plus avancées de l'animation informatisée, les orfèvres de DreamWorks, prêchant le retour aux sources, se sont efforcés de retrouver, en trois dimensions, le "look" et le délire burlesque des cartoons d'antan (...) Mais si leurs pérégrinations dans la Grosse Pomme offrent pas mal d'attraits, les performances de nos quatre mousquetaires dans des contrées plus exotiques sont moins mirifiques, comparées aux gloires passées (...)
Ouest France
par La rédaction
C'est bien l'humour qui manque le plus à ce scénario et à cette production. Quelques éclats ici et là, et notamment à chaque prestation des pingouins. On regrette seulement de les voir cantonnés dans un rôle de comparses, tant ils sont bougrement irrésistibles (...) Au-delà de petites touches bien vues et bien venues, avec des clins d'oeil et des références à destination du public adulte, ils restent trop sagement dans le parc bien sage d'une distraction en demi-teinte.
Première
par Christophe Narbonne
Indépendamment de l'histoire, cocasse, Madagascar ouvre une nouvelle voie esthétique, à mi-chemin entre le cartoon d'antan et la 3D. On attend désormais des scénarios un peu plus consistants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Après un démarrage en fanfare, la fantaisie prend hélas un peu le large. Pour autant, les enfants s'amuseront.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Cécile Mury
Alerte, souvent très drôle (...), Madagascar reconduit donc une mécanique bien huilée, rouage après rouage. Moins racoleuse que le Gang de requins servi l'an dernier par le même studio, cette nouvelle gâterie en 3D est aussi, forcément, moins surprenante que Shrek (...) En outre, il manque peut-être à Madagascar cette pincée de dinguerie provocatrice, de férocité malodorante qui faisait le charme de l'ogre vert.
L'Obs
On a trop longtemps reproché aux studios Dreamworks de produire des films d'animation dépourvus de personnalité pour ne pas goûter aujourd'hui l'originalité de "Madagascar" . Ces animaux doués de déraison sont particulièrement attachants et bénéficient d'un doublage haut de gamme, en VO comme en VF.
Le Figaroscope
Humour et personnages drôlissimes en images de synthèse. Les créateurs des studios Dreamworks rendent ici hommage aux dessins animés des années 30-40, dans la lignée des films de Tex Avery. Lion à l'ego surdimensionné, girafe hypocondriaque et bande de pingouins qui semblent tout droit sortis d'un James Bond ou de Mission impossible. A rugir de plaisir.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Un peu sur le modèle de Gang de requins, précédente productions Dreamworks, l'accent est mis sur l'enchaînement des gags et autres répliques saillantes, le tout avec bonne humeur et sur une musique agitée, de circonstance.
Paris Match
Les enfants craqueront pour ce lion roi du showbiz, pour ce zèbre idéaliste, cette girafe hypocondriaque et cette "hippopodame" au coeur aussi large que les hanches. Quant aux adultes, ils apprécieront les gags au second degré, la moquerie bon enfant des adeptes du retour à la nature et l'ambiance très Ibiza (...)
Positif
Les voix de Ben Stiller/Anthony Kavanagh, (...) ajoutent à notre plaisir.
Score
Rarement on avait tant ri devant un film d'animation. Si ce n'est pas le plus beau de ceux qui sont sortis depuis une décade, avec ses dessins trop anguleux bien que réjouissants, c'est celui qui use du ton le plus boute-en-train, enthousiasmant et, n'ayons pas peur des mots, jouissif depuis bien longtemps.
Zurban
Une heure et demie de jubilation avec Alex le lion, Marty le zèbre, Melman la girafe et Gloria l'hippopotame. Alliant un rythme bien balancé, des répliques tordantes et des situations ubuesques, les deux réalisateurs réussisssent un spectacle visuel détonant.
aVoir-aLire.com
Un film d'animation de plus ? Détrompez-vous. Madagascar est un bijou de comédie qui offre des gags à la pelle autour d'archétypes animaliers drôlissimes et intelligemment définis. Avec ses personnages hilarants et toujours attachants, cette production au budget confortable (...) est en lice pour devenir le meilleur film d'animation des studios Dreamworks.
Brazil
Ces aventures d'animaux échappés du zoo de Central Park et qui découvrent le monde sauvage sont assez anecdotiques. On a cependant un faible pour leurs copains pingouins, commando débrouillard et craquant.
Le Monde
Madagascar trace son petit bonhomme de chemin entre distraction infantile et second degré, accès d'imagination délirante (et le meilleur du film se trouve dans les méfaits de la bande de pingouins sanguinaires) et conservatisme narratif. Et puis, il y a les voix, pour préserver un peu d'humanité. On parlera ici de l'une de celles qui animent la version originale : Chris Rock, qui interprète Marty, donne au film l'essentiel de son énergie avec ses indignations qui dérapent dans l'aigu et ses blagues faciles (...)
Libération
Dotés des techniques les plus avancées de l'animation informatisée, les orfèvres de DreamWorks, prêchant le retour aux sources, se sont efforcés de retrouver, en trois dimensions, le "look" et le délire burlesque des cartoons d'antan (...) Mais si leurs pérégrinations dans la Grosse Pomme offrent pas mal d'attraits, les performances de nos quatre mousquetaires dans des contrées plus exotiques sont moins mirifiques, comparées aux gloires passées (...)
Ouest France
C'est bien l'humour qui manque le plus à ce scénario et à cette production. Quelques éclats ici et là, et notamment à chaque prestation des pingouins. On regrette seulement de les voir cantonnés dans un rôle de comparses, tant ils sont bougrement irrésistibles (...) Au-delà de petites touches bien vues et bien venues, avec des clins d'oeil et des références à destination du public adulte, ils restent trop sagement dans le parc bien sage d'une distraction en demi-teinte.
Première
Indépendamment de l'histoire, cocasse, Madagascar ouvre une nouvelle voie esthétique, à mi-chemin entre le cartoon d'antan et la 3D. On attend désormais des scénarios un peu plus consistants.
Télé 7 Jours
Après un démarrage en fanfare, la fantaisie prend hélas un peu le large. Pour autant, les enfants s'amuseront.
Télérama
Alerte, souvent très drôle (...), Madagascar reconduit donc une mécanique bien huilée, rouage après rouage. Moins racoleuse que le Gang de requins servi l'an dernier par le même studio, cette nouvelle gâterie en 3D est aussi, forcément, moins surprenante que Shrek (...) En outre, il manque peut-être à Madagascar cette pincée de dinguerie provocatrice, de férocité malodorante qui faisait le charme de l'ogre vert.