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6 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Robin Wood. Louis Marcorelles
Si l’on se rappelle Vertigo, on comprendra pourquoi Psycho devait être le premier « film de terreur » d’Hitchcock. N°113 -Novembre 1960
L'Evènement du Jeudi
par Michel Boujut
Un must absolu…02/05/1985
Le Monde
par Jean de Baroncelli
Alors que Vertigo faisait naître en nous l’inquiétude et le malaise (…), alors que la Mort aux Trousses se présentait surtout comme une comédie humoristique (…) Psychose est bel et bien un film de terreur. 27/10/1960
Paris-Presse
par Michel Aubriant
C’est ça l’art d’Hicthcock : détourner l’attention sur des personnages, des objets en apparence anodins, mais qui dégagent, à la longue, comme un pouvoir d’engourdissement. Hicthcock endort l’esprit. 03/11/1960
Positif
par L.S.
Ce film d'épouvante soigné contient quelques bons moments (…) on pourrait même y prendre quelque plaisir furtif (…). N°37, janvier 1961
aVoir-aLire.com
par Edgar Hourrière
(...)il faut souligner la performance hypnotique d'Anthony Perkins, magnifique dans sa dualité psychologique où l'innocence cohabite avec la folie meurtrière la plus sauvage. Sans oublier la troublante Janet Leigh, parfaite en fausse ingénue aux capacités vocales impressionnantes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Si l’on se rappelle Vertigo, on comprendra pourquoi Psycho devait être le premier « film de terreur » d’Hitchcock. N°113 -Novembre 1960
L'Evènement du Jeudi
Un must absolu…02/05/1985
Le Monde
Alors que Vertigo faisait naître en nous l’inquiétude et le malaise (…), alors que la Mort aux Trousses se présentait surtout comme une comédie humoristique (…) Psychose est bel et bien un film de terreur. 27/10/1960
Paris-Presse
C’est ça l’art d’Hicthcock : détourner l’attention sur des personnages, des objets en apparence anodins, mais qui dégagent, à la longue, comme un pouvoir d’engourdissement. Hicthcock endort l’esprit. 03/11/1960
Positif
Ce film d'épouvante soigné contient quelques bons moments (…) on pourrait même y prendre quelque plaisir furtif (…). N°37, janvier 1961
aVoir-aLire.com
(...)il faut souligner la performance hypnotique d'Anthony Perkins, magnifique dans sa dualité psychologique où l'innocence cohabite avec la folie meurtrière la plus sauvage. Sans oublier la troublante Janet Leigh, parfaite en fausse ingénue aux capacités vocales impressionnantes.