Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par La rédaction
Une expérience multisensorielle dont le son bourdonnant et l'image granuleuse sont enadéquation parfaite avec le malaise poisseux que suscitent l'enlèvement et le massacre d'une prostituée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Franck Unimon
Mendoza filme comme un serpent. Il ne nous lâchera pas. Les échos qui nous traversent sont ses écailles. Les frissons sont les nôtres. Mais c'est du cinéma. On n'en meurt pas. Cette fois-ci.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Mendoza trempe nos regards dans cette terrible indécision, anti-Haneke au possible puisque,(...), il filme à hauteur de notre propre ambiguïté et sonde le coeur même de cette position intenable où témoins et bourreaux, salauds et complices, tournoient et parfois se confondent. Un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Chronic'art.com
par Jean-sébastien Chauvin
Mendoza donne parfois le sentiment de filmer comme si le cinéma n'existait pas, comme si la conscience d'autres oeuvres ne pesait pas sur lui.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Dvdrama
par La Rédaction
Mendoza signe un uppercut d'une beauté si choquante qu'elle risque de marquer durablement votre parcours de cinéphile.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Mendoza a peut-être signé le meilleur film d'horreur de l'année, renvoyant les Saw à Fort Boyaux à leurs études, avec très peu de moyens et une prise abrasive sur le réel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Jérôme Vermelin
Brut de décoffrage, Kinatay capte en temps réel le pouls de son héros, acteur involontaire d'un fait divers que Mendoza filme de façon presque banale, presque ordinaire, et par conséquent bien plus effrayante.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télérama
par PIerre Murat
POUR : A Cannes, Kinatay a obtenu le Prix de la mise en scène. Choix judicieux, récompence courageuse pour ce film à l'étonnante rigueur et à l'extrême audace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Filmsactu
par Elodie Leroy
Quand l'horreur absolue s'invite dans le quotidien, on obtient un film trash, sec et dérangeant dont le propos s'avère tristement pertinent.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Eric Libiot
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce qui suit relève pourtant de la pure horreur. On y est conduit d'autant plus efficacement que la transition est douce et l'absence d'information savamment entretenue. Tout au plus peut-on constater que la nuit est tombée, que l'agitation s'est calmée, qu'une autre temporalité, plus secrète et inquiétante, s'empare désormais de la ville
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Eric Loret
Mendoza crée les conditions précises de la pire angoisse, agonie dont on ne sait s'il faut souhaiter qu'elle continue (mais l'on souffre) ou qu'elle s'arrête (mais l'on meurt).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomzs Baurez
Voir sur Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
POUR : Brillante Mendoza, réalisateur philippin, film en temps réel, à l'aide de plans séquences hallucinants, la descente aux enfers de Peping (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Brillante Mendoza tourne en temps réel, tord les sons, laisse le noir bouffer l'image et la terreur s'emparer du spectateur. (...) Qu'on le rejette ou qu'il vous hante, il est néanmoins difficile de ne pas reconnaître à ce film une virtuosité sidérante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
(...) ici la série de champs-contrechamps, entre d'un côté le témoin horrifié mais passif et, de l'autre, le crime qui n'en finit pas, finit par être lassante et redondante. Voire désagréable lorsqu'on soupçonne que l'enjeu est surtout de tenir la durée d'un long métrage.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Télérama
par Samuel Douhaire
CONTRE:Les performances techniques du réalisateur philippin tournent ici à vide, à l'instar du voyage en minibus dans les rues de Manille, filmé à la pauvre lumière des lampadaires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par La rédaction
Le film justifie la maxime " Tout ce qui est excessif est insignifiant ".
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
CONTRE : Froideur, réalisme, tournage en temps réel, image crasseuse, réalisation brute (...) Un supplice.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir sur Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
Une expérience multisensorielle dont le son bourdonnant et l'image granuleuse sont enadéquation parfaite avec le malaise poisseux que suscitent l'enlèvement et le massacre d'une prostituée.
Brazil
Mendoza filme comme un serpent. Il ne nous lâchera pas. Les échos qui nous traversent sont ses écailles. Les frissons sont les nôtres. Mais c'est du cinéma. On n'en meurt pas. Cette fois-ci.
Charlie Hebdo
Mendoza trempe nos regards dans cette terrible indécision, anti-Haneke au possible puisque,(...), il filme à hauteur de notre propre ambiguïté et sonde le coeur même de cette position intenable où témoins et bourreaux, salauds et complices, tournoient et parfois se confondent. Un grand film.
Chronic'art.com
Mendoza donne parfois le sentiment de filmer comme si le cinéma n'existait pas, comme si la conscience d'autres oeuvres ne pesait pas sur lui.
Dvdrama
Mendoza signe un uppercut d'une beauté si choquante qu'elle risque de marquer durablement votre parcours de cinéphile.
Les Inrockuptibles
Mendoza a peut-être signé le meilleur film d'horreur de l'année, renvoyant les Saw à Fort Boyaux à leurs études, avec très peu de moyens et une prise abrasive sur le réel.
Metro
Brut de décoffrage, Kinatay capte en temps réel le pouls de son héros, acteur involontaire d'un fait divers que Mendoza filme de façon presque banale, presque ordinaire, et par conséquent bien plus effrayante.
Télérama
POUR : A Cannes, Kinatay a obtenu le Prix de la mise en scène. Choix judicieux, récompence courageuse pour ce film à l'étonnante rigueur et à l'extrême audace.
Filmsactu
Quand l'horreur absolue s'invite dans le quotidien, on obtient un film trash, sec et dérangeant dont le propos s'avère tristement pertinent.
L'Express
www.lexpress.fr
Le Monde
Ce qui suit relève pourtant de la pure horreur. On y est conduit d'autant plus efficacement que la transition est douce et l'absence d'information savamment entretenue. Tout au plus peut-on constater que la nuit est tombée, que l'agitation s'est calmée, qu'une autre temporalité, plus secrète et inquiétante, s'empare désormais de la ville
Libération
Mendoza crée les conditions précises de la pire angoisse, agonie dont on ne sait s'il faut souhaiter qu'elle continue (mais l'on souffre) ou qu'elle s'arrête (mais l'on meurt).
Studio Ciné Live
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Le Journal du Dimanche
POUR : Brillante Mendoza, réalisateur philippin, film en temps réel, à l'aide de plans séquences hallucinants, la descente aux enfers de Peping (...)
TéléCinéObs
Brillante Mendoza tourne en temps réel, tord les sons, laisse le noir bouffer l'image et la terreur s'emparer du spectateur. (...) Qu'on le rejette ou qu'il vous hante, il est néanmoins difficile de ne pas reconnaître à ce film une virtuosité sidérante.
Cahiers du Cinéma
(...) ici la série de champs-contrechamps, entre d'un côté le témoin horrifié mais passif et, de l'autre, le crime qui n'en finit pas, finit par être lassante et redondante. Voire désagréable lorsqu'on soupçonne que l'enjeu est surtout de tenir la durée d'un long métrage.
Télérama
CONTRE:Les performances techniques du réalisateur philippin tournent ici à vide, à l'instar du voyage en minibus dans les rues de Manille, filmé à la pauvre lumière des lampadaires.
Le Figaroscope
Le film justifie la maxime " Tout ce qui est excessif est insignifiant ".
Le Journal du Dimanche
CONTRE : Froideur, réalisme, tournage en temps réel, image crasseuse, réalisation brute (...) Un supplice.
Studio Ciné Live
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