Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Brazil
par Thomas Roland
Sans s'appesantir dessus, la discrimination, le racisme et la mise à l'écart des aborigènes sont mis en évidence par le biais d'une mise en scène sobre, mais qui n'épargne pourtant pas au spectateur quelques moments chocs.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
20 Minutes
par La rédaction
Ce conte à la bande-son très riche, ode aux grands espaces et aux sentiments généreux, renoue avec la tradition humaniste du cinéma australien.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Yann François
"Le loyalisme du cinéaste (...) porte en grâce la fragile embarcation et impose Warwick Thornton en singulier orfèvre des incandescences juvéniles."
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
(...) ce film presque sans paroles (...) frappe en plein coeur.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) la vie de Samson et Delilah ne tient qu'à ces fils ténus, que tisse, toute colère rentrée, un cinéaste dont il ne fait guère de doute que l'on reparlera.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Une oeuvre envoûtante et d'une très grande beaté. Un film (...) d'une stupéfiante maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-Noël Tranchant
Une trajectoire bouleversante de déréliction et d'amour, filmée avec une rigueur, une fraîcheur et une intensité magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Caméra d'or méritée à Cannes pour ce beau film engagé qui ne renonce pas à l'humour (...) premier long métrage "entièrement aborigène" de l'histoire, l'évènement cinématographique de l'année en Australie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Samson & Delilah, comme la plupart des premiers films, montre de temps en temps de petits défauts, des petites facilités d'écriture (...) la concentration et le souffle de la mise en scène balaient tous nos a priori sur leur passage, parce que le film est supérieur à ses moindres détails.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
L'absence de parole entre les deux amants platoniques ajoute (...) au sentiment de tragédie moderne, Beckett de l'outback.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Alexandra Bogaert
La beauté des images marquera à coup sûr les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Vincent Thabourey
Quand raconter une histoire est une urgence, une nécessité vitale, celle-ci devient alors universelle, transcendant les cultures, offrant son récit avec une rare sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Didier Roth-Bettoni
On n'est pas près d'oublier la manière qu'a le réalisateur de filmer l'ennui de ces vies sans horizon, alors même que l'horizon géographique, battu par les vents du bush, est immense et écrasant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir sur Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
"Samson & Delilah", couronné par la Caméra d'or à Cannes, est à la fois un film politique et une histoire d'amour comme on en voit peu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Samuel Douhaire
Thornton parvient à associer son portrait documentaire des indigènes d'Australie à une romanesque histoire d'amour naissant. (...) Sans dialogues (ou presque) mais avec une bande sonore d'une grande richesse expressive.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Warwick Thornton aura su nous faire rentrer au préalable dans un univers mystérieux et, une fois en terrain connu, nous replacer dans notre monde pour mieux nous le rendre étranger.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Ce beau message est distillé au fil d'un récit mélodramatique, laconique, presque sans dialogues, qui traduit esthétiquement l'immobilité sociale de ces laissés pour compte, leur condamnation à des routines mortifères.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
(...) ce film radical compense un rythme trop lent et un scénario minimaliste par une interprétation bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Parisien
par Marie Sauvion
Samson et Delilah pâtissent hélas de tant de complaisance dans la noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Brazil
Sans s'appesantir dessus, la discrimination, le racisme et la mise à l'écart des aborigènes sont mis en évidence par le biais d'une mise en scène sobre, mais qui n'épargne pourtant pas au spectateur quelques moments chocs.
Le Point
Voir le site du Point
20 Minutes
Ce conte à la bande-son très riche, ode aux grands espaces et aux sentiments généreux, renoue avec la tradition humaniste du cinéma australien.
Chronic'art.com
"Le loyalisme du cinéaste (...) porte en grâce la fragile embarcation et impose Warwick Thornton en singulier orfèvre des incandescences juvéniles."
Elle
(...) ce film presque sans paroles (...) frappe en plein coeur.
L'Obs
(...) la vie de Samson et Delilah ne tient qu'à ces fils ténus, que tisse, toute colère rentrée, un cinéaste dont il ne fait guère de doute que l'on reparlera.
La Croix
Une oeuvre envoûtante et d'une très grande beaté. Un film (...) d'une stupéfiante maîtrise.
Le Figaroscope
Une trajectoire bouleversante de déréliction et d'amour, filmée avec une rigueur, une fraîcheur et une intensité magnifiques.
Le Journal du Dimanche
Caméra d'or méritée à Cannes pour ce beau film engagé qui ne renonce pas à l'humour (...) premier long métrage "entièrement aborigène" de l'histoire, l'évènement cinématographique de l'année en Australie.
Les Inrockuptibles
Samson & Delilah, comme la plupart des premiers films, montre de temps en temps de petits défauts, des petites facilités d'écriture (...) la concentration et le souffle de la mise en scène balaient tous nos a priori sur leur passage, parce que le film est supérieur à ses moindres détails.
Libération
L'absence de parole entre les deux amants platoniques ajoute (...) au sentiment de tragédie moderne, Beckett de l'outback.
Metro
La beauté des images marquera à coup sûr les spectateurs.
Positif
Quand raconter une histoire est une urgence, une nécessité vitale, celle-ci devient alors universelle, transcendant les cultures, offrant son récit avec une rare sincérité.
Première
On n'est pas près d'oublier la manière qu'a le réalisateur de filmer l'ennui de ces vies sans horizon, alors même que l'horizon géographique, battu par les vents du bush, est immense et écrasant.
Studio Ciné Live
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TéléCinéObs
"Samson & Delilah", couronné par la Caméra d'or à Cannes, est à la fois un film politique et une histoire d'amour comme on en voit peu.
Télérama
Thornton parvient à associer son portrait documentaire des indigènes d'Australie à une romanesque histoire d'amour naissant. (...) Sans dialogues (ou presque) mais avec une bande sonore d'une grande richesse expressive.
Cahiers du Cinéma
Warwick Thornton aura su nous faire rentrer au préalable dans un univers mystérieux et, une fois en terrain connu, nous replacer dans notre monde pour mieux nous le rendre étranger.
Le Monde
Ce beau message est distillé au fil d'un récit mélodramatique, laconique, presque sans dialogues, qui traduit esthétiquement l'immobilité sociale de ces laissés pour compte, leur condamnation à des routines mortifères.
Paris Match
(...) ce film radical compense un rythme trop lent et un scénario minimaliste par une interprétation bouleversante.
Le Parisien
Samson et Delilah pâtissent hélas de tant de complaisance dans la noirceur.