Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Paris Match
par Alain Spira
Sans arriver à la cheville du Requiem for a Dream, ce film à la réalisation nerveuse et au casting glamour mais encombré par une voix off parasitaire et une morale à deux balles (...), suit les rails (de coke) d'un Bret Easton Ellis.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Excessif
par Jean-Baptiste Guegan
(...) le recours à la voix-off, solution ici employée, nuit considérablement au film par sa dimension artificielle, (...) Une mise en scène volontairement ostentatoire et par trop esthétisée. (...) Loin d'être convainquant, Twelve a un mérite véritable : son casting joue pour lui (...) il fait éclater au grand jour, le potentiel hollywoodien d'Emma Roberts.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Parisien
par Hubert Lizé
Joel Schumacher livre une chronique sociale de la vacuité adolescente réalisée sans esbrouffe ni esthétisation à outrance, mais sans véritable souffle non plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
[...] avec son efficacité coutumière (montage sec et caméra à l'épaule) que [...] le cinéaste retrouve son goût du moralisme [...]
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
On dirait une matière brute, homogène mais divisible (des tranches de Twelve), un peu à la manière des vidéos d'aquarium ou de feu dans la cheminée - deux heures de crépitements garanties.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Twelve n'est jamais que l'énième épisode de la quête d'identité artistique menée par un tâcheron depuis plus de trente ans, sans qu'il ne s'en soit jamais donné les moyens.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
par Elodie Leroy
Joel Schumacher avait plusieurs cartes en main pour faire un bon petit film subversif, mais il faut croire que le bonhomme ne sait plus raconter une histoire. Plombé par une voix off redondante avec les images, (...) ce n'est pas l'abondance d'artifices de mise en scène qui nous fera oublier la superficialité du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
(...) Schumacher (...) gâche consciencieusement son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-François Rauger
Il y a différentes manières de traiter le désordre moral et le chaos, les turpitudes sans plaisir des rejetons de la grande bourgeoisie. Joel Schumacher, fidèle à son habitude, en choisit une particulièrement hypocrite (...) avant de conclure sa charge par une fin sentimentale et moralisatrice relevant du roman à l'eau de rose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Voir la critique sur lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Alex Masson
(...) le cinéaste reste désespérement à la surface des états d'âme de ses personnages. (...) une mise en scène bling-bling et un scénario ne jurant que par les ressorts usés de la tragédie grecque.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Protagonistes manichéens aux prises avec des situations dramatiques formatées, tout ça pue la morale à bon marché.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Paris Match
Sans arriver à la cheville du Requiem for a Dream, ce film à la réalisation nerveuse et au casting glamour mais encombré par une voix off parasitaire et une morale à deux balles (...), suit les rails (de coke) d'un Bret Easton Ellis.
Excessif
(...) le recours à la voix-off, solution ici employée, nuit considérablement au film par sa dimension artificielle, (...) Une mise en scène volontairement ostentatoire et par trop esthétisée. (...) Loin d'être convainquant, Twelve a un mérite véritable : son casting joue pour lui (...) il fait éclater au grand jour, le potentiel hollywoodien d'Emma Roberts.
Le Parisien
Joel Schumacher livre une chronique sociale de la vacuité adolescente réalisée sans esbrouffe ni esthétisation à outrance, mais sans véritable souffle non plus.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
[...] avec son efficacité coutumière (montage sec et caméra à l'épaule) que [...] le cinéaste retrouve son goût du moralisme [...]
Chronic'art.com
On dirait une matière brute, homogène mais divisible (des tranches de Twelve), un peu à la manière des vidéos d'aquarium ou de feu dans la cheminée - deux heures de crépitements garanties.
Critikat.com
Twelve n'est jamais que l'énième épisode de la quête d'identité artistique menée par un tâcheron depuis plus de trente ans, sans qu'il ne s'en soit jamais donné les moyens.
Filmsactu
Joel Schumacher avait plusieurs cartes en main pour faire un bon petit film subversif, mais il faut croire que le bonhomme ne sait plus raconter une histoire. Plombé par une voix off redondante avec les images, (...) ce n'est pas l'abondance d'artifices de mise en scène qui nous fera oublier la superficialité du scénario.
Le Figaroscope
(...) Schumacher (...) gâche consciencieusement son sujet.
Le Monde
Il y a différentes manières de traiter le désordre moral et le chaos, les turpitudes sans plaisir des rejetons de la grande bourgeoisie. Joel Schumacher, fidèle à son habitude, en choisit une particulièrement hypocrite (...) avant de conclure sa charge par une fin sentimentale et moralisatrice relevant du roman à l'eau de rose.
Le Point
Voir la critique sur lepoint.fr
Première
(...) le cinéaste reste désespérement à la surface des états d'âme de ses personnages. (...) une mise en scène bling-bling et un scénario ne jurant que par les ressorts usés de la tragédie grecque.
TéléCinéObs
Protagonistes manichéens aux prises avec des situations dramatiques formatées, tout ça pue la morale à bon marché.