Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Première
par Christophe Narbonne
POUR : Notre jour viendra est la rencontre entre Les Valseuses et La Vie de Jésus. (...) Le nihilisme final, signe d'un dogmatisme aveugle, confirme que Romain Gavras est un cinéaste responsable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Filmsactu
par Yann Rutledge
Perdus au beau milieu des paysages désertés du nord de la France, Vincent Cassel et Olivier Barthélémy livrent une interprétation humaine et sensible à laquelle le film doit beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Libération
par Didier Péron
Naviguant entre formalisme chic (...) et misanthropie décalée, le film cherche, avec les personnages, une raison d'être qui échapperait à sa propre énergie d'autodesintégtration. En cela, il est très moderne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
On retrouve chez Romain Gavras, bien né malgré lui, cette volonté de choquer le bourgeois, de tuer le père. Comme elle existait chez Bertrand Blier, autre " fils de " en colère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
La virtuosité technique peine à masquer la vacuité d'un projet qui ne parvient qu'à agacer, alors qu'il cherchait visiblement à déranger. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Anne Diatkine
L'image est ample, les couleurs sont travaillées, mais à force de vouloir choquer, le film laisse à distance.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Romain Le Vern
Derrière une apparence décousue - ce qui génère de vraies baisses de régime -, le récit s'enfonce à un rythme étrange vers une destination secrète dont on est sûr que personne ne reviendra.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
[Romain Gavras] signe un premier film qui dit sa fascination pour la violence. [...] Mais [...] difficile de ne pas penser à une relecture superficielle de Taxi Driver, d'Orange Mécanique...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) un goût un peu gratuit de la provocation, une spectacularisation un rien cynique d'une révolte qui demanderait plus de temps et d'arguments pour être justifiée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
[...] un road movie servi par des images splendides du nord de la France et une bonne dose d'humour mais aussi émaillé de tirades racistes et de scènes inutilement chocs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Sous l'influence du Blier 70's (Les Valseuses, Calmos...), Gavras n'en reproduit hélas que les tics les plus agaçants, compilation grandguignolesque de futures scènes "cultes" et malaisantes, sans l'humour et la portée libertaire de son maître.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Il faut reconnaître à Gavras un style, un vrai talent pour saisir la beauté chaotique des choses qui (...). Le problème, c'est que son film se veut aussi et surtout brûlot sans limite et alterne à ces éclairs poétiques des scènes rentre-dedans (...). D'où un film qui ne va nulle part et ne dit rien. Vainement détestable.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Brazil
par Alexandra Louvet
Romain Gavras semble avoir manqué de la maturité nécessaire et de maîtrise dans son propos pour s'attaquer à un projet aussi barré et absurde.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Romain Gavras (...) pense pouvoir conjurer les travers méprisants de son regard par un élan comique dévastateur. Hélas, en lieu et place d'esprit grinçant et satirique, nous n'avons droit qu'à un pénible numéro du grand frère Cassel radotant ses gammes périmées d'anar de droite. (...) Même pas punk !
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Sébastien Chapuys
Notre jour viendra cherche à sentir le roussi mais n'exhale qu'une odeur de moisi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Fabrice Pliskin
La peinture de ce nihilisme finit par annihiler le film lui-même. Du Blier aphone, moins la fantaisie et le "bruit des glaçons".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Benoît Renaudin
Violent, chaotique et sans autre but que de choquer son auditoire (...) sans réelle structure narrative.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par La Rédaction
Entre Les Valseuses et Orange mécanique, un exercice de style très poudre aux yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Metro
par Jérôme Vermelin
C'est très mal écrit, à peu près bien filmé mais atrocement surjoué à tel point qu'on se demande vite s'il faut en rire ou en pleurer.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
Un déferlement de violence jusqu'à l'écoeurement à partir d'un scénario de n'importe quoi.
Première
par Julien Samy
CONTRE : (...) une absence embarrassante de discours et de point de vue. (...) Loin de provoquer la réflexion, leur nihilisme facile souffre d'un manque cruel de sincérité, à des années-lumières de la rage humaniste d'un Spike Lee ou de l'anarchisme d'un Blier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Première
POUR : Notre jour viendra est la rencontre entre Les Valseuses et La Vie de Jésus. (...) Le nihilisme final, signe d'un dogmatisme aveugle, confirme que Romain Gavras est un cinéaste responsable.
Filmsactu
Perdus au beau milieu des paysages désertés du nord de la France, Vincent Cassel et Olivier Barthélémy livrent une interprétation humaine et sensible à laquelle le film doit beaucoup.
Libération
Naviguant entre formalisme chic (...) et misanthropie décalée, le film cherche, avec les personnages, une raison d'être qui échapperait à sa propre énergie d'autodesintégtration. En cela, il est très moderne.
Télérama
On retrouve chez Romain Gavras, bien né malgré lui, cette volonté de choquer le bourgeois, de tuer le père. Comme elle existait chez Bertrand Blier, autre " fils de " en colère.
20 Minutes
La virtuosité technique peine à masquer la vacuité d'un projet qui ne parvient qu'à agacer, alors qu'il cherchait visiblement à déranger. Dommage.
Elle
L'image est ample, les couleurs sont travaillées, mais à force de vouloir choquer, le film laisse à distance.
Excessif
Derrière une apparence décousue - ce qui génère de vraies baisses de régime -, le récit s'enfonce à un rythme étrange vers une destination secrète dont on est sûr que personne ne reviendra.
Le Journal du Dimanche
[Romain Gavras] signe un premier film qui dit sa fascination pour la violence. [...] Mais [...] difficile de ne pas penser à une relecture superficielle de Taxi Driver, d'Orange Mécanique...
Le Monde
(...) un goût un peu gratuit de la provocation, une spectacularisation un rien cynique d'une révolte qui demanderait plus de temps et d'arguments pour être justifiée.
Le Parisien
[...] un road movie servi par des images splendides du nord de la France et une bonne dose d'humour mais aussi émaillé de tirades racistes et de scènes inutilement chocs.
Les Inrockuptibles
Sous l'influence du Blier 70's (Les Valseuses, Calmos...), Gavras n'en reproduit hélas que les tics les plus agaçants, compilation grandguignolesque de futures scènes "cultes" et malaisantes, sans l'humour et la portée libertaire de son maître.
TéléCinéObs
Il faut reconnaître à Gavras un style, un vrai talent pour saisir la beauté chaotique des choses qui (...). Le problème, c'est que son film se veut aussi et surtout brûlot sans limite et alterne à ces éclairs poétiques des scènes rentre-dedans (...). D'où un film qui ne va nulle part et ne dit rien. Vainement détestable.
Brazil
Romain Gavras semble avoir manqué de la maturité nécessaire et de maîtrise dans son propos pour s'attaquer à un projet aussi barré et absurde.
Cahiers du Cinéma
Romain Gavras (...) pense pouvoir conjurer les travers méprisants de son regard par un élan comique dévastateur. Hélas, en lieu et place d'esprit grinçant et satirique, nous n'avons droit qu'à un pénible numéro du grand frère Cassel radotant ses gammes périmées d'anar de droite. (...) Même pas punk !
Critikat.com
Notre jour viendra cherche à sentir le roussi mais n'exhale qu'une odeur de moisi.
L'Obs
La peinture de ce nihilisme finit par annihiler le film lui-même. Du Blier aphone, moins la fantaisie et le "bruit des glaçons".
La Croix
Violent, chaotique et sans autre but que de choquer son auditoire (...) sans réelle structure narrative.
Le Figaroscope
Entre Les Valseuses et Orange mécanique, un exercice de style très poudre aux yeux.
Metro
C'est très mal écrit, à peu près bien filmé mais atrocement surjoué à tel point qu'on se demande vite s'il faut en rire ou en pleurer.
Ouest France
Un déferlement de violence jusqu'à l'écoeurement à partir d'un scénario de n'importe quoi.
Première
CONTRE : (...) une absence embarrassante de discours et de point de vue. (...) Loin de provoquer la réflexion, leur nihilisme facile souffre d'un manque cruel de sincérité, à des années-lumières de la rage humaniste d'un Spike Lee ou de l'anarchisme d'un Blier.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.