Lenny and the Kids (Go Get Some Rosemary) : Critique presse
Lenny and the Kids (Go Get Some Rosemary)
Note moyenne
3,6
16 titres de presse
Chronic'art.com
Critikat.com
Elle
Excessif
L'Humanité
Le Figaroscope
Le Monde
Les Inrockuptibles
Metro
Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Télérama
Libération
Première
L'Express
La Croix
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Contrairement aux apparences (la caméra embarquée sur le pavé, héritière d'une tradition new-yorkaise connue), le cinéma des frères n'est pas tant travaillé par le réel, que par la magie qui, sans cesse, le parasite.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Bélinda Saligot
Avec des bouts de ficelle, les frères Safdie signent un film "made by hand" et racontent avec légèreté et liberté l'histoire d'un père impardonnable, d'enfants turbulents et d'amour sans frontière.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Le spectateur est en empathie avec cet être plus Charlot que Père Fouettard. (...) Un vrai bonheur !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Romain Le Vern
La simplicité du scénario, la caméra au poing, la justesse des interprètes, la poésie du quotidien, les monologues muets (...) confirment qu'il y a quelque chose de plus profond chez les frères Safdie.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Humanité
par Dominique Widemann
Les deux frères Safdie (...) offrent un nouveau cadeau du cinéma indépendant américain plein d'émotion et d'énergie.
Le Figaroscope
par La rédaction
Un charme très années 1970 qui rappelle les films de Cassavetes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
L'action se tend, injectant soudain dans le film une charge émotionnelle intense qui agit comme révélateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
C'est que les Safdie filment comme ils respirent. (...) Pas de plombant cérémonial du plan chez eux, mais plutôt une matière brute qu'il s'agit d'attaquer, par tous les côtés, puis de réordonner (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par La rédaction
Une chronique sensible, filmée caméra à l'épaule.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Quintessence du cinéma indépendant new-yorkais, avec sa caméra participative et ses images au flou mélancolique, le film est porté par un scénario entre émotion rageuse et sincérité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Mais les deux cinéastes ne sont pas seulement " sous influence " : ils racontent, avec une intensité toute personnelle, l'angoisse, la gêne et la joie d'avoir un père cigale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par La rédaction
Minimalisme et charme de la chronique en pointillé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Stéphanie Lamone
Tourné dans la grande tradition du cinéma new-yorkais fauché post-Cassavetes (son pourri, lumière naturelle, caméra à l'épaule lancée à toute berzingue) ce petit film indépendant fait figure d'exception.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Julien Welter
voir www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La frénésie de Lenny (...) épuise vite le spectateur, accablé par l'attitude de cet homme qui se rêve copain de ses fils.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Chronic'art.com
Contrairement aux apparences (la caméra embarquée sur le pavé, héritière d'une tradition new-yorkaise connue), le cinéma des frères n'est pas tant travaillé par le réel, que par la magie qui, sans cesse, le parasite.
Critikat.com
Avec des bouts de ficelle, les frères Safdie signent un film "made by hand" et racontent avec légèreté et liberté l'histoire d'un père impardonnable, d'enfants turbulents et d'amour sans frontière.
Elle
Le spectateur est en empathie avec cet être plus Charlot que Père Fouettard. (...) Un vrai bonheur !
Excessif
La simplicité du scénario, la caméra au poing, la justesse des interprètes, la poésie du quotidien, les monologues muets (...) confirment qu'il y a quelque chose de plus profond chez les frères Safdie.
L'Humanité
Les deux frères Safdie (...) offrent un nouveau cadeau du cinéma indépendant américain plein d'émotion et d'énergie.
Le Figaroscope
Un charme très années 1970 qui rappelle les films de Cassavetes.
Le Monde
L'action se tend, injectant soudain dans le film une charge émotionnelle intense qui agit comme révélateur.
Les Inrockuptibles
C'est que les Safdie filment comme ils respirent. (...) Pas de plombant cérémonial du plan chez eux, mais plutôt une matière brute qu'il s'agit d'attaquer, par tous les côtés, puis de réordonner (...).
Metro
Une chronique sensible, filmée caméra à l'épaule.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Quintessence du cinéma indépendant new-yorkais, avec sa caméra participative et ses images au flou mélancolique, le film est porté par un scénario entre émotion rageuse et sincérité.
Télérama
Mais les deux cinéastes ne sont pas seulement " sous influence " : ils racontent, avec une intensité toute personnelle, l'angoisse, la gêne et la joie d'avoir un père cigale.
Libération
Minimalisme et charme de la chronique en pointillé.
Première
Tourné dans la grande tradition du cinéma new-yorkais fauché post-Cassavetes (son pourri, lumière naturelle, caméra à l'épaule lancée à toute berzingue) ce petit film indépendant fait figure d'exception.
L'Express
voir www.lexpress.fr
La Croix
La frénésie de Lenny (...) épuise vite le spectateur, accablé par l'attitude de cet homme qui se rêve copain de ses fils.