Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par La rédaction
Par-delà son aspect militant, ce documentaire passionnant s'avère aussi très instructif (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dvdrama
par Geoffrey Crété
La démarche de Michael Moore est huilée, presque attendue, et c'est avec les qualités (maîtrise, rigueur) et les défauts (démagogie) qu'on lui connaît qu'il décortique le système économique et politique américain.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
L'Express
par Julien Welter
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par François Forestier
(...) Michael Moore frappe fort, et juste. Son nouveau film, "Capitalism : a love story" est un plaidoyer enflammé contre le règne du fric, la gloutonnerie des banques, l'empire du pognon.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
De moins en moins documentaire, de plus en plus pamphlétaire, mais dans un style chaque fois plus drôle et mordant (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TéléCinéObs
par François Forestier
Michael Moore bastonne, une fois de plus, pour notre plus grand plaisir. Mais cette fois-ci, il s'attaque à la pierre angulaire de la société américaine.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Brazil
par Alexandra Louvet
Moor nous fait une leçon encore un peu démago, certes, sur le système capitaliste, retraçant son histoire, ses origines et le replaçant dans le contexte de chaos actuel où il nous a menés.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Ricard Burton
"Ce film, qui aurait d'avantage mérité un traitement télé en mini-série, aura eu la bonne idée de nous montrer ce qui attend la France et ses quinze ans de retard sur cette Amérique qu'elle admire tant."
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Excessif
par La rédaction
Un désespoir amusé parcourt inconsciemment cette enquête presque banale dans laquelle la caméra rebondit entre le pathos simpliste et l'humour le plus divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Humanité
par Dominique Widemann
L'habileté dialectique de Moore n'omet ni révoltes ni solidarités (...) Michael Moore est un moraliste avisé qui installe mine de rien ses préceptes sous le sarcasme.
La Croix
par Gilles Biassette
Ce nouveau coup de poing du boxeur de Flint n'a pas l'efficacité de ses précédents uppercuts.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si l'on s'est un peu intéressé aux événements financiers de ces derniers mois, la démonstration de Michael Moore n'apporte pas grand-chose de neuf.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
Intelligence, humour, énergie, mais aussi démagogie, mauvaise foi et complaisance, il y a de tout ça dans cette déclaration de guerre à Wall Street (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
on trouve à boire et à manger dans son nouveau film : de la confusion politique, un peu de populisme, de la manipulation, des facilités, mais aussi de l'humour, quelques informations et quelques vérités. (...) on ne s'ennuie pas
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Grégoire Biseau
On ne sait pas s'il faut tenir Moore pour un grand cinéaste, mais il faut lui reconnaître une grammaire filmique unique en son genre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Moins fanfaron mais tout aussi efficace (...) Michael Moore est toujours très (trop?) présent à l'image (...) Le trublion professionnel peut exaspérer.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Jérôme Vermelin
La démonstration fait froid dans le dos (...) ! Elle agace aussi quand l'auteur (...) semble oublier que le simple citoyen, adepte du "Buy now, pay later" (Acheter maintenant, payez plus tard) est d'une certaine façon coresponsable de ses propres malheurs.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
Le propos aurait mérité d'être plus solidement construit et charpenté que ce va-et-vient parfois désordonné dans ses sautes d'humeur.
Positif
par Grégory Valens
Moore semble dépassé par ce qu'il voudrait tirer comme conclusions sur les ravages du capitalisme. (...) Pour autant, le film demeure instructif.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Véronique Le Bris
Moins sensationnaliste que dans ses derniers films, Michael Moore n'a rien perdu de sa verve. Ni de son sens acéré des images fortes (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir sur Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Si son discours (Michael Moore) est iminemment louable, sa méthode, nourrie de révolte, n'a rien d'un modèle de rigueur. Ce qui, au-delà de ses qualités et de son humour, limite la portée de ce nouveau brûlot.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Cécile Mury
un bric-à-brac coloré d'archives, de digressions, de témoignages... et bien sûr, de pures provocations. (...) Et sous ses clochettes de joker, Moore reste un redoutable enquêteur (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Qu'importe les exemples battus au hasard comme des cartes truquées, le penseur à casquette s'achemine en deux heures vers un puissant CQFD : "le capitalisme est mauvais, il faut le remplacer par la démocratie".
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Figaroscope
par La rédaction
Autant Roger et moi ou Bowling for Columbine étaient réussis, autant son nouveau documentaire est confondant d'ennui et complaisamment donneur de leçons.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
20 Minutes
Par-delà son aspect militant, ce documentaire passionnant s'avère aussi très instructif (...).
Dvdrama
La démarche de Michael Moore est huilée, presque attendue, et c'est avec les qualités (maîtrise, rigueur) et les défauts (démagogie) qu'on lui connaît qu'il décortique le système économique et politique américain.
L'Express
www.lexpress.fr
L'Obs
(...) Michael Moore frappe fort, et juste. Son nouveau film, "Capitalism : a love story" est un plaidoyer enflammé contre le règne du fric, la gloutonnerie des banques, l'empire du pognon.
Le Journal du Dimanche
De moins en moins documentaire, de plus en plus pamphlétaire, mais dans un style chaque fois plus drôle et mordant (...)
TéléCinéObs
Michael Moore bastonne, une fois de plus, pour notre plus grand plaisir. Mais cette fois-ci, il s'attaque à la pierre angulaire de la société américaine.
Brazil
Moor nous fait une leçon encore un peu démago, certes, sur le système capitaliste, retraçant son histoire, ses origines et le replaçant dans le contexte de chaos actuel où il nous a menés.
Chronic'art.com
"Ce film, qui aurait d'avantage mérité un traitement télé en mini-série, aura eu la bonne idée de nous montrer ce qui attend la France et ses quinze ans de retard sur cette Amérique qu'elle admire tant."
Excessif
Un désespoir amusé parcourt inconsciemment cette enquête presque banale dans laquelle la caméra rebondit entre le pathos simpliste et l'humour le plus divertissant.
L'Humanité
L'habileté dialectique de Moore n'omet ni révoltes ni solidarités (...) Michael Moore est un moraliste avisé qui installe mine de rien ses préceptes sous le sarcasme.
La Croix
Ce nouveau coup de poing du boxeur de Flint n'a pas l'efficacité de ses précédents uppercuts.
Le Monde
Si l'on s'est un peu intéressé aux événements financiers de ces derniers mois, la démonstration de Michael Moore n'apporte pas grand-chose de neuf.
Le Parisien
Intelligence, humour, énergie, mais aussi démagogie, mauvaise foi et complaisance, il y a de tout ça dans cette déclaration de guerre à Wall Street (...)
Les Inrockuptibles
on trouve à boire et à manger dans son nouveau film : de la confusion politique, un peu de populisme, de la manipulation, des facilités, mais aussi de l'humour, quelques informations et quelques vérités. (...) on ne s'ennuie pas
Libération
On ne sait pas s'il faut tenir Moore pour un grand cinéaste, mais il faut lui reconnaître une grammaire filmique unique en son genre.
Marianne
Moins fanfaron mais tout aussi efficace (...) Michael Moore est toujours très (trop?) présent à l'image (...) Le trublion professionnel peut exaspérer.
Metro
La démonstration fait froid dans le dos (...) ! Elle agace aussi quand l'auteur (...) semble oublier que le simple citoyen, adepte du "Buy now, pay later" (Acheter maintenant, payez plus tard) est d'une certaine façon coresponsable de ses propres malheurs.
Ouest France
Le propos aurait mérité d'être plus solidement construit et charpenté que ce va-et-vient parfois désordonné dans ses sautes d'humeur.
Positif
Moore semble dépassé par ce qu'il voudrait tirer comme conclusions sur les ravages du capitalisme. (...) Pour autant, le film demeure instructif.
Première
Moins sensationnaliste que dans ses derniers films, Michael Moore n'a rien perdu de sa verve. Ni de son sens acéré des images fortes (...).
Studio Ciné Live
Voir sur Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
Si son discours (Michael Moore) est iminemment louable, sa méthode, nourrie de révolte, n'a rien d'un modèle de rigueur. Ce qui, au-delà de ses qualités et de son humour, limite la portée de ce nouveau brûlot.
Télérama
un bric-à-brac coloré d'archives, de digressions, de témoignages... et bien sûr, de pures provocations. (...) Et sous ses clochettes de joker, Moore reste un redoutable enquêteur (...)
Le Point
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Cahiers du Cinéma
Qu'importe les exemples battus au hasard comme des cartes truquées, le penseur à casquette s'achemine en deux heures vers un puissant CQFD : "le capitalisme est mauvais, il faut le remplacer par la démocratie".
Le Figaroscope
Autant Roger et moi ou Bowling for Columbine étaient réussis, autant son nouveau documentaire est confondant d'ennui et complaisamment donneur de leçons.