Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Excessif
par La rédaction
Touchant, poétique et tout à la fois terriblement réaliste, le film parle de la séparation avec une infinie délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Jamais film n'aura habité avec tant de grâce le trait d'union de sa fiche technique, qui le dit "franco-japonais".
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Yann François
C'est cette puérilité réprimée, cette part de caprice à recréer un monde alternatif qui parviennent in fine à hisser le film vers d'autres cimes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Filmsactu
par Caroline Leroy
(...) le film évite les lieux communs et le misérabilisme en dépit de quelques lourdeurs dans sa première partie. Un léger écueil que les deux réalisateurs comblent largement en privilégiant le naturel et en déployant avec grâce un imaginaire poétique qui confère au propos une profondeur et une émotion insoupçonnées.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Entre légèreté d'acteur et désir de mise en scène (...) Tendre et onirique, plein d'une émotion pudique et légère.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Carlos Gomez
un film a fleur de peau, où les douleurs enfantines rejoignent celles des adultes (...) Mias le propos est toujours réparateur
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Yuki et Nina est ainsi une délicate élégie de l'enfance perdue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Dès les premiers plans de Yuki & Nina, on sent que ce film va toucher juste. (...) Girardot et Suwa, par petites touches, par le choix des lieux (les lits, les cuisines, les canapés), grâce aussi à la photo feutrée de Josée Deshaies, réussissent à nous replonger dans cette atmosphère si spécifique et étrange des premiers âges
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
(...) le film est suffisamment silencieux, géographique, donc sensible pour se laisser envahir par les états d'âme de l'enfance nue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
(...) un film mixte, sensible, poétique, audacieux même, qui, épousant strictement le point de vue des enfants, tend à l'universel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Un conte expérimental. (...) il y a de la justesse, de la malice aussi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par La rédaction
Si les actrices sont kawai ("mignonnes" en japonais), le film l'est tout autant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Eric Libiot
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
La caméra à hauteur d'enfant est pour beaucoup dans le charme que dégage le film.
Le Figaroscope
par La rédaction
Un divorce vécu "à hauteur d'enfant", avec justesse et poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir sur Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
(...) Nobuhiro Suwa et Hippolyte Girardot ont su mettre leurs différences (de culture, de sensibilité) au service de leur portrait, impressionniste et juste, d'une enfant face au divorce.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Positif
par Alain Masson
La mise en oeuvre élégante des lieux, les plans contemplatifs qui rappellent le rythme d'Ozu, la tranquilité de la narration ne suffisent pas à cacher ni à compenser la niaiserie de ces dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Excessif
Touchant, poétique et tout à la fois terriblement réaliste, le film parle de la séparation avec une infinie délicatesse.
Cahiers du Cinéma
Jamais film n'aura habité avec tant de grâce le trait d'union de sa fiche technique, qui le dit "franco-japonais".
Chronic'art.com
C'est cette puérilité réprimée, cette part de caprice à recréer un monde alternatif qui parviennent in fine à hisser le film vers d'autres cimes.
Filmsactu
(...) le film évite les lieux communs et le misérabilisme en dépit de quelques lourdeurs dans sa première partie. Un léger écueil que les deux réalisateurs comblent largement en privilégiant le naturel et en déployant avec grâce un imaginaire poétique qui confère au propos une profondeur et une émotion insoupçonnées.
La Croix
Entre légèreté d'acteur et désir de mise en scène (...) Tendre et onirique, plein d'une émotion pudique et légère.
Le Journal du Dimanche
un film a fleur de peau, où les douleurs enfantines rejoignent celles des adultes (...) Mias le propos est toujours réparateur
Le Monde
Yuki et Nina est ainsi une délicate élégie de l'enfance perdue.
Le Point
Voir le site du Point
Les Inrockuptibles
Dès les premiers plans de Yuki & Nina, on sent que ce film va toucher juste. (...) Girardot et Suwa, par petites touches, par le choix des lieux (les lits, les cuisines, les canapés), grâce aussi à la photo feutrée de Josée Deshaies, réussissent à nous replonger dans cette atmosphère si spécifique et étrange des premiers âges
Libération
(...) le film est suffisamment silencieux, géographique, donc sensible pour se laisser envahir par les états d'âme de l'enfance nue.
Première
(...) un film mixte, sensible, poétique, audacieux même, qui, épousant strictement le point de vue des enfants, tend à l'universel.
Télérama
Un conte expérimental. (...) il y a de la justesse, de la malice aussi.
20 Minutes
Si les actrices sont kawai ("mignonnes" en japonais), le film l'est tout autant.
L'Express
www.lexpress.fr
L'Humanité
La caméra à hauteur d'enfant est pour beaucoup dans le charme que dégage le film.
Le Figaroscope
Un divorce vécu "à hauteur d'enfant", avec justesse et poésie.
Studio Ciné Live
Voir sur Studio Ciné Live
TéléCinéObs
(...) Nobuhiro Suwa et Hippolyte Girardot ont su mettre leurs différences (de culture, de sensibilité) au service de leur portrait, impressionniste et juste, d'une enfant face au divorce.
Positif
La mise en oeuvre élégante des lieux, les plans contemplatifs qui rappellent le rythme d'Ozu, la tranquilité de la narration ne suffisent pas à cacher ni à compenser la niaiserie de ces dialogues.