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Dans cet étonnant et ambitieux face-à-face à la mise en scène très appuyée (symbolique de la brume, du labyrinthe), le jeune Julien Frison incarne Simon avec beaucoup de maturité et Jean-Pierre Marielle joue un Abraham plein de tourments et de colère.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Montrer des hommes parlant à Dieu dans son silence reste un pari (...) difficile, que "Rondo" est loin de gagner. Cette belle ambition, qu'il sert sans génie mais sans orgueil aucun, vaut toutefois qu'on lui pardonne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Abraham, a qui Jean-Pierre Marielle donne un impressionnant relief de souffrance et de colère, ne parle qu'avec Dieu. (...) Dans les allers et retours brumeux où le film s'enlise peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Film ultraclassique, " Rondo " vaut néanmoins par son sujet et le jeu prodigieux de Jean-Pierre Marielle, qui parvient à donner une vérité et une vitalité extrême à un personnage un peu artificiel.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Traité de manière un peu académique, mais avec délicatesse, ce tête-à-tête affectif et philosophique entre le vieil homme et l'enfant sonne comme une réponse, douce mais insistante, à toutes les barbaries.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Utilisant la forme musicale du rondo pour structurer ce récit historique, Olivier van Malderghem enferme son film dans une posture déclamatoire, à l'image de l'interprétation de Jean-Pierre Marielle.
La Croix
Dans cet étonnant et ambitieux face-à-face à la mise en scène très appuyée (symbolique de la brume, du labyrinthe), le jeune Julien Frison incarne Simon avec beaucoup de maturité et Jean-Pierre Marielle joue un Abraham plein de tourments et de colère.
Le Figaroscope
Un mélange original mais un peu alambiqué d'histoire, de théologie et de conte symbolique.
Le Monde
Montrer des hommes parlant à Dieu dans son silence reste un pari (...) difficile, que "Rondo" est loin de gagner. Cette belle ambition, qu'il sert sans génie mais sans orgueil aucun, vaut toutefois qu'on lui pardonne.
Le Point
Voir le site du Point.
Marianne
Abraham, a qui Jean-Pierre Marielle donne un impressionnant relief de souffrance et de colère, ne parle qu'avec Dieu. (...) Dans les allers et retours brumeux où le film s'enlise peu à peu.
TéléCinéObs
Film ultraclassique, " Rondo " vaut néanmoins par son sujet et le jeu prodigieux de Jean-Pierre Marielle, qui parvient à donner une vérité et une vitalité extrême à un personnage un peu artificiel.
Télérama
Traité de manière un peu académique, mais avec délicatesse, ce tête-à-tête affectif et philosophique entre le vieil homme et l'enfant sonne comme une réponse, douce mais insistante, à toutes les barbaries.
Les Fiches du Cinéma
Utilisant la forme musicale du rondo pour structurer ce récit historique, Olivier van Malderghem enferme son film dans une posture déclamatoire, à l'image de l'interprétation de Jean-Pierre Marielle.