Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Metro
par Jérôme Vermelin
Loufoque, poétique, désarmante, cette vraie fausse comédie est une pépite indépendante.
La critique complète est disponible sur le site Metro
20 Minutes
par Caroline Vié
Miranda July n'a rien perdu de sa noirceur ni de sa politesse du désespoir. Cette chronique acide se dévore comme une dragée au poivre.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Héléna Villovitch
[Un film] qui agite les grandes questions philosophiques avec un humour léger et irrésistible. [...] On rit, on craque.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ce que le film promeut sans cesse, c'est son " regard d'artiste " (...) Et pourtant, sous le volontarisme du projet (...) perce une inquiétude essentielle.
Excessif
par Romain Le Vern
Un petit film qui évolue, de mieux en mieux, grandissant à vue d'oeil, commençant chétivement par réciter les lieux communs du cinéma indie pour renaître à mi-parcours en fable poignante et désenchantée (...).
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré des dialogues absurdes, le film parvient à émouvoir par son constat social, vrai et cruel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Florence Colombani
Miranda July - qui tient aussi le rôle principal - construit le portrait désenchanté d'une génération flottante, qui a fait de la superficialité un mode de vie et même une esthétique. Raconté par le chat, le film compose un diptyque attachant avec "Beginners" de Mike Mills.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
De ces brèches ouvertes résulte une expérience de la mort, de l'enterrement troublante, portée par une écriture encore un peu fragile mais libre et délicate, qui n'a pas peur de l'expérimentation.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Agnelli
Passée une première demi-heure assez pénible et déjà vue sur l'ultramoderne solitude, le récit bascule dans la science fiction romantique façon "Eternal Susnshine of the Spotless Mind" et gagne en intensité au fur et à mesure que l'histoire d'amour se délite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Ferenczi
C'est gentiment burlesque, à l'image des interventions du félin. (...) C'est souvent plus mystérieux, notamment dès que le film bascule dans l'onirisme. (...) Il y a un ton singulier, une esthétique qui peut faire penser à Michel Gondry (sous anxiolytiques),
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Emmanuel Didier
Un récit lacunaire n'est pas un problème en soi, centrer un film sur l'affect ou les ressentis diffus au détriment de la linéarité narrative est même souvent un gage d'expérience nouvelle et excitante pour le spectateur. Il faut cependant être rigoureux : le lacunaire narratif ne tolère ni la fainéantise ni la pose. Miranda July se vautre à ventre découvert sur ces deux écueils.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Cet éloge du vide filmé par une réalisatrice prometteuse, (...) ne laisse que le souvenir de la vacuité de sa laborieuse entreprise.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Cette variation fantaisiste autour de la vie conjugale finit par s'épuiser dans un discours assez convenu sur les illusions perdues et les rêves avortés qui s'accumulent au cours des années.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Isabelle Régnier
L'imaginaire rikiki du film se traduit par (...) une mise en scène qui renvoie directement à une certaine tendance de l'art contemporain. Si celle-ci peut éventuellement fonctionner dans de courtes vidéos projetées sur un mur blanc, elle prend le risque en revanche, sur un spectateur assis dans une salle obscure pendant une heure et demi, de provoquer une sensation d'indifférence et de colossal ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Fabien Baumann
Miranda July repousse assez loin les limites de la vacuité "arty" avec cette comédie jamais drôle, prétentieuse dans chacune de ses velléités poétiques (la Lune, la mer, la vie...) et d'un infantilisme émotionnel revendiqué.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Metro
Loufoque, poétique, désarmante, cette vraie fausse comédie est une pépite indépendante.
20 Minutes
Miranda July n'a rien perdu de sa noirceur ni de sa politesse du désespoir. Cette chronique acide se dévore comme une dragée au poivre.
Elle
[Un film] qui agite les grandes questions philosophiques avec un humour léger et irrésistible. [...] On rit, on craque.
Cahiers du Cinéma
Ce que le film promeut sans cesse, c'est son " regard d'artiste " (...) Et pourtant, sous le volontarisme du projet (...) perce une inquiétude essentielle.
Excessif
Un petit film qui évolue, de mieux en mieux, grandissant à vue d'oeil, commençant chétivement par réciter les lieux communs du cinéma indie pour renaître à mi-parcours en fable poignante et désenchantée (...).
Le Journal du Dimanche
Malgré des dialogues absurdes, le film parvient à émouvoir par son constat social, vrai et cruel.
Le Point
Miranda July - qui tient aussi le rôle principal - construit le portrait désenchanté d'une génération flottante, qui a fait de la superficialité un mode de vie et même une esthétique. Raconté par le chat, le film compose un diptyque attachant avec "Beginners" de Mike Mills.
Les Inrockuptibles
De ces brèches ouvertes résulte une expérience de la mort, de l'enterrement troublante, portée par une écriture encore un peu fragile mais libre et délicate, qui n'a pas peur de l'expérimentation.
Première
Passée une première demi-heure assez pénible et déjà vue sur l'ultramoderne solitude, le récit bascule dans la science fiction romantique façon "Eternal Susnshine of the Spotless Mind" et gagne en intensité au fur et à mesure que l'histoire d'amour se délite.
Télérama
C'est gentiment burlesque, à l'image des interventions du félin. (...) C'est souvent plus mystérieux, notamment dès que le film bascule dans l'onirisme. (...) Il y a un ton singulier, une esthétique qui peut faire penser à Michel Gondry (sous anxiolytiques),
Critikat.com
Un récit lacunaire n'est pas un problème en soi, centrer un film sur l'affect ou les ressentis diffus au détriment de la linéarité narrative est même souvent un gage d'expérience nouvelle et excitante pour le spectateur. Il faut cependant être rigoureux : le lacunaire narratif ne tolère ni la fainéantise ni la pose. Miranda July se vautre à ventre découvert sur ces deux écueils.
La Croix
Cet éloge du vide filmé par une réalisatrice prometteuse, (...) ne laisse que le souvenir de la vacuité de sa laborieuse entreprise.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Cette variation fantaisiste autour de la vie conjugale finit par s'épuiser dans un discours assez convenu sur les illusions perdues et les rêves avortés qui s'accumulent au cours des années.
Le Monde
L'imaginaire rikiki du film se traduit par (...) une mise en scène qui renvoie directement à une certaine tendance de l'art contemporain. Si celle-ci peut éventuellement fonctionner dans de courtes vidéos projetées sur un mur blanc, elle prend le risque en revanche, sur un spectateur assis dans une salle obscure pendant une heure et demi, de provoquer une sensation d'indifférence et de colossal ennui.
Positif
Miranda July repousse assez loin les limites de la vacuité "arty" avec cette comédie jamais drôle, prétentieuse dans chacune de ses velléités poétiques (la Lune, la mer, la vie...) et d'un infantilisme émotionnel revendiqué.