Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Brazil
par Alexandra Louvet
Voilà un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Excessif
par Romain Le Vern
Todd Solondz renoue avec les monstres ordinaires de Happiness, son meilleur film, dans une suite cruelle, drôle et désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Positif
par Nicolas Bauche
Toute la beauté de Life During Wartime tient dans la révélation de cette humanité déliquescente et qui, en outre, se vit comme telle.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par Caroline Vié
Sa vision sans concession du monde moderne dans lequel se débattent des êtres fragiles témoigne d'une lucidité féroce (...) Ce bonheur de causticité et d'insolence dérange parce qu'il renvoie impitoyablement le spectateur à ses propres faiblesses .
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) c'est une atmosphère pesante et limite asphyxiante qui exsude de chaque plan. Mais occasionne, aussi, des scènes hilarantes (...) par des comédiens aussi tordus que brillants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Bruno Icher
Pour le cinéaste, tout semble en effet être une affaire de masque, et il n'aime rien tant que de capturer ses personnages dans l'intervalle minuscule qui sépare leur monde intérieur puissamment névrotique de la façade socialement acceptable qu'ils se sont construits.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par La rédaction
C'est encore plus noir, plus désespéré aussi... Attention au coup de blues.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Succession de vignettes-chocs (auxquelles il manque peut-être une véritable unité), le film est une sorte de sitcom empoisonnée. Toutefois, si le cinéaste n'a rien perdu de son redoutable sens de l'observation, le ton a changé : moins provoc, plus désespéré. Le 11-Septembre est passé par là. Internet aussi. Et l'Amérique selon Solondz marche plus que jamais sur la tête.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
(...) La haine a disparu. Ne subsiste, ici, qu'un rire plus désespéré que cynique (...). Voire, parfois, de vrais moments d'émotion
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) Life during Wartime n'a toujours rien d'une promenade légère, mais confirme le talent de Todd Solondz (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Colette Monsat, Hugo de Saint-Phalle
Une chronique familiale grinçante et stylisée, comme en a déjà signé Todd Solondz. La vie quotidienne américaine peut être ennuyeuse et répétitive.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Gérard Delorme
Life During Wartime est l'un des meilleurs films de Solondz, qui a mis une sourdine à la rage sarcastique qui avait tendance à se retourner contre ses personnages, les privant de leur crédibilité et parfois de leur dignité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Solondz maintient dans le cadre du cinéma américain sa place de cinéaste inégal mais vital.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Solondz n'a rien perdu de son talent, mais il n'en a pas gagné le moindre gramme en plus de dix ans.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Julien Marsa
Considéré comme l'enfant terrible du cinéma indépendant américain, Todd Solondz n'en finit plus d'ausculter les travers de la middle-class au pays de l'oncle Sam. Surfant sur les registres de l'hypocrisie et des espoirs déchus, il livre un film à la mécanique proprette, donnant ainsi la désagréable impression de tourner en rond.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Julien Welter
voir le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par La rédaction
Tout est à l'avenant dans cette satire où les extrêmes se catapultent en permanence, qui ne convaincra que les forcenés de la dérision systématique des tabous et des non-dits.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) quasiment tous les pantins qui s'y agitent n'ont aucune épaisseur. Ils ne semblent pas avoir d'existence propre et restent posés comme des allégories du ridicule, de la médiocrité, de la bêtise, de la suffisance, etc.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Brazil
Voilà un grand film.
Excessif
Todd Solondz renoue avec les monstres ordinaires de Happiness, son meilleur film, dans une suite cruelle, drôle et désespérée.
Positif
Toute la beauté de Life During Wartime tient dans la révélation de cette humanité déliquescente et qui, en outre, se vit comme telle.
20 Minutes
Sa vision sans concession du monde moderne dans lequel se débattent des êtres fragiles témoigne d'une lucidité féroce (...) Ce bonheur de causticité et d'insolence dérange parce qu'il renvoie impitoyablement le spectateur à ses propres faiblesses .
Le Journal du Dimanche
(...) c'est une atmosphère pesante et limite asphyxiante qui exsude de chaque plan. Mais occasionne, aussi, des scènes hilarantes (...) par des comédiens aussi tordus que brillants.
Libération
Pour le cinéaste, tout semble en effet être une affaire de masque, et il n'aime rien tant que de capturer ses personnages dans l'intervalle minuscule qui sépare leur monde intérieur puissamment névrotique de la façade socialement acceptable qu'ils se sont construits.
Metro
C'est encore plus noir, plus désespéré aussi... Attention au coup de blues.
TéléCinéObs
Succession de vignettes-chocs (auxquelles il manque peut-être une véritable unité), le film est une sorte de sitcom empoisonnée. Toutefois, si le cinéaste n'a rien perdu de son redoutable sens de l'observation, le ton a changé : moins provoc, plus désespéré. Le 11-Septembre est passé par là. Internet aussi. Et l'Amérique selon Solondz marche plus que jamais sur la tête.
Télérama
(...) La haine a disparu. Ne subsiste, ici, qu'un rire plus désespéré que cynique (...). Voire, parfois, de vrais moments d'émotion
La Croix
(...) Life during Wartime n'a toujours rien d'une promenade légère, mais confirme le talent de Todd Solondz (...).
Le Figaroscope
Une chronique familiale grinçante et stylisée, comme en a déjà signé Todd Solondz. La vie quotidienne américaine peut être ennuyeuse et répétitive.
Le Point
voir Le Point.fr
Première
Life During Wartime est l'un des meilleurs films de Solondz, qui a mis une sourdine à la rage sarcastique qui avait tendance à se retourner contre ses personnages, les privant de leur crédibilité et parfois de leur dignité.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Solondz maintient dans le cadre du cinéma américain sa place de cinéaste inégal mais vital.
Chronic'art.com
Solondz n'a rien perdu de son talent, mais il n'en a pas gagné le moindre gramme en plus de dix ans.
Critikat.com
Considéré comme l'enfant terrible du cinéma indépendant américain, Todd Solondz n'en finit plus d'ausculter les travers de la middle-class au pays de l'oncle Sam. Surfant sur les registres de l'hypocrisie et des espoirs déchus, il livre un film à la mécanique proprette, donnant ainsi la désagréable impression de tourner en rond.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
L'Humanité
Tout est à l'avenant dans cette satire où les extrêmes se catapultent en permanence, qui ne convaincra que les forcenés de la dérision systématique des tabous et des non-dits.
Les Inrockuptibles
(...) quasiment tous les pantins qui s'y agitent n'ont aucune épaisseur. Ils ne semblent pas avoir d'existence propre et restent posés comme des allégories du ridicule, de la médiocrité, de la bêtise, de la suffisance, etc.