Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Dvdrama
par Romain Le Vern
Après la réussite de Peindre ou faire l'amour et l'échec du Voyage aux Pyrénées, les frères Larrieu reviennent avec un film apocalyptique et romantique qui n'a peur de rien.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
Elle
par Florence Ben Sadoun
(...) L'histoire d'un homme qui bascule (...) par amour fou (...) d'une femme aussi étrange que l'est ce beau film. Une oeuvre qu'on ressent comme l'écroulement d'un amour, et c'est le monde entier qui s'effondre sous vos pieds.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...)un de ces rares films qui vous travaillent pendant des semaines. (...) les frères Larrieu (...) ne pinaillent pas (...) Ils semblent avoir tout mis dans ce film, tout donné.(...) C'est à cette morale, à la fois modeste et orgueilleuse que l'on reconnaît les films qui comptent vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gaël Golhen
(...) un film déroutant que certains trouveront, au premier degré, trop long, inégal (...) Pourtant, armé d'un second degré aiguisé, le film devient un chef-d'oeuvre tragi-comico-romantique sensuel et délirant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Tenir les deux de front, cadrer l'exode des populations comme un départ en vacances un peu chaotique, mais montrer aussi la mort au travail (les corps décomposés), c'est le pari que tient le film de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) les frères Larrieu signent une fable apocalyptique étrange, osée et pleine de symboles (...)
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Filmsactu
par Yann Rutledge
On entre dans la salle moqueur et certain de la franchouillardise de l'entreprise ; on en ressort estomaqué par son universalité.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ici pas de grandes tirades ni de psychologie, juste des faits qui s'accélèrent dans un engrenage d'urgences et d'indiférences. La mise en scène est vivifiée par les situations iréelles et décalées d'une apocalypse tournée avec le moyens du bord.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(...) le film est une proposition d'évasion dans un récit plus métaphysique et sensoriel que romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
Si le film laisse une impression curieuse, c'est peut-être parce qu'il fait l'économie de la question politique. (...) Les cinéastes, en ne précisant pas quel type d'adversité est à l'oeuvre, recouvrent l'action et les personnages du voile de l'irresponsabilité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
(...) un road-movie existentiel décapant (...) Si, avant le grand boum, il ne vous restait que deux heures dix à vivre, vous ne les perdriez pas en allant voir ce film cataclysmique, plus épidermique que cérébral (...)
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio CinéLive.
TéléCinéObs
par La rédaction
Comédie du remariage, tragédie contemporaine, retour au primitif (...), "les Derniers Jours du monde" sont tout ça à la fois. (...) La chronologie est bordélique; l`ambition du film, manifeste. Il est d`ailleurs à classer parmi les meilleurs des Larrieu.
Télérama
par Jacques Morice
(Pour) Cette fin du monde décuple le désir. C'est l'idée forte du film, réussi parce que justement très excitant. (...) Autant dire que le road-movie regorge de péripéties, où la fantaisie n'exclue pas l'émotion profonde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ce road-movie de l'apocalypse se déguste comme une fable joyeusement débridée. Les acteurs (...) se lâchent sans retenue. Malgré quelques longueurs et un contexte assez invraissemblabe, on les accompagne volontiers.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
(...) une poignée de comédiens chevronnés entraînés dans une singulière odyssée, brindezingue et gentiment lubrique.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Chronic'art.com
par Pascale Bodet
Faute d'avoir raréfié leurs effets (...), les Larrieu n'ont pas réussi à faire de leur chaos sans jugement dernier un film de fin du monde avec apocalypse, donc avec révélation.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Avec des réussites (...) mais beaucoup de trous: personnages mal dessinés, clichés à la pelle, une progression qui se défait dans le n'importe quoi à mesure que ce (trop long) métrage se dévide.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Express
par Eric Libiot
Séduisant au début, intrigant ensuite, lassant enfin et n'importe quoi en bout de course.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Les frères Larrieu ratent cette fois le cocktail si singulier d'érotisme, d'humour et d'absurde dont ils sont habituellement les virtuoses. Même Mathieu Amalric ne parvient pas à sauver le film du grotesque.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Nicolas Bauche
Les Derniers jours du monde est une hybridation ratée de film catastrophe et d'érotisme, deux genres que les réalisateurs ne semblent guère maîtriser.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Pierre Murat
(Contre) 2h10 d'ennui et de maladresse. Car on ne croit à rien : ni au danger qui menace ni à ceux qui sont censés l'éprouver. Ça se voudrait philosophique et burlesque, ce n'est que ridicule et prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dvdrama
Après la réussite de Peindre ou faire l'amour et l'échec du Voyage aux Pyrénées, les frères Larrieu reviennent avec un film apocalyptique et romantique qui n'a peur de rien.
Elle
(...) L'histoire d'un homme qui bascule (...) par amour fou (...) d'une femme aussi étrange que l'est ce beau film. Une oeuvre qu'on ressent comme l'écroulement d'un amour, et c'est le monde entier qui s'effondre sous vos pieds.
Les Inrockuptibles
(...)un de ces rares films qui vous travaillent pendant des semaines. (...) les frères Larrieu (...) ne pinaillent pas (...) Ils semblent avoir tout mis dans ce film, tout donné.(...) C'est à cette morale, à la fois modeste et orgueilleuse que l'on reconnaît les films qui comptent vraiment.
Première
(...) un film déroutant que certains trouveront, au premier degré, trop long, inégal (...) Pourtant, armé d'un second degré aiguisé, le film devient un chef-d'oeuvre tragi-comico-romantique sensuel et délirant.
Cahiers du Cinéma
Tenir les deux de front, cadrer l'exode des populations comme un départ en vacances un peu chaotique, mais montrer aussi la mort au travail (les corps décomposés), c'est le pari que tient le film de bout en bout.
Charlie Hebdo
(...) les frères Larrieu signent une fable apocalyptique étrange, osée et pleine de symboles (...)
Filmsactu
On entre dans la salle moqueur et certain de la franchouillardise de l'entreprise ; on en ressort estomaqué par son universalité.
Le Journal du Dimanche
Ici pas de grandes tirades ni de psychologie, juste des faits qui s'accélèrent dans un engrenage d'urgences et d'indiférences. La mise en scène est vivifiée par les situations iréelles et décalées d'une apocalypse tournée avec le moyens du bord.
Le Monde
(...) le film est une proposition d'évasion dans un récit plus métaphysique et sensoriel que romanesque.
Libération
Si le film laisse une impression curieuse, c'est peut-être parce qu'il fait l'économie de la question politique. (...) Les cinéastes, en ne précisant pas quel type d'adversité est à l'oeuvre, recouvrent l'action et les personnages du voile de l'irresponsabilité.
Paris Match
(...) un road-movie existentiel décapant (...) Si, avant le grand boum, il ne vous restait que deux heures dix à vivre, vous ne les perdriez pas en allant voir ce film cataclysmique, plus épidermique que cérébral (...)
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio CinéLive.
TéléCinéObs
Comédie du remariage, tragédie contemporaine, retour au primitif (...), "les Derniers Jours du monde" sont tout ça à la fois. (...) La chronologie est bordélique; l`ambition du film, manifeste. Il est d`ailleurs à classer parmi les meilleurs des Larrieu.
Télérama
(Pour) Cette fin du monde décuple le désir. C'est l'idée forte du film, réussi parce que justement très excitant. (...) Autant dire que le road-movie regorge de péripéties, où la fantaisie n'exclue pas l'émotion profonde.
Le Parisien
Ce road-movie de l'apocalypse se déguste comme une fable joyeusement débridée. Les acteurs (...) se lâchent sans retenue. Malgré quelques longueurs et un contexte assez invraissemblabe, on les accompagne volontiers.
Télé 7 Jours
(...) une poignée de comédiens chevronnés entraînés dans une singulière odyssée, brindezingue et gentiment lubrique.
Chronic'art.com
Faute d'avoir raréfié leurs effets (...), les Larrieu n'ont pas réussi à faire de leur chaos sans jugement dernier un film de fin du monde avec apocalypse, donc avec révélation.
L'Ecran Fantastique
Avec des réussites (...) mais beaucoup de trous: personnages mal dessinés, clichés à la pelle, une progression qui se défait dans le n'importe quoi à mesure que ce (trop long) métrage se dévide.
L'Express
Séduisant au début, intrigant ensuite, lassant enfin et n'importe quoi en bout de course.
La Croix
Les frères Larrieu ratent cette fois le cocktail si singulier d'érotisme, d'humour et d'absurde dont ils sont habituellement les virtuoses. Même Mathieu Amalric ne parvient pas à sauver le film du grotesque.
Positif
Les Derniers jours du monde est une hybridation ratée de film catastrophe et d'érotisme, deux genres que les réalisateurs ne semblent guère maîtriser.
Télérama
(Contre) 2h10 d'ennui et de maladresse. Car on ne croit à rien : ni au danger qui menace ni à ceux qui sont censés l'éprouver. Ça se voudrait philosophique et burlesque, ce n'est que ridicule et prétentieux.