Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
La réussite du premier long métrage d'Eva Ionesco dépasse de beaucoup celle du réquisitoire accablant qu'elle paraît.
Elle
par Anne Diatkine
Eva Ionesco raconte son histoire à la manière d'un conte. Pas de vindicte, et le film n'en est que plus palpitant.(...) Isabelle Huppert, exceptionnelle de douceur maléfique et de fausse inconscience.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un conte à la fois féerique et trivial.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
De ces images sulfureuses, Eva Ionesco ne s'est jamais remise, mais elle a réussi à filmer avec assez de distance et de pudeur son parcours douloureux pour en tirer un conte horrifique, poignant et terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sans être un film d'époque, "My Little Princess" évoque avec finesse ce moment de vertige et l'incarne dans une étrange figure de femme, filmée sans haine et sans pitié. Dans ce portrait d'époque, la réalisatrice est servie par une galerie de seconds rôles masculins dans laquelle les personnages que jouent Denis Lavant, Louis-Do de Lencquesaing ou Pascal Bongard font assaut de veulerie et d'hypocrisie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
Dérangeant sans sombrer dans le scabreux, "My Little Princess" décrit une relation mère-fille monstrueusement dénaturée et la révolte de la jolie poupée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Et "My Little Princess", la première réalisation d'Eva Ionesco, est-il un film pour dire du mal de sa mère ? Ce n'est pas exclu, c'est même plutôt probable. Mais la réussite du film est de ne pas en rester là.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Est-ce parce qu'il est regardé comme une fiction que ce film arrive à tenir une gymnastique a priori impossible : tout dire, mais sans accabler totalement. Aller jusqu'à montrer et démonter l'insoutenable manipulation tout en faisant part, aussi, de ce qu'il y avait du parfum vénéneux d'une époque dans cette aventure à deux (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Jennifer Lesieur
(...) La franchise brutale de son propos, le théâtre macabre qui se joue dans l'atelier d'Hannah et l'incroyable jeune actrice Anamaria Vartolomei, à qui l'on souhaite des rôles plus apaisés, forcent le respect.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Karelle Fitoussi
(...) Eva Ionesco en a fait un premier long-métrage enragé et hanté. Mais surtout une lettre d'amour déçu à cette mère avec qui elle ne communique plus désormais que par avocats interposés.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Eva Ionesco filme (très bien) l'artiste au travail en se gardant de tout voyeurisme. Réussissant à montrer la névrose maternelle à l'oeuvre tout en préservant au maximum l'intégrité physique de son héroïne qu'elle ne nous montre jamais nue sauf lorsqu'il s'agit d'exposer ses souffrances.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
(....) Oeuvre maladroite dans sa sincérité (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Eric Libiot
La distance est la bonne, la cinéaste ne cherchant pas la posture morale mais plutôt le cri de rage (de sa part). Cela dit, si l'on s'en tient au strict récit, le film tourne en rond au bout d'une heure, se répète, se relâche, enfonce et renfonce le clou. Et la mise en scène manque de tenue. Énervant et captivant, donc.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"My little princess" (...) commence par bafouiller avant de trouver peu à peu sa raison d'être et son rythme, emporté par l'ouragan Huppert.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Porté par l'inclassable Isabelle Huppert, à laquelle la jeune Anamaria Vartolomei fait face avec beaucoup d'aplomb, "My Little Princess" propose une réflexion sur ce que l'on peut faire - ou ce qu'on a pu faire - au nom de l'art.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
"My Little Princess" est à l'image de son auteure : sur le fil d'une enfance à la fois prodigieuse et pathétique, excentrique et cruelle. (...) Une fiction convaincante et tantôt drôle. L'histoire n'en reste pas moins terriblement bourbeuse, douloureuse et accusatrice.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Ariane Allard
Choisissant de répondre aux images maternelles par ses propres images (vénéneuses mais jamais glauques, elles), la réalisatrice opte avec finesse pour le conte cruel.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Thomas Agnelli
Ce qui touche, c'est la détresse réelle de cette poupée brisée (...) Dommage qu'une tendance vindicative au règlement de comptes psy entache partiellement ce premier film, qui donne au passage à mesurer le décalage entre ce qui était toléré hier sous prétexte d'art ( la pédopornograophie) et ce qui ne l'est plus du tout aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Cécile Mury
Son premier film fait l'inventaire des dommages. (...) Interprétée par une époustouflante inconnue, Anamaria Vartolomei, la gamine innocente se métamorphose sous nos yeux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Emmanuel Didier
Au moins, le film a-t-il su capter – par intermittence et grâce au jeu fin de la jeune actrice - l'ingénuité de l'enfance derrière les oripeaux glam. Ce n'est pas rien mais c'est à peu près tout.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ouest France
par La rédaction
Malaise garanti.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Cahiers du Cinéma
La réussite du premier long métrage d'Eva Ionesco dépasse de beaucoup celle du réquisitoire accablant qu'elle paraît.
Elle
Eva Ionesco raconte son histoire à la manière d'un conte. Pas de vindicte, et le film n'en est que plus palpitant.(...) Isabelle Huppert, exceptionnelle de douceur maléfique et de fausse inconscience.
L'Humanité
Un conte à la fois féerique et trivial.
Le Figaroscope
De ces images sulfureuses, Eva Ionesco ne s'est jamais remise, mais elle a réussi à filmer avec assez de distance et de pudeur son parcours douloureux pour en tirer un conte horrifique, poignant et terrifiant.
Le Monde
Sans être un film d'époque, "My Little Princess" évoque avec finesse ce moment de vertige et l'incarne dans une étrange figure de femme, filmée sans haine et sans pitié. Dans ce portrait d'époque, la réalisatrice est servie par une galerie de seconds rôles masculins dans laquelle les personnages que jouent Denis Lavant, Louis-Do de Lencquesaing ou Pascal Bongard font assaut de veulerie et d'hypocrisie.
Le Parisien
Dérangeant sans sombrer dans le scabreux, "My Little Princess" décrit une relation mère-fille monstrueusement dénaturée et la révolte de la jolie poupée.
Le Point
voir lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Et "My Little Princess", la première réalisation d'Eva Ionesco, est-il un film pour dire du mal de sa mère ? Ce n'est pas exclu, c'est même plutôt probable. Mais la réussite du film est de ne pas en rester là.
Libération
Est-ce parce qu'il est regardé comme une fiction que ce film arrive à tenir une gymnastique a priori impossible : tout dire, mais sans accabler totalement. Aller jusqu'à montrer et démonter l'insoutenable manipulation tout en faisant part, aussi, de ce qu'il y avait du parfum vénéneux d'une époque dans cette aventure à deux (...).
Metro
(...) La franchise brutale de son propos, le théâtre macabre qui se joue dans l'atelier d'Hannah et l'incroyable jeune actrice Anamaria Vartolomei, à qui l'on souhaite des rôles plus apaisés, forcent le respect.
Paris Match
(...) Eva Ionesco en a fait un premier long-métrage enragé et hanté. Mais surtout une lettre d'amour déçu à cette mère avec qui elle ne communique plus désormais que par avocats interposés.
TéléCinéObs
Eva Ionesco filme (très bien) l'artiste au travail en se gardant de tout voyeurisme. Réussissant à montrer la névrose maternelle à l'oeuvre tout en préservant au maximum l'intégrité physique de son héroïne qu'elle ne nous montre jamais nue sauf lorsqu'il s'agit d'exposer ses souffrances.
20 Minutes
(....) Oeuvre maladroite dans sa sincérité (...).
L'Express
La distance est la bonne, la cinéaste ne cherchant pas la posture morale mais plutôt le cri de rage (de sa part). Cela dit, si l'on s'en tient au strict récit, le film tourne en rond au bout d'une heure, se répète, se relâche, enfonce et renfonce le clou. Et la mise en scène manque de tenue. Énervant et captivant, donc.
L'Obs
"My little princess" (...) commence par bafouiller avant de trouver peu à peu sa raison d'être et son rythme, emporté par l'ouragan Huppert.
La Croix
Porté par l'inclassable Isabelle Huppert, à laquelle la jeune Anamaria Vartolomei fait face avec beaucoup d'aplomb, "My Little Princess" propose une réflexion sur ce que l'on peut faire - ou ce qu'on a pu faire - au nom de l'art.
Le Journal du Dimanche
"My Little Princess" est à l'image de son auteure : sur le fil d'une enfance à la fois prodigieuse et pathétique, excentrique et cruelle. (...) Une fiction convaincante et tantôt drôle. L'histoire n'en reste pas moins terriblement bourbeuse, douloureuse et accusatrice.
Positif
Choisissant de répondre aux images maternelles par ses propres images (vénéneuses mais jamais glauques, elles), la réalisatrice opte avec finesse pour le conte cruel.
Première
Ce qui touche, c'est la détresse réelle de cette poupée brisée (...) Dommage qu'une tendance vindicative au règlement de comptes psy entache partiellement ce premier film, qui donne au passage à mesurer le décalage entre ce qui était toléré hier sous prétexte d'art ( la pédopornograophie) et ce qui ne l'est plus du tout aujourd'hui.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
Son premier film fait l'inventaire des dommages. (...) Interprétée par une époustouflante inconnue, Anamaria Vartolomei, la gamine innocente se métamorphose sous nos yeux.
Critikat.com
Au moins, le film a-t-il su capter – par intermittence et grâce au jeu fin de la jeune actrice - l'ingénuité de l'enfance derrière les oripeaux glam. Ce n'est pas rien mais c'est à peu près tout.
Ouest France
Malaise garanti.