Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans : Critique presse
Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans
Note moyenne
3,5
24 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
Filmsactu
Impact
Le Parisien
20 Minutes
Critikat.com
L'Express
Le Figaroscope
Le Monde
Les Inrockuptibles
Ouest France
Première
Studio Ciné Live
Excessif
La Croix
Le Journal du Dimanche
Positif
Télérama
Brazil
L'Obs
L'Humanité
Libération
TéléCinéObs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Surgi de nulle part, ignorant royalement sa lourde ascendance, confié à un cinéaste revenu au sommet (...), ce Bad Lieutenant version 2010 saisit d'abord par sa beauté détachée et sans âge.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Grizzly man amorçait un retour au sommet de pervers Werner, Bad lieutenant le certifie en tous points : le dangereux routard des seventies est en pleine bourre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Filmsactu
par Elodie Leroy
Entre polar ultra-violent et satire surréaliste, cette nouvelle version sous coke de Bad Lieutenant permet aussi de retrouver Nicolas Cage tel qu'on l'aimait dans les années 90, à savoir imprévisible et barré mais aussi touchant à ses heures. Une curiosité à découvrir absolument.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Impact
par Gilles Esposito
(...) comment un projet d'allure extravagante se révèle être le premier chef-d'oeuvre de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Impact
Le Parisien
par Hubert Lizé
Il y a longtemps qu'on n'avait pas vu Nicolas Cage aussi convaincant. Hurlant de douleur ou parfaitement allumé, l'acteur américain livre une interprétation baroque assez sidérante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Les âmes sensibles et les amoureux d'un cinéma sage ne passeront pas par ce polar excessif et fascinant sis dans La Nouvelle-Orléans de l'après-Katrina. Ceux qui oseront pénétrer dans son univers s'offriront des moments de francs délires et de vrais frissons.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Camille Pollas
Une puissance plutôt rare, particulièrement dans les machines hollywoodiennes, mais très fidèle aux visions herzogiennes, et qui est aussi la limite du film si l'on n'en garde que les causes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Julien Welter
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par La rédaction
Un thriller bien mené. Werner Herzog réussit son examen de passage en série B.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Bad Lieutenant : escale à La Nouvelle-Orléans serait un peu à l'Amérique d'aujourd'hui ce que Nosferatu fut à la République de Weimar.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
La coquille vide annoncée est en fait riche et trouve son identité. Ce qui intéresse Herzog est de filmer La Nouvelle-Orléans livrée à la nature, à l'état sauvage (...) Herzog convoque la partie reptilienne, primitive, du cerveau pour dépeindre, hors regard documentaire, une ville désolée et lâchée à tous les appétits et instincts.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
On est en permanence sur la frontière du politiquement correct pour goûter les libertés d'une histoire bien fracassée.
Première
par Mathieu Carratier
Bad Lieutenant s'adresse évidemment à un public averti. Si vous vous sentez concernés, le film procure un tel plaisir coupable que ça en devient limite indécent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Cinelive
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Excessif
par Romain Le Vern
Rien à voir avec le film de Abel Ferrara, mais aussi dérangé et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Arnaud Schwartz
Nicolas Cage (...) Le voilà de retour, instable et parfaitement inquiétant, sous l'oeil du légendaire Werner Herzog (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Werner Herzog signe un polar noir et halluciné très loin de celui d'Abel Ferrara.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Fabien Baumann
Bad Lieutenant offre alors de grands moments comiques (...) au gré des numéros de ses comédiens, dont un Nicolas Cage saisi de folie. La limite du projet ? Le nihilisme ricanant de Bad Lieutenant se retourne à force contre son récit (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Samuel Douhaire
Entre deux scènes d'enquête, tournées avec indolence, [le réalisateur] réussit quelques visions hallucinées dont il a le secret.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Hervé Deplasse
Dès qu'il s'agit d'entrer dans l'histoire et la trame du film, tout part en sucette aussi vite qu'un mauvais trip et Herzog démontre qu'à force de peu tourner ou le minimum requis par le synopsis, il reste peu de matière au montage pour éviter le désastre.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
L'Obs
par François Forestier
Avec son remake mou de " Bad Lieutenant : escale à La Nouvelle-Orléans ", il continue dans la veine hallucinée et pose à l'Artiste Inspiré (...) C'est un pantouflard de l'aventure.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le flic ripou, pervers et drogué incarné par un Nicolas Cage, de plus en plus risible, n'a pas la fièvre de l'original incarné par Keitel. Herzog se contente de filmer le script en y ajoutant quelques reptiles.
Libération
par Didier Péron
Le film de Ferrara est un chef-d'oeuvre, celui de Herzog est une bouffonnerie fatigante (2h heures!!) justifiée par rien sinon les avantages fiscaux octroyés pour des tournages post-Katrina.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par François Forestier
(...) un polar sans intérêt, sur les traces d'un flic ripoux (...) images déformées, couleurs retouchées, scènes imbéciles. Sans son habituel attirail de globe-trotter, Herzog apparaît pour ce qu'il est : un cinéaste médiocre, tâcheron appliqué à la préservation de son mythe de cinéaste plus ou moins maudit.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Surgi de nulle part, ignorant royalement sa lourde ascendance, confié à un cinéaste revenu au sommet (...), ce Bad Lieutenant version 2010 saisit d'abord par sa beauté détachée et sans âge.
Chronic'art.com
Grizzly man amorçait un retour au sommet de pervers Werner, Bad lieutenant le certifie en tous points : le dangereux routard des seventies est en pleine bourre.
Filmsactu
Entre polar ultra-violent et satire surréaliste, cette nouvelle version sous coke de Bad Lieutenant permet aussi de retrouver Nicolas Cage tel qu'on l'aimait dans les années 90, à savoir imprévisible et barré mais aussi touchant à ses heures. Une curiosité à découvrir absolument.
Impact
(...) comment un projet d'allure extravagante se révèle être le premier chef-d'oeuvre de l'année.
Le Parisien
Il y a longtemps qu'on n'avait pas vu Nicolas Cage aussi convaincant. Hurlant de douleur ou parfaitement allumé, l'acteur américain livre une interprétation baroque assez sidérante.
20 Minutes
Les âmes sensibles et les amoureux d'un cinéma sage ne passeront pas par ce polar excessif et fascinant sis dans La Nouvelle-Orléans de l'après-Katrina. Ceux qui oseront pénétrer dans son univers s'offriront des moments de francs délires et de vrais frissons.
Critikat.com
Une puissance plutôt rare, particulièrement dans les machines hollywoodiennes, mais très fidèle aux visions herzogiennes, et qui est aussi la limite du film si l'on n'en garde que les causes.
L'Express
www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Un thriller bien mené. Werner Herzog réussit son examen de passage en série B.
Le Monde
Bad Lieutenant : escale à La Nouvelle-Orléans serait un peu à l'Amérique d'aujourd'hui ce que Nosferatu fut à la République de Weimar.
Les Inrockuptibles
La coquille vide annoncée est en fait riche et trouve son identité. Ce qui intéresse Herzog est de filmer La Nouvelle-Orléans livrée à la nature, à l'état sauvage (...) Herzog convoque la partie reptilienne, primitive, du cerveau pour dépeindre, hors regard documentaire, une ville désolée et lâchée à tous les appétits et instincts.
Ouest France
On est en permanence sur la frontière du politiquement correct pour goûter les libertés d'une histoire bien fracassée.
Première
Bad Lieutenant s'adresse évidemment à un public averti. Si vous vous sentez concernés, le film procure un tel plaisir coupable que ça en devient limite indécent.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Cinelive
Excessif
Rien à voir avec le film de Abel Ferrara, mais aussi dérangé et dérangeant.
La Croix
Nicolas Cage (...) Le voilà de retour, instable et parfaitement inquiétant, sous l'oeil du légendaire Werner Herzog (...).
Le Journal du Dimanche
Werner Herzog signe un polar noir et halluciné très loin de celui d'Abel Ferrara.
Positif
Bad Lieutenant offre alors de grands moments comiques (...) au gré des numéros de ses comédiens, dont un Nicolas Cage saisi de folie. La limite du projet ? Le nihilisme ricanant de Bad Lieutenant se retourne à force contre son récit (...).
Télérama
Entre deux scènes d'enquête, tournées avec indolence, [le réalisateur] réussit quelques visions hallucinées dont il a le secret.
Brazil
Dès qu'il s'agit d'entrer dans l'histoire et la trame du film, tout part en sucette aussi vite qu'un mauvais trip et Herzog démontre qu'à force de peu tourner ou le minimum requis par le synopsis, il reste peu de matière au montage pour éviter le désastre.
L'Obs
Avec son remake mou de " Bad Lieutenant : escale à La Nouvelle-Orléans ", il continue dans la veine hallucinée et pose à l'Artiste Inspiré (...) C'est un pantouflard de l'aventure.
L'Humanité
Le flic ripou, pervers et drogué incarné par un Nicolas Cage, de plus en plus risible, n'a pas la fièvre de l'original incarné par Keitel. Herzog se contente de filmer le script en y ajoutant quelques reptiles.
Libération
Le film de Ferrara est un chef-d'oeuvre, celui de Herzog est une bouffonnerie fatigante (2h heures!!) justifiée par rien sinon les avantages fiscaux octroyés pour des tournages post-Katrina.
TéléCinéObs
(...) un polar sans intérêt, sur les traces d'un flic ripoux (...) images déformées, couleurs retouchées, scènes imbéciles. Sans son habituel attirail de globe-trotter, Herzog apparaît pour ce qu'il est : un cinéaste médiocre, tâcheron appliqué à la préservation de son mythe de cinéaste plus ou moins maudit.