Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Elle
par Nathalie Dupuis
Yvan Attal est méconnaissable et bluffant dans "Rapt", le film vertigineux de Lucas Belvaux.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Jean-Claude RASPIENGEAS
Lucas Belvaux signe un film puissant et juste (...) La mise en scène de Lucas Belvaux, élégante, efficace, précise, affûtée, maîtrise la succession d'affrontements psychologiques.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Marianne
par Danièle Heymann
D'une élégance sombre, d'une violence sourde, permanente. (...) Une parabole lucide, désenchantée, sur le pouvoir exorbitant et répugnant de l'argent.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
D'une force de conviction sans faille, à l'opposé de la performance gadget, Yvan Attal, amaigri de 20 kilos au fil du tournage, livre, corps et âme, une prestation viscérale autour de la mise à sac d'un être. Il y a du César dans l'air !
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
20 Minutes
par Caroline Vié
La première partie du film montre l'horreur quotidienne d'une incarcération inhumaine. Le cinéaste y décrit avec acuité la barbarie de kidnappeurs encore plus inquiétants quand ils construisent une intimité factice avec leur victime.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dvdrama
par La Rédaction
On n'oubliera pas de mentionner un casting de seconds rôles largement à la hauteur pour faire de ce film une réussite tant dans la direction d'acteurs que dans la maîtrise narrative et formelle.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) le cinéaste de "La Raison du plus faible" s'inspire avec une troublante précision du terrible enlèvement [du baron Edouard-Jean Empain] survenu en 1978.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Lucas Belvaux transpose l'affaire de l'enlèvement du Baron Empain en 1978 pour en faire un récit contemporain d'un réalisme prenant, mêlant intrigue policière, drame intime et critique des arcanes du pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Le vrai sujet de Rapt réside moins dans les tractations financières (...) que dans la solitude d'un homme, sa mise à l'écart de la société, sa chute, son déclassement social.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le ton du film de Belvaux est très sec, rigide, sérieux. (...) la noirceur de Rapt (titre implacable et tranchant) se situe moins dans les événements qu'il décrit que dans le comportement et la psyché des êtres qu'il nous montre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Drôle de film que Rapt. Ne pas se fier aux traits propres au film noir (...) sous lesquels il avance. Ce sont les réactions en chaîne d'une société froidement et uniquement basée sur l'ilmage (...) qui, profondément, l'inquiète.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
Le message politique sert de toîle de fond, sachant que seul compte ici le personnage principal (...) Une promesse de narration à vif dont personne ne devrait sortir indemme.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Sans compassion excessive, Belvaux démontre la solitude de ces grands fauves de la finance, à la fois maîtres et esclaves de leur destin. Derrière l'homme de pouvoir, c'est l'homme tout court qui est au coeur du film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir sur Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Le film est passionnant, Yvan Attal, dans le rôle d'Empain, magistral.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
rien ne traîne, tchac-tchac, c'est tranchant, ça enchaîne vite. Concis et dégraissé comme une bonne série B d'antan : Belvaux n'élude aucun épisode décisif ou gênant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Philippe Tessé
Du récit, des personnages, Belvaux jamais ne se détache, il semble découvrir en même temps qu'eux les soubresauts du récit. Au prix de cette implication, il entraîne malgré tout son spectateur jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Thomas Pietrois-Chabassier
Il y a un aspect profondément moraliste dans l'oeuvre de Lucas Belvaux, ancré dans la tradition littéraire de l'étude des moeurs, d'une sociologie vintage plus La Fontaine que Houellebecq.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaroscope
par La rédaction
un drame humain poignant sur la chute d'un homme, abandonné par les siens, écarté du pouvoir par ses associés, magistralement interprété par Yvan Attal.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Paris Match
par Alain Spira
(...) si la performance de l'acteur est bien au rendez-vous, si le casting est excellent, la froideur de la mise en scène et le peu d'empathie que suscitent le héros et son entourage nous laissent de l'autre côté de l'objectif d'une caméra scalpel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par La Rédaction
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par La rédaction
On préférait les films de Belvaux quand il visait moins haut, comme dans sa superbe trilogie, plus intimiste.
Le Parisien
par Hubert Lizé
"Rapt" souffre d'une adaptation trop bancale pour convaincre réellement. (...) En revanche, les scènes de séquestration, avec un Attal amaigri de 20 kg pour le rôle, sont d'une intensité remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Elle
Yvan Attal est méconnaissable et bluffant dans "Rapt", le film vertigineux de Lucas Belvaux.
La Croix
Lucas Belvaux signe un film puissant et juste (...) La mise en scène de Lucas Belvaux, élégante, efficace, précise, affûtée, maîtrise la succession d'affrontements psychologiques.
Marianne
D'une élégance sombre, d'une violence sourde, permanente. (...) Une parabole lucide, désenchantée, sur le pouvoir exorbitant et répugnant de l'argent.
Télé 7 Jours
D'une force de conviction sans faille, à l'opposé de la performance gadget, Yvan Attal, amaigri de 20 kilos au fil du tournage, livre, corps et âme, une prestation viscérale autour de la mise à sac d'un être. Il y a du César dans l'air !
20 Minutes
La première partie du film montre l'horreur quotidienne d'une incarcération inhumaine. Le cinéaste y décrit avec acuité la barbarie de kidnappeurs encore plus inquiétants quand ils construisent une intimité factice avec leur victime.
Dvdrama
On n'oubliera pas de mentionner un casting de seconds rôles largement à la hauteur pour faire de ce film une réussite tant dans la direction d'acteurs que dans la maîtrise narrative et formelle.
L'Obs
(...) le cinéaste de "La Raison du plus faible" s'inspire avec une troublante précision du terrible enlèvement [du baron Edouard-Jean Empain] survenu en 1978.
Le Journal du Dimanche
Lucas Belvaux transpose l'affaire de l'enlèvement du Baron Empain en 1978 pour en faire un récit contemporain d'un réalisme prenant, mêlant intrigue policière, drame intime et critique des arcanes du pouvoir.
Le Monde
Le vrai sujet de Rapt réside moins dans les tractations financières (...) que dans la solitude d'un homme, sa mise à l'écart de la société, sa chute, son déclassement social.
Les Inrockuptibles
Le ton du film de Belvaux est très sec, rigide, sérieux. (...) la noirceur de Rapt (titre implacable et tranchant) se situe moins dans les événements qu'il décrit que dans le comportement et la psyché des êtres qu'il nous montre.
Libération
Drôle de film que Rapt. Ne pas se fier aux traits propres au film noir (...) sous lesquels il avance. Ce sont les réactions en chaîne d'une société froidement et uniquement basée sur l'ilmage (...) qui, profondément, l'inquiète.
Positif
Le message politique sert de toîle de fond, sachant que seul compte ici le personnage principal (...) Une promesse de narration à vif dont personne ne devrait sortir indemme.
Première
Sans compassion excessive, Belvaux démontre la solitude de ces grands fauves de la finance, à la fois maîtres et esclaves de leur destin. Derrière l'homme de pouvoir, c'est l'homme tout court qui est au coeur du film.
Studio Ciné Live
Voir sur Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Le film est passionnant, Yvan Attal, dans le rôle d'Empain, magistral.
Télérama
rien ne traîne, tchac-tchac, c'est tranchant, ça enchaîne vite. Concis et dégraissé comme une bonne série B d'antan : Belvaux n'élude aucun épisode décisif ou gênant.
Cahiers du Cinéma
Du récit, des personnages, Belvaux jamais ne se détache, il semble découvrir en même temps qu'eux les soubresauts du récit. Au prix de cette implication, il entraîne malgré tout son spectateur jusqu'au bout.
Chronic'art.com
Il y a un aspect profondément moraliste dans l'oeuvre de Lucas Belvaux, ancré dans la tradition littéraire de l'étude des moeurs, d'une sociologie vintage plus La Fontaine que Houellebecq.
Le Figaroscope
un drame humain poignant sur la chute d'un homme, abandonné par les siens, écarté du pouvoir par ses associés, magistralement interprété par Yvan Attal.
Paris Match
(...) si la performance de l'acteur est bien au rendez-vous, si le casting est excellent, la froideur de la mise en scène et le peu d'empathie que suscitent le héros et son entourage nous laissent de l'autre côté de l'objectif d'une caméra scalpel.
L'Express
www.lexpress.fr
L'Humanité
On préférait les films de Belvaux quand il visait moins haut, comme dans sa superbe trilogie, plus intimiste.
Le Parisien
"Rapt" souffre d'une adaptation trop bancale pour convaincre réellement. (...) En revanche, les scènes de séquestration, avec un Attal amaigri de 20 kg pour le rôle, sont d'une intensité remarquable.