Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Si la réalisation n'est pas toujours exempte d'effets inutiles (les flash-back sur la pluie de pétales), le film, en empruntant vaguement à la forme du thriller, évite à peu près le pathos. La composition bouleversante d'un Colin Farrell décharné, hanté, lui doit beaucoup, mais les seconds rôles ne sont pas en reste...
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Excessif
par Romain Le Vern
Si le sujet n'est pas nouveau, on sait gré à Tanovic d'avoir su éviter deux écueils redoutables : la surenchère pyrotechnique - le style et le filmage étant particulièrement sobres, bien plus que dans Brothers dans un genre voisin - et surtout le terrorisme lacrymal.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Filmsactu
par Elodie Leroy
Alourdi par un récit trop démonstratif, Eyes of War n'atteint pas les sommets de No Man's Land mais n'en demeure pas moins une expérience viscérale et émouvante, qui doit beaucoup à l'interprétation puissante de Colin Farrell. Un hommage respectueux au métier de reporter de guerre.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Parisien
par Hubert Lizé
Dommage que le scénario -solide et intéressant- soit gâché par d'interminables longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Gérard Delorme
Bien que tournée en Espagne, cette première partie recrée avec un certain réalisme les conditions de travail des photo-journalistes, signalant les dangers d'un métier aux limites morales floues.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Guillemette Odicino
(...) en dépit de son goût pour le symbolisme et les flous artistiques, il retrouve son talent de documentariste pour traiter un sujet fort (...). Si cette plongée (...) est aussi captivante, c'est grâce à Colin Farrell. Il porte littéralement ce projet, (...) regard hagard, soudain traversé d'éclairs magiques. Un bloc de douleur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) Le scénario de Tanovic ne parvient pas à dépasser la simple énonciation de ces questions et les efforts des acteurs ne suffisent pas à donner chair aux personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Philippe Rouyer
(...) l'ensemble oscille entre le ridicule et le prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Après Valse avec Bachir, ou même Démineurs, on se demande comment Tanovic peut rester aussi simpliste dans sa description des traumatismes de guerre.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Ariane Beauvillard
Denis Tanovic revient à ses premières amours, et à ses plus gros défauts : à trop vouloir choquer, il fait de ses personnages, de son sujet et consécutivement de son film, un tissu de stéréotypes sans intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Bayon
(...) ce beau petit film de guerre étrange au titre scopique rimbaldien (...) curieux, exigeant, plastique et fin, est la meilleure indication de la séquence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
Si la réalisation n'est pas toujours exempte d'effets inutiles (les flash-back sur la pluie de pétales), le film, en empruntant vaguement à la forme du thriller, évite à peu près le pathos. La composition bouleversante d'un Colin Farrell décharné, hanté, lui doit beaucoup, mais les seconds rôles ne sont pas en reste...
Excessif
Si le sujet n'est pas nouveau, on sait gré à Tanovic d'avoir su éviter deux écueils redoutables : la surenchère pyrotechnique - le style et le filmage étant particulièrement sobres, bien plus que dans Brothers dans un genre voisin - et surtout le terrorisme lacrymal.
Filmsactu
Alourdi par un récit trop démonstratif, Eyes of War n'atteint pas les sommets de No Man's Land mais n'en demeure pas moins une expérience viscérale et émouvante, qui doit beaucoup à l'interprétation puissante de Colin Farrell. Un hommage respectueux au métier de reporter de guerre.
Le Parisien
Dommage que le scénario -solide et intéressant- soit gâché par d'interminables longueurs.
Le Point
Voir le site du Point
Première
Bien que tournée en Espagne, cette première partie recrée avec un certain réalisme les conditions de travail des photo-journalistes, signalant les dangers d'un métier aux limites morales floues.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
(...) en dépit de son goût pour le symbolisme et les flous artistiques, il retrouve son talent de documentariste pour traiter un sujet fort (...). Si cette plongée (...) est aussi captivante, c'est grâce à Colin Farrell. Il porte littéralement ce projet, (...) regard hagard, soudain traversé d'éclairs magiques. Un bloc de douleur.
Le Monde
(...) Le scénario de Tanovic ne parvient pas à dépasser la simple énonciation de ces questions et les efforts des acteurs ne suffisent pas à donner chair aux personnages.
Positif
(...) l'ensemble oscille entre le ridicule et le prétentieux.
Cahiers du Cinéma
Après Valse avec Bachir, ou même Démineurs, on se demande comment Tanovic peut rester aussi simpliste dans sa description des traumatismes de guerre.
Critikat.com
Denis Tanovic revient à ses premières amours, et à ses plus gros défauts : à trop vouloir choquer, il fait de ses personnages, de son sujet et consécutivement de son film, un tissu de stéréotypes sans intelligence.
Libération
(...) ce beau petit film de guerre étrange au titre scopique rimbaldien (...) curieux, exigeant, plastique et fin, est la meilleure indication de la séquence.