Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) les amoureux de cinéma original se pourlècheront les babines devant un film aussi original que transgressif.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Positif
par Philippe Rouyer
Park Chan-Wook encadre ses acteurs pour une cérémonie funèbre surprenante (...) Il séduit grâce à la puissance d'évocation de ses images, d'une beauté à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) l'inventivité constante du réalisateur et sa capacité à remodeler le mélodrame et le film de vampires (...) balayent toutes les réticences.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Dvdrama
par Romain Le Vern
Loin d'être une révélation dans le genre codifié du film de vampires, Thirst, le nouveau monstre de Park Chan-Wook, ressemble surtout à un patchwork destroy de cinéphile amoureux du cinéma de l'extrême.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
(...) une certaine poésie et un humour toujours en situation à une histoire ancienne qui n'a pour autant rien perdu de sa force. (...) [Park Chan-wook] signe là l'un de ses meilleurs films.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Le Parisien
par Marie Sauvion
On adore ou on déteste ce délire du réalisateur coréen, certes trop long mais qui parle magistralement d'amour, de dévoration de l'autre, de revanche et de culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
Un labyrinthe morbide et transgressif, où s'empilent avec un énergie infatigable les thèmes du remords, de l'amour vache, de la soumission ou de la foi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Rania Hoballah
(...) un film déjanté et visuellement époustouflant qui mérite le détour
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Christophe Narbonne
Violent et romantique, chaud et froid,esthétisant et crado, expérimental et grand public, Thirst, c'est le cinéma dans tous ses états, une claque visuelle (...) assortie d'un postmodernisme à la fois poseur et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Une fable outrancière (jusque dans sa durée, inopportune), tragiquement drôle et sensuelle en diable, dont les scènes de sexe ont de quoi ressusciter les morts.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Brazil
par Franck Unimon
Park Chan-Wook est toujours aussi habile à nous transfuser deux ou trois images inattendues qui nous gorgent de plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Figaroscope
par La rédaction
Opéra gore et référentiel, esthétisme, hémoglobine et humour. Un des uppercuts du Festival de Cannes
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Après un démarrage en trombe, le récit s'étire un peu en longueur. Reste l'humour noir, la subversion et l'érotisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Regnier
La tension entre le gore et l'humour, l'énergie déjantée qui s'en dégage, donnent au film un certain cachet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Olivier Lehmann
Même s'il n'est pas une oeuvre majeure dans la carrière de Park Chan-wook, Thirst, ceci est mon sang constitue tout de même le haut du panier en matière de fantastique coréen intelligent.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Samuel Douhaire
Park Chan-Wook agace parfois par sa virtuosité gratuite, mais parvient cette fois à ne pas tomber dans le n'importe quoi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le ton du film oscillant entre Zola (...) et Mon curé chez les vampires (...), Thirst s'épuise à trouver la formule d'un humour raide et noir qui tacherait tout sauf le scénario à base de romantisme sanguin.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Julien Abadie
Un pastiche si ivre de sa propre virtuosité qu'il se comporte comme un ivrogne, vociférant contre l'humanité, déversant sa bile, galvanisé par sa fausse assurance et son impression de maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Filmsactu
par Elodie Leroy
La principale attraction de ce drame vampirique réside dans ses scènes érotico-gore particulièrement charnelles (...). Cette réussite ne suffit malheureusement pas à sauver la deuxième heure de bobine qui se perd dans du n'importe quoi scénaristique (...) et auquel il faut ajouter un traitement creux et misogyne du personnage féminin.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Julien Welter
A vouloir en mettre plein la vue, Park Chan-wook, réalisateur d'Old Boy, dilue sa jolie histoire dans des effets de style. C'est dire si ce cinéaste est capable d'en faire trop.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Thirst a beau vouloir provoquer et multiplier les humeurs, il se disperse souvent et peine à s'élever (...)
20 Minutes
(...) les amoureux de cinéma original se pourlècheront les babines devant un film aussi original que transgressif.
Positif
Park Chan-Wook encadre ses acteurs pour une cérémonie funèbre surprenante (...) Il séduit grâce à la puissance d'évocation de ses images, d'une beauté à couper le souffle.
Charlie Hebdo
(...) l'inventivité constante du réalisateur et sa capacité à remodeler le mélodrame et le film de vampires (...) balayent toutes les réticences.
Dvdrama
Loin d'être une révélation dans le genre codifié du film de vampires, Thirst, le nouveau monstre de Park Chan-Wook, ressemble surtout à un patchwork destroy de cinéphile amoureux du cinéma de l'extrême.
L'Ecran Fantastique
(...) une certaine poésie et un humour toujours en situation à une histoire ancienne qui n'a pour autant rien perdu de sa force. (...) [Park Chan-wook] signe là l'un de ses meilleurs films.
Le Parisien
On adore ou on déteste ce délire du réalisateur coréen, certes trop long mais qui parle magistralement d'amour, de dévoration de l'autre, de revanche et de culpabilité.
Libération
Un labyrinthe morbide et transgressif, où s'empilent avec un énergie infatigable les thèmes du remords, de l'amour vache, de la soumission ou de la foi.
Metro
(...) un film déjanté et visuellement époustouflant qui mérite le détour
Première
Violent et romantique, chaud et froid,esthétisant et crado, expérimental et grand public, Thirst, c'est le cinéma dans tous ses états, une claque visuelle (...) assortie d'un postmodernisme à la fois poseur et réjouissant.
TéléCinéObs
Une fable outrancière (jusque dans sa durée, inopportune), tragiquement drôle et sensuelle en diable, dont les scènes de sexe ont de quoi ressusciter les morts.
Brazil
Park Chan-Wook est toujours aussi habile à nous transfuser deux ou trois images inattendues qui nous gorgent de plaisir.
Le Figaroscope
Opéra gore et référentiel, esthétisme, hémoglobine et humour. Un des uppercuts du Festival de Cannes
Le Journal du Dimanche
Après un démarrage en trombe, le récit s'étire un peu en longueur. Reste l'humour noir, la subversion et l'érotisme.
Le Monde
La tension entre le gore et l'humour, l'énergie déjantée qui s'en dégage, donnent au film un certain cachet.
Mad Movies
Même s'il n'est pas une oeuvre majeure dans la carrière de Park Chan-wook, Thirst, ceci est mon sang constitue tout de même le haut du panier en matière de fantastique coréen intelligent.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Park Chan-Wook agace parfois par sa virtuosité gratuite, mais parvient cette fois à ne pas tomber dans le n'importe quoi.
Cahiers du Cinéma
Le ton du film oscillant entre Zola (...) et Mon curé chez les vampires (...), Thirst s'épuise à trouver la formule d'un humour raide et noir qui tacherait tout sauf le scénario à base de romantisme sanguin.
Chronic'art.com
Un pastiche si ivre de sa propre virtuosité qu'il se comporte comme un ivrogne, vociférant contre l'humanité, déversant sa bile, galvanisé par sa fausse assurance et son impression de maîtrise.
Filmsactu
La principale attraction de ce drame vampirique réside dans ses scènes érotico-gore particulièrement charnelles (...). Cette réussite ne suffit malheureusement pas à sauver la deuxième heure de bobine qui se perd dans du n'importe quoi scénaristique (...) et auquel il faut ajouter un traitement creux et misogyne du personnage féminin.
L'Express
A vouloir en mettre plein la vue, Park Chan-wook, réalisateur d'Old Boy, dilue sa jolie histoire dans des effets de style. C'est dire si ce cinéaste est capable d'en faire trop.
Les Inrockuptibles
Thirst a beau vouloir provoquer et multiplier les humeurs, il se disperse souvent et peine à s'élever (...)