Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Express
par Julien Welter
www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Marie Sauvion
L'acteur américain Peter Sarsgaard possède tout le charme nécessaire à cette " éducation ", d'abord irrésistible de drôlerie, puis d'une cruauté terrible. On passe un excellent moment.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Carey-ment féerique...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Nicolas Truffinet
Une Éducation préfère se construire, à l'image de son héroïne, sur ces paradoxes et tâtonnements qui ne s'annulent pas mais se renforcent et s'empilent, dessinant une émancipation, et un film d'une grande beauté.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Filmsactu
par Caroline Leroy
A travers la mésaventure de son héroïne, la réalisatrice Lone Scherfig capture avec justesse et subitilité le désir de liberté et d'épanouissement qui caractérise le difficile passage à l'âge adulte, préférant recourir à l'humour et à la légèreté plutôt qu'à la dramatisation excessive.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Lone Scherfig réussit à mêler subtilement comédie et drame, moments de mélancolie, de grandes espérances et de désillusions.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une éducation est un film d'une vitalité robuste, un récit d'une grande finesse psychologique et historique qui offre, en outre, à une jeune comédienne l'occasion de donner toute sa mesure.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
La reconstitution (...) n'empêche pas le film d'être empêtré de clichés un peu lisses. La mise en scène, honnête (...) accentue sans doute un parfum d'exotisme généralisé. Le miracle vient du casting, en particulier de Carey Mulligan (...) qui apporte une indescriptible fraîcheur effrontée au rôle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site Studio Ciné Live .
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Déclinaison anglaise de Lolita ? Détournement de mineure ? Pas tout à fait.(...) tout est subtil : (...) Carey Mulligan (...), bien servie par des dialogues pleins d'esprit, se transforme, à vue d'oeil, d'ado soumise en clone d'Audrey Hepburn.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
par La rédaction
Notons cependant la prestation impeccable d'un casting de premier choix. (...) Seulement voilà, le discours est à la fois si évident et moralisateur que l'on ne peut s'empêcher de grimacer dans les dernières minutes du métrage.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Arnaud Schwartz
A mi-chemin entre le voyage initiatique et le regard social, un film très subtil, interprété avec finesse par Carey Mulligan et Peter Sarsgaard.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Derrière la chronique sentimentale se cache une critique assez désenchantée du sort de la femme dans l'Angleterre conservatrice...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La rédaction
A la manoeuvre, alerte et légère, il y a Lone Scherfig (...) Elle affiche la même verve amusée à diriger un excellent générique dont on savoure la prestation.
Première
par Véronique Le Bris
(...) l'histoire n'est pas nouvelle. Mais elle est menée avec une grâce tellement surannée qu'elle en devient attachante,(...).
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Pour l'oscar de la meilleure actrice, on parie sur Carey Mulligan, coeur battant de ce récit d'apprentissage classique mais bien mené (...) Lone Scherfig trouve le ton juste, entre comédie et gravité, pour évoquer ce difficile passage à l'âge adulte, même si le happy end sonne un peu faux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Lon Scherfig se contente d'habiller sur mesure et de jouer mécaniquement la partition scénaristique, parfois amusante...
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eric Derobert
Le film déçoit avant tout par son mouvement univoque.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
On ne sait quelle éducation se cache derrière cette soumission aux apparences, mais elle est clairement l'antithèse de tout ce qui a élevé notre oeil au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
www.lexpress.fr
Le Parisien
L'acteur américain Peter Sarsgaard possède tout le charme nécessaire à cette " éducation ", d'abord irrésistible de drôlerie, puis d'une cruauté terrible. On passe un excellent moment.
20 Minutes
Carey-ment féerique...
Chronic'art.com
Une Éducation préfère se construire, à l'image de son héroïne, sur ces paradoxes et tâtonnements qui ne s'annulent pas mais se renforcent et s'empilent, dessinant une émancipation, et un film d'une grande beauté.
Filmsactu
A travers la mésaventure de son héroïne, la réalisatrice Lone Scherfig capture avec justesse et subitilité le désir de liberté et d'épanouissement qui caractérise le difficile passage à l'âge adulte, préférant recourir à l'humour et à la légèreté plutôt qu'à la dramatisation excessive.
Le Figaroscope
Lone Scherfig réussit à mêler subtilement comédie et drame, moments de mélancolie, de grandes espérances et de désillusions.
Le Monde
Une éducation est un film d'une vitalité robuste, un récit d'une grande finesse psychologique et historique qui offre, en outre, à une jeune comédienne l'occasion de donner toute sa mesure.
Libération
La reconstitution (...) n'empêche pas le film d'être empêtré de clichés un peu lisses. La mise en scène, honnête (...) accentue sans doute un parfum d'exotisme généralisé. Le miracle vient du casting, en particulier de Carey Mulligan (...) qui apporte une indescriptible fraîcheur effrontée au rôle.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live .
Télérama
Déclinaison anglaise de Lolita ? Détournement de mineure ? Pas tout à fait.(...) tout est subtil : (...) Carey Mulligan (...), bien servie par des dialogues pleins d'esprit, se transforme, à vue d'oeil, d'ado soumise en clone d'Audrey Hepburn.
Excessif
Notons cependant la prestation impeccable d'un casting de premier choix. (...) Seulement voilà, le discours est à la fois si évident et moralisateur que l'on ne peut s'empêcher de grimacer dans les dernières minutes du métrage.
La Croix
A mi-chemin entre le voyage initiatique et le regard social, un film très subtil, interprété avec finesse par Carey Mulligan et Peter Sarsgaard.
Le Journal du Dimanche
Derrière la chronique sentimentale se cache une critique assez désenchantée du sort de la femme dans l'Angleterre conservatrice...
Le Point
Voir le site du Point
Ouest France
A la manoeuvre, alerte et légère, il y a Lone Scherfig (...) Elle affiche la même verve amusée à diriger un excellent générique dont on savoure la prestation.
Première
(...) l'histoire n'est pas nouvelle. Mais elle est menée avec une grâce tellement surannée qu'elle en devient attachante,(...).
TéléCinéObs
Pour l'oscar de la meilleure actrice, on parie sur Carey Mulligan, coeur battant de ce récit d'apprentissage classique mais bien mené (...) Lone Scherfig trouve le ton juste, entre comédie et gravité, pour évoquer ce difficile passage à l'âge adulte, même si le happy end sonne un peu faux.
Les Inrockuptibles
Lon Scherfig se contente d'habiller sur mesure et de jouer mécaniquement la partition scénaristique, parfois amusante...
Positif
Le film déçoit avant tout par son mouvement univoque.
Cahiers du Cinéma
On ne sait quelle éducation se cache derrière cette soumission aux apparences, mais elle est clairement l'antithèse de tout ce qui a élevé notre oeil au cinéma.