Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Aaron Fernandez se sort formidablement bien de son premier long métrage (...) et (...) accumule les scènes intimistes et sans pathos social (...) Un cinéaste est né.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
(...) film éclatant de naturel, de clarté, de charisme et de vivacité...
Brazil
par Julien Leimdorfer
Des moments de légèreté contrebalançant la tragédie que l'on sent inévitablement poindre. (...) volonté du réalisateur d'éviter le pathos...
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Figaroscope
par La Rédaction
Une peinture sociale sans fard ni pathos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Ouest France
par La Rédaction
Un premier film entre chronique sociale et thriller urbain. Une docu-fiction ancrée dans la réalité d'une zone frontalière ennivrée par le rêve américain.
Positif
par M. D.
Aaron Fernandez ne commet aucune fausse note pour son premier film. Mais qu'est-ce que la partition manque d'originalité et de souffle !
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
voir www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Mathilde Blottière
Récit initiatique plutôt que chronique sociale (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
voir le site www.cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Diminique Widemann
(...) un intéressant écho à (...) Chop shop de Ramin Bahrani.
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Un premier film très émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Regnier
S'il ne brille pas par son originalité, si les petites audaces formelles qu'il se permet ne convainquent pas vraiment, le film n'en reste pas moins attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Isabelle Danel
Pièces détachées (...) ne révolutionne rien mais redit l'essentiel: quand plus rien ne va, l'amitié, la loyauté sont mises au rang des denrées périssables.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Pièces Détachées semble monté comme une voiture trafiquée, avec des éléments piochés à droite et à gauche, pour façonner un petit drame qui ressemble à tout et à rien.
MCinéma.com
Aaron Fernandez se sort formidablement bien de son premier long métrage (...) et (...) accumule les scènes intimistes et sans pathos social (...) Un cinéaste est né.
TéléCinéObs
(...) film éclatant de naturel, de clarté, de charisme et de vivacité...
Brazil
Des moments de légèreté contrebalançant la tragédie que l'on sent inévitablement poindre. (...) volonté du réalisateur d'éviter le pathos...
Le Figaroscope
Une peinture sociale sans fard ni pathos.
Ouest France
Un premier film entre chronique sociale et thriller urbain. Une docu-fiction ancrée dans la réalité d'une zone frontalière ennivrée par le rêve américain.
Positif
Aaron Fernandez ne commet aucune fausse note pour son premier film. Mais qu'est-ce que la partition manque d'originalité et de souffle !
Studio Magazine
voir www.studiomag.com
Télérama
Récit initiatique plutôt que chronique sociale (...)
Ciné Live
voir le site www.cinelive.com
L'Humanité
(...) un intéressant écho à (...) Chop shop de Ramin Bahrani.
Le Journal du Dimanche
Un premier film très émouvant.
Le Monde
S'il ne brille pas par son originalité, si les petites audaces formelles qu'il se permet ne convainquent pas vraiment, le film n'en reste pas moins attachant.
Première
Pièces détachées (...) ne révolutionne rien mais redit l'essentiel: quand plus rien ne va, l'amitié, la loyauté sont mises au rang des denrées périssables.
Les Inrockuptibles
Pièces Détachées semble monté comme une voiture trafiquée, avec des éléments piochés à droite et à gauche, pour façonner un petit drame qui ressemble à tout et à rien.